"Le Misanthrope" de Molière, un résumé Automatique traduire
Le Misanthrope est une comédie de mœurs de Molière, créée en 1666.
Parcelle
Alceste, un aristocrate français, s’extasie devant son ami Philint sur la dépravation de la société française. Alceste appelle l’hypocrisie l’un des pires défauts de l’humanité. Malgré les objections de Philint, Alceste insiste sur le fait que la vérité et l’honnêteté, aussi douloureuses soient-elles, sont nécessaires à la vraie décence. Philint soutient que l’honnêteté doit être équilibrée avec les bonnes manières, arguant que la flatterie peut légitimement remplacer le ressentiment. Il croit que la nature humaine devrait être autorisée à ses défauts. Au cours de la conversation, on apprend qu’Alceste est actuellement impliquée dans un procès.
Au cours d’une conversation entre Alceste et Philintus, Oronte, le marquis de la cour, entre et l’invite, lui et Alceste, à devenir amis. Alceste ne prend pas un tel engagement, proposant de mieux se connaître d’abord. Peu de temps après, Oronte demande à Alceste de critiquer le sonnet qu’il a écrit. Alceste accepte à contrecœur. Il méprise le poème et gronde Philinte pour avoir flatté Oronte. Quand Oronte demande l’avis d’Alceste, Alceste suggère qu’Oronte renonce à son ambition de devenir poète. Oronte, offensé, s’en va.
Alceste parle à sa bien-aimée Célimène (dont la maison est le décor de la pièce) de son comportement récent, qu’il juge inapproprié. Il lui reproche d’attirer trop de prétendants ; elle insiste sur le fait que son flirt est inoffensif et que sa véritable affection est avec lui. Le serviteur de Célimène, Basque, annonce l’arrivée d’Acaste et de Clytandra, deux marquises qui espèrent courtiser Célimène. En signe de protestation, Alceste annonce qu’il va partir, mais ne part pas.
Tous les prétendants de Célimène sauf Alceste se réunissent avec elle et sa cousine Elianta pour écouter les commérages de Célimène sur les courtisans. Célimène critique vivement, et ses prétendants s’en réjouissent. Alceste intervient dans la conversation de Célimène pour protester contre l’hypocrisie. Tout le monde écarte ses propos. Eliant exprime ses pensées sur les hommes amoureux, mentionnant que le tempérament d’Alceste est anormal. Elle affirme que les hommes amoureux complimentent généralement ceux dont ils sont amoureux.
Un officier des maréchaux de France arrive pour informer Alceste qu’Oronte l’a poursuivi en représailles pour les commentaires d’Alceste sur son poème. Alceste part s’occuper de l’affaire.
Acaste et Clitandre se retirent pour discuter de leurs sentiments pour Célimène. Akast caresse sa fierté, montrant sa jeunesse, sa richesse et son attrait pour les femmes. Cependant, sa jovialité s’estompe lorsqu’il avoue que Célimène ne l’aime pas. Clitandre et Akast décident que si l’un d’eux tombe complètement amoureux de Célimène, alors il se retirera et soutiendra la cour de l’autre.
Arsinoé, une vieille grincheuse, arrive et informe Célimène que les courtisans parlent de sa "coquette". Arsinoé prétend avoir pris le parti de Célimène dans cette intrigue, mais suggère à Célimène de changer de toute urgence son comportement afin d’éviter de nouveaux conflits. Célimène commente les défauts d’Arsinoe, laissant entendre que la prétention d’Arsinoe est aussi un sujet de conversation. Arsinoe s’offusque lorsque Célimène déclare que les carences d’une femme plus âgée peuvent simplement être une conséquence de l’âge.
La dispute prend fin avec l’arrivée d’Alceste, après quoi Célimène s’en va. Arsinoe loue l’honnêteté d’Alceste et propose d’utiliser son influence pour lui assurer un poste à la cour. Il se moque de sa suggestion. Puis elle dit à Alceste qu’elle a une lettre prouvant que Célimène l’a trompé. Alceste part avec Arsinoé pour examiner lui-même les preuves.
Philinte et Eliante discutent du comportement inhabituellement grossier d’Alceste devant les maréchaux de France. Philinte ne peut pas croire la réticence d’Alceste à faire des compromis, et Eliant loue Alceste pour son engagement envers son propre système de valeurs. Lorsque leur conversation tourne sur la relation entre Alceste et Célimène, Eliante déclare que Célimène est confuse et ne sait pas qui elle aime.
Elianta avoue qu’elle accepterait les avances d’Alceste s’il quittait Célimène à tout moment. Philint avoue alors son attirance pour Elyante et dit que ce serait un honneur pour lui de devenir sa femme.
