"Au-delà du bien et du mal" de Friedrich Nietzsche, résumé Automatique traduire
Par- delà le bien et le mal de Nietzsche. Prélude à la philosophie du futur " est une critique de la science, de la politique et de l’art du monde moderne à travers un recueil d’aphorismes et de commentaires. L’auteur utilise des épigrammes pour apporter un éclairage unique sur la vérité et la nature. Son regard exceptionnel sur les choses tient peut-être au fait qu’au moment de la rédaction du livre, il était privé d’un foyer stable et souffrait de douleurs chroniques. Le texte se compose de neuf thèmes avec un poème à la fin. L’auteur est d’avis que la plupart des philosophies sont une projection d’un philosophe. Il affirme qu’une personnalité forte explore ses idées préconçues et son indépendance afin d’en savoir plus sur elle-même. En ce qui concerne l’indépendance, Nietzsche appelle les masses un troupeau qui suit indiscutablement la même mentalité. Il condamne également les philosophes qui font de même. Ceux qui suivent cette façon de penser soutiennent la propagation de la médiocrité à travers des concepts qui rendent tout le monde également ordinaire, comme le «sens commun».
Nietzsche soutient que toutes les personnes ne peuvent pas être mesurées par les mêmes règles de moralité en raison de leur force spirituelle différente. Tout au long du livre, l’auteur encourage le lecteur à dépasser les notions de bien et de mal. Sur la question de la morale, la plupart des philosophes sont dépourvus de sens critique, acceptant volontiers les dogmes chrétiens sans pensée analytique. Cette pensée analytique s’exprime dans le concept que rien ne peut naître de son contraire, qui est faux, que la vérité découle de l’erreur et la générosité de l’égoïsme. Quant à vivre en accord avec la nature, il croit que la nature est infiniment indifférente. Vivre naturellement, c’est vivre selon la vie, et faisant partie de la vie, vous ne pouvez pas faire autrement.
Le livre "Au-delà du bien et du mal" est un fil tissé dans le tissu des œuvres rassemblées de Nietzsche. C’est aussi une introduction à l’histoire de son œuvre précédente, Ainsi parlait Zarathustra. L’auteur ne cherche pas à résoudre la contradiction entre la volonté de vérité et la volonté de valeur dans Par-delà le bien et le mal. Il envisage une philosophie future dans laquelle la volonté de vérité et la volonté de valeur coexistent. L’une des principales propositions de Nietzsche est qu’il s’oppose à l’égalité, mais pour la justice. Il partage la conviction que la philosophie doit refléter les problèmes les plus intimes de l’homme, à l’instar des travaux du philosophe Kierkegaard. Il croit également à l’attribution du mérite en fonction du mérite de l’individu par rapport à la société. Il rejette la démocratie parce qu’en rendant tout le monde égal, il prive les grands de la possibilité d’être grands.
Pour le bien et le mal est publié en 1886 dans une atmosphère d’enthousiasme religieux. Il a été écrit après son travail pro-chrétien Aus Meinem Leben en 1858. Les vues présentées dans Au-delà du bien et du mal contredisent les travaux antérieurs de Nietzsche, qui montraient des vues chrétiennes positives et passionnées. L’influence et les opinions de l’auteur ont changé tout au long de sa vie; ses croyances allaient de la dévotion au Seigneur au mépris absolu. À la fin des années 1880, Nietzsche a adopté une position résolument anti-chrétienne, se faisant même appeler l’Antéchrist. Parallèlement à cette ligne de pensée, la principale conviction de l’auteur est que l’esprit humain grandit sous l’oppression. À son avis, tout ce qui est cruel et malveillant dans la nature humaine est nécessaire et sert le but de l’élévation de l’humanité.
L’époque où "Au-delà du bien et du mal" a été écrit était difficile pour la santé de Nietzsche. Non seulement cela, il a été écrit pendant une période de 10 ans d’itinérance, ainsi que plusieurs autres textes notables. Il souffrait de migraines, de problèmes digestifs et de nausées chroniques en plus d’une mauvaise vue. Les difficultés physiques de l’auteur ont joué un rôle dans son style d’écriture, transformant des concepts complexes en énoncés courts et puissants. Nietzsche cherche à prouver que la philosophie ne suit pas un processus logique, mais suit plutôt les instincts du philosophe. Par conséquent, les paroles d’un philosophe ne sont jamais exemptes de ses propres instincts et pensées subconscientes. L’auteur ose croire que toutes les grandes philosophies sont des confessions écrites inconsciemment autobiographiques. À son avis,
Il promeut également l’idée que la philosophie est ce que les choses devraient être, pas ce qu’elles sont réellement. Nietzsche croit que les philosophes ont le droit sacré de rendre le monde meilleur. Par conséquent, leur philosophie devrait correspondre à la façon dont les choses devraient être. Tout au long du livre, Nietzsche a un sens de l’humour remarquablement vicieux qui surprend le lecteur. Il fait des remarques biaisées mais humoristiques sur les femmes, les Allemands, d’autres philosophes, etc. Nietzsche scrute ses jugements non déformés sur des sujets qui sont en tension entre le bien et le mal, tels que l’art, la politique, la science, la philosophie, le catholicisme et le christianisme.
