"Hymnes homériques" par Anonymous Automatique traduire
Introduction
On pense que les «hymnes homériques» écrits de manière anonyme ont été composés entre la fin du 6e et le début du 7e siècle avant notre ère, et les hymnes individuels varient à la fois en termes d’auteur et de date de composition. Malgré son nom, ce recueil de 33 hymnes n’est pas attribué à Homère mais utilise plutôt une forme de mètre, ou motif rythmique, associé à sa poésie. Ce mètre est appelé « hexamètre dactylique » : il y a six pieds par ligne de vers (un pied est une unité métrique composée de syllabes), et chaque ligne de pieds contient un dactyle (un mot ou une phrase qui crée une seule syllabe accentuée suivie de deux syllabes non accentuées). Le mètre est largement utilisé dans la poésie grecque et romaine antique. À l’origine, le mot «hymne» - dérivé du mot grec «humnos» - désignait toute chanson ou forme de poésie, mais au moment où les «hymnes homériques» ont été composés, le mot en était venu à désigner uniquement les poèmes honorant un dieu, ce qui correspond au sens moderne du mot. Les «Hymnes homériques» descendent d’épopées passées à l’origine par les traditions orales mais ensuite transcrites au fur et à mesure que les Grecs acquéraient une langue écrite unifiée; les exemples incluent «l’Iliade» d’Homère (un poème épique racontant la guerre de Troie) et «Les travaux et les jours» d’Hésiode (un recueil de poèmes sur l’agriculture et la nature humaine). Comme ces premières œuvres, les « Hymnes homériques » se concentrent sur le récit et le mètre, et ils étaient généralement interprétés en solo avec une lyre. Un autre élément partagé avec les hymnes modernes est la dynamique dieu-humain de leurs histoires; le public expérimente les pouvoirs des dieux à travers les récits des interactions des divinités avec les mortels. Ce guide d’étude cite l’édition 2005 d’Indianapolis/Cambridge, traduite par Sarah Ruden. Les «Hymnes homériques» dépeignent un nouvel ordre divin sous Zeus et articulent un cosmos où vies mortelles et immortelles se croisent. Des sujets tels que la mort, la religion et la culture sous-tendent de nombreuses histoires, mais la préoccupation des hymnes pour l’ordre établi et éternel n’est pleinement intelligible qu’à la lumière de la «Théogonie» d’Hésiode, un poème sur les origines des dieux grecs. Le travail d’Hésiode détaille comment, avant le règne de Zeus, le monde immortel des dieux était semé d’embûches intergénérationnelles, dans lesquelles une progéniture mâle finirait par usurper son père. Le père de Zeus, le Titan Cronos, a tenté d’empêcher cette éviction en mangeant ses propres enfants. Cependant, sa femme, le Titan Rhea, l’a amené à manger un rocher au lieu de Zeus, qui a finalement renversé Cronos et banni les Titans au Tartare. Dans les «Hymnes homériques», L’ordre établi de Zeus brise le cycle des conflits intergénérationnels. Il remet également en question la nature traditionnellement maternelle de la procréation, donnant souvent naissance à ses propres enfants par un acte divin de création. Dans l’hymne à Athéna, Zeus avale le Titan Métis, qui est enceinte de l’enfant de Zeus, Athéna; Athéna est alors née, émergeant de la tête de Zeus, symbolisant son incarnation de la sagesse. Zeus établit également des relations essentielles entre les divinités en tant que médiateur et non en tant que dirigeant oppressif. Ainsi, les «Hymnes homériques» ne dépeignent pas une lutte de pouvoir intergénérationnelle mais l’effort de rétablir continuellement l’ordre au fur et à mesure que de nouvelles divinités s’ajoutent au panthéon. Bien qu’ils soient composés pour le culte, les hymnes sont aussi une tentative de comprendre les phénomènes naturels et l’ordre du monde. Comme tant d’anciens récits mythiques, les «Hymnes homériques» confrontent directement les problèmes de la vie réelle et articulent leurs propres explications et récits édifiants. D’une manière générale, les hymnes se concentrent sur des problèmes familiaux tels que la maternité, la rivalité entre frères et sœurs et la jalousie conjugale. Par exemple, dans l’hymne à Déméter, la déesse de la fertilité se débat avec son identité de mère après avoir perdu sa fille Perséphone au mariage. D’autres hymnes fournissent des explications sur les phénomènes naturels, tels que le changement des saisons (également dans l’hymne à Déméter): Zeus déclare que Perséphone passera un tiers de l’année avec Hadès, dieu des enfers, et son absence explique les hivers stériles de la terre. Les hymnes présentent également l’intersection des mondes mortel et immortel. La littérature grecque dépeint souvent diverses transgressions de la frontière entre le divin et l’humain, et l’assujettissement forcé de l’humanité à la volonté des dieux est un motif partout. Par exemple, lorsque le dieu Apollon se transforme en dauphin et dirige un navire d’hommes crétois vers l’île de Crisa, il les contraint à la servitude de l’oracle de Delphes, isolant ainsi les marins de leurs familles et les condamnant à une vie d’assujettissement.. Les hymnes décrivent également la chute potentielle d’un dieu de l’honneur dans le monde des mortels. Les divinités Aphrodite et Hermès illustrent cette chute, car toutes deux sont enclines à lutter contre les désirs mortels ; Aphrodite tombe amoureuse du mortel Anchise, et Hermès a soif de viande par opposition à l’ambroisie des dieux. Les «Hymnes homériques» s’avèrent une ressource historique indispensable, fournissant un aperçu crucial de la culture et des coutumes de la Grèce antique. Lorsque le dieu Apollon se transforme en dauphin et dirige un navire d’hommes crétois vers l’île de Crisa, il les contraint à la servitude de l’oracle de Delphes, isolant ainsi les marins de leurs familles et les condamnant à une vie d’assujettissement. Les hymnes décrivent également la chute potentielle d’un dieu de l’honneur dans le monde des mortels. Les divinités Aphrodite et Hermès illustrent cette chute, car toutes deux sont enclines à lutter contre les désirs mortels ; Aphrodite tombe amoureuse du mortel Anchise, et Hermès a soif de viande par opposition à l’ambroisie des dieux. 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