Lorsque Filinta et Elianta terminent leur conversation, Alceste entre, furieuse et voulant se venger de Célimène pour l’avoir trompé en avouant son attirance pour un autre prétendant. Alceste lui propose d’entamer une relation avec Elianta afin de rendre Célimène jalouse. Elyanta met en garde Alceste contre les jugements hâtifs.
Philint et Elianta sortent alors que Célimène entre. Alceste gronde Célimène pour son infidélité. Elle réagit calmement, le traitant de "fou" et lui disant de croire la lettre comme bon lui semble. Désespéré, Alceste demande à Célimène de lui dire que la lettre a bien été écrite à une femme. Célimène refuse cette demande, et Alceste, furieuse, parle de son amour incontrôlable pour elle.
Le serviteur d’Alceste, Du Bois, entre et dit à son maître de partir immédiatement, car il a perdu son procès et risque maintenant d’être arrêté. Alceste part régler la situation. Il retrouve Philint, qui lui conseille de contester la condamnation prononcée contre lui. Alceste refuse, déclarant qu’il veut que la peine soit un exemple de corruption humaine. Il annonce qu’il s’isolera définitivement de la société. Avant de partir, il compte tester l’amour de Célimène en l’invitant à prendre sa retraite avec lui.
Peu de temps après, Alceste et Oronte confrontent Célimène et lui demandent de faire un choix entre eux. Célimène refuse, déclarant qu’elle a l’intention de laisser Elianta prendre la décision à sa place. Quand Elyanta entre, elle refuse d’accéder à la demande de Célimène. Acaste et Clitandre entrent alors avec une lettre écrite par Célimène contenant des propos insultants envers chacun des prétendants. Arsinoé et Philint reviennent. Les hommes lisent la lettre à haute voix, chacun d’eux déclarant son désir d’arrêter de courtiser Célimène.
Au final, Alceste reste le seul prétendant. Cette fois, il est prêt à pardonner à Célimène, mais dit qu’elle doit d’abord accepter de vivre recluse avec lui. Elle est choquée par sa proposition et lui explique qu’elle est trop jeune pour prendre des décisions aussi drastiques. Elle accepte de l’épouser, mais pas de partir avec lui. Enragé, Alceste renonce à son amour pour Célimène. Elle part, et Alceste se tourne vers Eliante, lui disant qu’il serait injuste de sa part d’exiger sa loyauté. Elyanta accepte et annonce sa décision de se consacrer à Philint. Alceste part, et Filinta et Elyanta le suivent pour le convaincre de reconsidérer sa décision de s’isoler.
Thèmes
L’hypocrisie du comportement social
Malgré toute son aversion, Alceste a souvent raison, surtout quand il s’agit de reconnaître l’hypocrisie. Pour tous les héros sauf Alceste, la vie est un exercice d’équilibre entre la flatterie et les commérages. Célimène agit comme si elle appréciait la compagnie de ses prétendants, mais une lettre d’elle, rendue publique au dernier acte, suggère le contraire. Arsinoe prétend se ranger du côté de Célimène lorsque son nom est critiqué, mais la vieille femme tente de saper la relation de Célimène avec Alceste en racontant à Alceste la lettre d’amour de Célimène à Oronte.
Cependant, Molière ne semble pas complètement opposé à l’hypocrisie. Il suggère qu’un peu de duplicité peut être tolérée tant que personne ne se blesse. Les gens de la cour sont trop peu sûrs d’eux pour accepter l’honnêteté brutale défendue par Alceste.
Sans flatterie et mensonge occasionnel, toute amitié entre les personnages disparaîtra. Philint incarne un équilibre presque parfait entre vérité et tromperie. Il n’aime pas le poème d’Oronte, mais il s’abstient avec tact d’insulter Oronte. Cependant, lorsque l’honnêteté est requise, Filint est véridique. Il n’a pas peur d’avouer ses véritables sentiments pour Eliante, et lorsque les élucubrations d’Alceste deviennent incontrôlables, Philinte le punit par une critique honnête du comportement d’Alceste.
Acceptation des défauts humains
La société française rejette Alceste non pas parce qu’il a tort ou qu’il est immoral, mais parce qu’il ne tolère pas les défauts humains. En effet, le monde pourrait être meilleur si tout le monde pouvait accepter la doctrine d’honnêteté brutale d’Alceste, mais cela ne se produit pas. Ironiquement, Alceste semble être capable de reconnaître ses propres défauts, mais il est toujours incapable d’accepter les défauts des autres.
Molière suggère que la seule façon de survivre dans la société qu’il dépeint est de combiner l’honnêteté avec le tact. Philinte illustre le prototype du bon fonctionnement social de Molière. Philinte comprend la déception d’Alceste, mais se rend compte que l’expression publique de cette déception ne mènera qu’à des ennuis.