En général, "Au-delà du bien et du mal" est une critique condescendante de la philosophie occidentale, de la modernité et des concepts inventés par le philosophe, tels que la vérité absolue et la conscience de soi. Il représente la pensée clairvoyante selon laquelle la modernité n’est pas aussi moderne qu’elle devrait l’être. Selon lui, la modernité devrait évoluer vers un niveau supérieur. La conséquence de la modernité est l’évasion de la douleur et de la peur. Cela ne fait que nuire à une personne, l’empêchant d’atteindre son plein potentiel. Le plus grand potentiel est l’aristocratie de l’âme. Pour lui, la philosophie doit aussi se développer, puisqu’elle est le domaine le plus élevé du savoir. Dans l’opinion préconçue des anciens philosophes, la philosophie est lourde et ennuyeuse. L’auteur estime que la philosophie doit être agréable et humoristique, et non sombre et écrite dans un langage abstrus.
Partie 1 : Sur les préjugés des philosophes
Dans cette partie, Nietzsche soutient que nos vérités sont souvent basées non sur l’objectivité, mais sur des préjugés. Il soutient également que nous privilégions injustement la vérité sur les mensonges, alors que les mensonges peuvent être tout aussi utiles que la vérité. Il développe ensuite des exemples tels que les stoïciens (imposant leur vérité à la nature) et la pensée kantienne (a priori, qui, selon lui, n’existe pas, mais est nécessaire), arguant qu’il n’utilise rien de plus qu’un raisonnement circulaire. Enfin, il critique le fameux «je pense, donc je suis» de Descartes, arguant que ce n’est pas «je» qui pense, mais la pensée elle-même.
Partie 2 : Esprit libre
Il soutient d’abord que nos vérités sont simplifiées par nos connaissances, que les vérités avancées par les philosophes ne sont que leurs propres préjugés alors qu’ils devraient se remettre en question. Il soutient que les «esprits libres» prospèrent dans l’isolement car leurs connaissances seront mal interprétées par les autres, mais il soutient également que ces personnes devraient interagir avec la population afin d’acquérir plus de connaissances. Il argumente contre la façon dont notre société évalue les actions en fonction de leurs motivations, il soutient que nous devons considérer les pulsions beaucoup plus complexes qui animent inconsciemment ces actions. Nietzsche fait l’hypothèse importante que rien n’est réel sauf nos pulsions, nos passions et nos désirs, et toutes les autres choses ne sont que des choses qui fonctionnent ensemble. Nietzsche croit aussi que toutes les choses dans le monde sont basées sur notre volonté fondamentale de puissance. Pour terminer, Nietzsche fait la déclaration ironique selon laquelle les "esprits libres" ont souvent besoin de masques pour cacher leur vraie nature et leurs croyances (afin de ne pas être mal compris). Cependant, de tels esprits ne devraient pas se permettre de s’attacher à quoi que ce soit et de se tester constamment, il appelle la nouvelle génération de philosophes «essayant» (versucher), qui rejettent le dogmatisme, etc.
Partie 3 : Qu’est-ce que la religion?
Tout d’abord, Nietzsche examine de près le christianisme, affirmant que toutes les exigences et l’abnégation qu’il crée poussent les gens vers des rêves de sainteté. Nietzsche poursuit en affirmant que la société moderne est intrinsèquement athée et que les vieilles idées de Dieu sont mortes (et que les philosophes l’ont tué). Il soutient que le christianisme pousse une personne à abandonner le travail en faveur du style de vie de la classe des loisirs (ce qui est pernicieux). Puis il explique l’échelle du sacrifice que la religion crée (elle exige d’abord de sacrifier ses proches, puis soi-même, puis sa volonté, sa liberté et sa force), et sur laquelle nous avons franchi une nouvelle étape - maintenant elle exige, paradoxalement, de sacrifier Dieu. Il conclut en disant que la religion peut signifier différentes choses pour différentes personnes (ou classes),
Partie 4 : Épigrammes et intermèdes
Toutes les courtes épigrammes présentées manquent d’une structure ou d’un thème cohérent et touchent à une variété de sujets que Nietzsche considérait comme insuffisamment développés (ou suffisamment importants) pour être discutés ailleurs. Certains des thèmes plus généraux des épigrammes individuels incluent : la moralité est née de luttes internes, les femmes et leurs différences avec les hommes (indiquant souvent leur émotivité et leur «serpentinité», quelque peu misogynes), le christianisme, la sexualité (de nombreuses références à l’homosexualité), la nationalité allemande identité, apprentissage d’une nouvelle génération d’hommes et de philosophes, etc.
