« Linden Hills » de Gloria Naylor Automatique traduire
Gloria Naylor a publié «Linden Hills» en 1985, trois ans après la publication de son premier roman, «The Women of Brewster Place». Alors que le premier roman de Naylor se concentre sur les femmes vivant dans un lotissement pauvre, «Linden Hills» examine une communauté noire aisée à travers les yeux de deux jeunes hommes: Lester, un résident de Linden Hills, et Willie, un étranger vivant sur Wayne Avenue.
Le quartier de Linden Hills est le "place to be" du comté de Wayne, avec ses "imitations de chalets suisses, de Tudors britanniques et de maisons de ville géorgiennes flanquées de tonnelles étouffées par les gloires du matin". Le prix ultime est une maison sur Tupelo Drive. Cependant, «seules ’certaines’ personnes ont pu habiter Linden Hills», et personne ne semble remarquer que malgré la multitude de candidats aspirant à vivre à Linden Hills, il y a toujours des maisons vacantes dans le quartier. Linden Hills est supervisée et dirigée par la famille Nedeed, et ce depuis des générations. Luther Nedeed est actuellement chargé de choisir qui vit à Linden Hills, et il sait que quelque chose a terriblement mal tourné avec le rêve de son ancêtre. Malgré leur richesse, leur statut et leur succès, les habitants de Linden Hills ont des «postures plastiques» et un «rien brillant» en eux. «Monter signifie descendre» à Linden Hills : alors que les résidents aspirent à monter dans la hiérarchie du quartier pour se rapprocher de Tupelo Drive et du manoir de la famille Nedeed, ils descendent littéralement la colline. Cette descendance n’est pas seulement géographique mais aussi métaphorique. Naylor a écrit «Linden Hills» comme une version moderne de «l’Enfer» de Dante. Dans "Inferno", Dante, accompagné de Virgile, doit descendre à travers les neuf anneaux concentriques de l’enfer pour atteindre le diable au centre même. Avec l’aide de Virgile, Dante traversera l’enfer indemne et pourra s’élever. De même, Willie et Lester descendent à travers les huit allées qui composent le quartier de Linden Hills alors qu’ils recherchent du travail, atteignant finalement le manoir Nedeed au pied même de la colline dans le dernier chapitre. Au cours de leur descente, Willie et Lester rencontrent plusieurs résidents de Linden Hills - dont les difficultés correspondent à l’un des anneaux concentriques de l’enfer - et sont témoins de la façon dont la chasse au succès et au statut a dégradé et dégradé leur caractère. Dans «Linden Hills», la poursuite du rêve américain, configurée comme la poursuite d’une adresse de Tupelo Drive, est parallèle à la descente aux enfers. Les deux amis rencontrent Winston Alcott, qui a abandonné l’amour de peur que l’homophobie n’empêche son ascension dans le quartier de Linden Hills ; Xavier Donnell et Maxwell Smyth, qui nient tous deux leur identité raciale dans le but de réussir professionnellement ; le révérend Michael Hollis, qui comble l’absence de toute ferveur spirituelle dans sa congrégation avec de l’alcool ; Laurel Dumont, dont la vie sans but la pousse au suicide ; et Daniel Braithwaite, un historien qui croit qu’aucune personne seule ne peut changer le cours d’une histoire collective et qu’il ne faut donc pas essayer. Alors que Willie et Lester descendent à travers Linden Hills, Luther Nedeed emprisonne sa femme et son fils dans son sous-sol, croyant à tort que sa femme a commis l’adultère. Ce traitement cruel et vicieux illustre le centre sombre et pourri de ce quartier scintillant, qui brûle jusqu’au sol dans la scène finale du roman lorsque Willie libère accidentellement Willa Nedeed de sa prison au sous-sol. Tout en explorant les questions de classe et de hiérarchie, de racisme et d’identité raciale, de misogynie et d’oppression des femmes, "Linden Hills" est aussi une histoire de croissance psychologique et morale - ou un "bildungsroman" - comme Willie et Lester, encore jeunes hommes, en sont témoins. la richesse, la prospérité et la dépravation du quartier et, sans tomber dans ses tentations,
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