Les personnages de Molière montrent aussi une tendance à nier leurs propres défauts. Revêtant un masque de «piété excessive», Arsinoé cache son propre échec social. Elle est pieuse, non pas pour la piété, mais parce qu’elle ne peut pas accepter son incapacité à attirer les hommes. De même, Alceste nie son amour pour Célimène (mais pas toujours), parlant de ses traits malheureux. Curieusement, les personnages utilisent souvent les critiques les uns des autres pour les aider à nier leurs propres défauts. Les prétendants, en particulier les prétendants, sont souvent tellement absorbés par les commérages qu’ils n’ont pas le temps de s’introspecter.
L’irrationalité de l’amour
Une grande partie de l’agacement d’Alceste provient de son incapacité à freiner son amour pour Célimène. Il connaît ses défauts (et les lui rappelle souvent), sait que ses valeurs et ses manières ne correspondent pas aux siennes. Et pourtant, il continue de l’aimer. Alceste, dont la vie est vécue selon un code d’éthique strict et rationnel (rationnel dans son sens), apprend que l’amour n’est ni raisonnable ni rationnel. Alceste maudit souvent le pouvoir que Célimène a sur lui, admettant que s’il a une forte volonté de maintenir sa version de l’intégrité, il est toujours victime de l’émotion humaine. Ainsi, il ne peut se séparer de l’humanité, qu’il déteste.
Le misanthrope cherche le juste équilibre entre la raison et l’amour. Molière n’aurait guère conseillé de s’abandonner totalement à «l’irrationalité de l’amour». Un peu de tact et de bienséance sont, bien sûr, nécessaires. Mais pour satisfaire vos émotions, vous devez vous affirmer. La comédie de la pièce est en partie due à l’inactivité romanesque des prétendants.
Ils se présentent chez Célimène et s’assoient essentiellement et attendent qu’elle leur accorde son amour. Au minimum, Alceste discute activement de son attirance pour Célimène, aussi douloureuse soit-elle. Philint est peut-être le seul personnage qui accepte avec joie l’irrationalité de l’amour. À la fin de la pièce, lui et Elyanta ont l’air vraiment heureux.
Rationalité du compromis
Pour Molière, Philint est un portrait de la rationalité. Il comprend que la vie parmi les autres exige du tact et de la prudence. Philint a sa propre opinion, mais il enregistre sa déclaration pour les cas où il ne veut pas offenser les autres, ce qui est complètement à l’opposé du comportement d’Alceste. Molière fait toujours la distinction entre moralité et rationalité.
On peut affirmer qu’Alceste est plus moral, ou du moins plus fidèle à lui-même, que Philintus. Filint est nettement plus rationnel, il comprend qu’il faut faire des compromis, voire compromettre ses propres valeurs, pour plaire aux autres.
Alors qu’on pourrait croire qu’Alceste a appris l’art du compromis, il fait preuve d’une résistance comique à conclure un marché avec Célimène. Dans la scène finale de la pièce, Alceste demande à Célimène de quitter le monde avec lui - une proposition ridicule. Célimène, ne voulant pas accepter l’isolement, les invite à se marier, mais à rester à Paris.
Alceste refuse, ce qui est probablement la meilleure issue qu’il aurait pu imaginer au début de la pièce. On peut soutenir qu’Alceste refuse la proposition de Célimène uniquement parce qu’elle représente un compromis. Alceste ne peut pas accepter le fait qu’il ne réussit pas.
Liste des personnages
Alceste
Personnage principal et personnage principal. Alceste n’est pas une personne heureuse. Il est impardonnable, incapable d’accepter les défauts de la nature humaine et prompt à souligner les défauts des autres. Cependant, ce n’est pas une personne mauvaise et nous pouvons sympathiser avec lui, compte tenu de la façon dont il critique tout le monde, y compris lui-même. L’Alceste de principe est brutalement honnête, ce qui offense souvent les autres.
Il ne supporte pas la flatterie et les compliments peu sincères. Célimène est la plus grande source de tourments d’Alceste : Alceste comprend que l’amour est sa faiblesse, et il ne peut pas rejeter Célimène, bien que son comportement lui soit dégoûtant. Son amour pour Célimène est la seule force capable de saper ses valeurs solides. L’âge d’Alceste - probablement le plus ancien des personnages - et son tempérament le distinguent du reste de la compagnie de la maison de Célimène.
