Le travail de l’artiste René Galan présente le Musée d’Histoire de Saint-Pétersbourg Automatique traduire

ST. PETERSBURG. Dans le hall d’exposition de Ioannovsky Ravelin, qui abrite le musée de l’histoire de Saint-Pétersbourg, une exposition a été inaugurée, représentant le travail de l’artiste d’avant-garde français René Galan. L’exposition de l’exposition consistait en 53 peintures de l’artiste, presque inconnues en Russie, bien qu’il ait vécu pendant de nombreuses années dans un petit village près de Tioumen.

René Galan est venu en Russie pendant la Seconde Guerre mondiale, lorsqu’il a fui Mourmansk avec sa famille avec l’aide de passeurs norvégiens. La famille s’installa ensuite près de Tioumen, où elle vécut jusqu’à la fin de la guerre. La famille Galans n’est revenue en France qu’en 1960.

René Galan a commencé à peindre à l’époque d’avant-guerre en sortant d’une école d’art de la ville de Limoges. Comme beaucoup de provinciaux, le jeune artiste s’est rendu à Paris, où, participant activement à la vie de la bohême parisienne, s’est entretenu avec de nombreuses personnes intéressantes. À son retour dans son pays natal, Galan continua à faire preuve de créativité et devint un artiste célèbre dont les peintures montrent l’influence de diverses tendances de la peinture.

Dans certaines œuvres de l’artiste, l’influence de l’artiste Jean Dubuffet est évidente, avec laquelle Galan était bien connu depuis l’avant-guerre. Dubuffet croyait que les personnes en difficulté d’adaptation sociale (handicapé, malade mental) étaient les créatrices les plus sincères. Il a même inventé le terme «art brut», désignant ce type de créativité.

Les œuvres de Galan sont conservées dans de nombreux musées d’art moderne et dans les collections de collectionneurs privés. Une de ces collections privées est présentée aux connaisseurs russes de peinture. Vous pouvez vous familiariser avec l’œuvre de René Galan le 16 juin en visitant le hall d’exposition de la forteresse Pierre et Paul.

Ludmila Trautmane © Gallerix.ru