Célimène
Une jeune femme objet de désir pour plusieurs hommes dans Le Misanthrope. Célimène est au centre de l’attention pendant la majeure partie de la pièce. Ses petits amis - Alceste, Orontes, Akast et Clitander - recherchent tous sa faveur, mais elle ne leur donne aucune obligation ferme. Molière sous-entend que Célimène pourrait appartenir d’une manière ou d’une autre à Alceste, peut-être par le biais d’un mariage arrangé, mais cela ne l’empêche pas de flirter. Célimène est heureuse et confiante, mais pas sans défauts : elle adore bavarder et critique presque tous ceux qu’elle rencontre. Elle est négligente dans ses insultes et finit par s’attirer les foudres de ceux qui l’aimaient autrefois. Célimène semble surtout profiter de la vie, mais elle ne veut pas se soumettre aux conventions et au décorum de sa société.
filint
Une personne polie et pleine de tact, bien adaptée à la société du jeu. Filint, qui évite la franchise offensive d’Alceste, est presque si bien ajusté qu’il est ennuyeux. Philint n’a pas l’esprit et l’intelligence de nombreux autres personnages, mais il est attrayant pour son désintéressement.
Philint s’inquiète sincèrement pour Alceste, essayant de ne pas laisser Alceste détruire toutes ses relations. Filint est également admirable pour son sang-froid et sa patience avec son amour, Elyanta. À bien des égards, Philintus est l’homme droit de l’absurde et souvent comiquement mécontent d’Alceste.
Eliant
L’objet des revendications romantiques de Filinta. Elianta a une compréhension profonde de la société française dans laquelle elle vit. Elle démontre également une compréhension profonde de la relation entre les sexes et est parfois pleine d’esprit sur le comportement des hommes amoureux. Eliante se caractérise par l’amour et la compassion, bien qu’elle soit un peu confuse dans ses propres désirs. Tout au long de la pièce, elle déplace son attention d’Alceste vers Philint.
Elyanta n’est pas timide et exprime son opinion sur les autres lorsque la situation l’exige. Cependant, Elianta ne va jamais aux extrêmes de sa cousine Célimène dans les commérages et les moqueries des courtisans. Elyanta a trouvé un équilibre entre bienséance et conformité.
Oronte
Une personne ouverte qui s’efforce de devenir une partie intégrante de sa société. Expérimentant la poésie, Oronte donne l’impression de lui-même comme une personne talentueuse, bien que la médiocrité de sa poésie jette un doute sur ce talent particulier. Bien qu’il semble confiant, il montre ses insécurités lorsqu’il est critiqué.
Il est très préoccupé par ce que les gens pensent de lui, et il poursuit même Alceste en justice pour avoir critiqué son poème. Comme la plupart des autres, Oronte est amoureux de Célimène. Cependant, son amour ne se révèle pas plus fort que sa fierté, et il quitte Célimène après qu’elle l’ait insulté. L’Oronte exige l’honnêteté de ceux avec qui il communique. S’il peut gérer cette honnêteté dépend de la situation.
Arsinoé
Une femme en détresse qui est plus âgée est peu attirante, désagréable et ne peut donc pas attirer les hommes. Arsinoe masque sa déception par des manières et une piété extrêmes. Elle critique ouvertement Célimène par jalousie, car elle-même cherche l’amour d’Alceste. Arsinoe est également disposée à trahir la confiance de supposés amis, comme on le voit lorsqu’elle raconte à Alceste la supercherie de Célimène. Bien qu’Arsinoe participe aux commérages et aux rumeurs sur la cour, cela ne la rend pas heureuse. Peut-être que la seule chose qui puisse la rendre heureuse - l’amour d’Alceste - est hors de sa portée.
Akast
Un jeune et fier marquis. Acast se considère comme le principal candidat pour le rôle de l’amant de Célimène. Il se vante sans vergogne, ce qui peut expliquer son désarroi et sa déception face au rejet de Célimène. Acast montre une vraie souffrance, parlant de son amour non partagé pour Célimène ; il désire l’amour de Célimène au point qu’il passe un marché avec Clytandre pour augmenter ses chances de la courtiser.
Klitandr
Un autre marquis cherchant l’amour de Célimène. Clytander semble moins désespérée que les autres prétendants à son amour. Il prend le plus grand plaisir à participer aux potins avec Célimène. Au final, Clytandra a assez de fierté et de confiance en elle pour refuser Célimène lorsqu’elle l’insulte.
Du Bois
Serviteur nerveux et maladroit d’Alceste. La subordination comique de Du Bois à Alceste est l’élément principal du personnage burlesque du Misanthrope. Essayant de tout dire à Alceste, Du Bois ne dit presque rien. Du Bois fait peu pour aider son maître, malgré ses bonnes intentions. Son ineptie évoque la sympathie du public théâtral.
basque
La servante de Célimène. Bask, un personnage mineur, est dévoué à sa maîtresse, annonçant rapidement l’arrivée de ses visiteurs.
l’officier
Envoyé des maréchaux de France. L’officier exige qu’Alceste comparaisse devant les maréchaux pour se justifier de l’injure qui lui est infligée dans le poème d’Oronte.
- "School for Wives" by Jean-Baptiste Molière, summary
- Moliere’s "Tartuffe", summary
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