Partie 5 : L’histoire naturelle de la morale
Il commence par affirmer que la morale n’est pas objective, et qu’aucun philosophe n’a jamais pu la définir autrement que par rapport à son époque, village, pays, église, etc. De plus, il prétend qu’on en voit beaucoup moins qu’il ne nous semble en ne percevant que la plupart des choses et en utilisant les connaissances et les préjugés antérieurs pour combler le reste (en comparant cela à voir un arbre). Il poursuit en affirmant que les gens perçoivent ce à quoi il convient de prêter attention et ce qui doit être fait pour finalement posséder ce qu’ils considéraient, en utilisant l’éducation et la philanthropie comme exemple. Il démontre en outre son dégoût pour les moralistes, qui font souvent des généralisations pour le collectif là où cela devrait être laissé à la discrétion de l’individu. Il conclut en affirmant que la moralité est basée principalement sur la peur : il crée un espace sûr dans lequel les personnes agressives ou vivantes seront considérées comme une menace, puisque la moralité favorise les apprivoisés et les sûrs par rapport aux vivants et aux agressifs. Cette morale se considère comme la seule vraie morale (comme Dieu dans le christianisme).
Partie 6 : Nous les scientifiques
Premièrement, Nietzsche essaie de séparer les philosophes et les scientifiques dans le monde de la science, arguant que les philosophes devraient s’élever au-dessus des autres. Il discute également de deux types différents de scepticisme, dont l’un qu’il associe à la médiocrité (tourmentés par le doute, ces sceptiques poursuivent la science et l’objectivité), les maudissant pour une vie d’action retardée. Contrairement au sceptique, il l’associe à "Frédéric le Grand", ce type de volontaire, intrépide, jamais content de réponses faciles, mais toujours posant des questions, cherchant et découvrant. Les philosophes, soutient-il, sont des législateurs et des créateurs. Comparés aux scientifiques et aux "travailleurs philosophiques" qui s’attardent sur le passé, les philosophes ont tendance à regarder vers l’avenir. Il soutient qu’ils sont presque hors de propos dans le présent (parler de demain, pas d’aujourd’hui), donner des exemples comme Socrate. Il termine cette partie en déclarant que pour devenir philosophe, vous avez besoin d’un certain type de personne qui trouve la pensée facile et simple, pas difficile. Il conclut que la plupart d’entre nous n’ont tout simplement pas la force d’être des philosophes, donc ceux d’entre nous qui ont besoin d’être nourris et développés.
Partie 7 : Nos vertus
Il commence cette partie en déclarant qu’il existe une hiérarchie des personnes et des mœurs, la classe inférieure étant naturellement jalouse de la classe supérieure. Il poursuit en affirmant que les lois morales ne sont pas universelles, en utilisant l’exemple de l’abnégation d’un leader (qui serait un gaspillage intrinsèquement immoral). Nietzsche croit que la pitié est un moyen de cacher le mépris de soi, que le plaisir et la douleur ne sont que la surface de nos pulsions profondes, que la souffrance doit être célébrée car elle montre que nous évoluons vers quelque chose de plus. Il affirme que "la seule pitié qu’il éprouve est la pitié pour le créateur, qui est réprimé en nous par la société moderne". Il suggère également que nous ne nous sommes pas débarrassés de nos propensions bestiales à la cruauté, car nous recherchons des connaissances qui nous nuisent ensuite (par exemple, l’évolution prouve que nous ne sommes pas une forme de vie supérieure par rapport aux singes, etc.). Il fait ensuite l’énorme affirmation que nous avons tous (même Nietzsche lui-même) un ensemble de croyances fondamentales qui forment le noyau de notre être. Il continue ensuite à fulminer sur ses propres croyances inébranlables sur les femmes (que le mouvement féministe actuel ne sert qu’à en faire des hommes, etc.).
Partie 8 : Peuples et patries
Au début de cette partie, Nietzsche affirme que l’état actuel de l’Europe conduira à des nationalités de moins en moins distinguables et conduira à un mélange de races, mais il pense que c’est pour le mieux. Il soutient que les Allemands sont le résultat de nombreuses lignées différentes, il n’y a pas d’Allemand pur, pour ainsi dire, cela conduit à l’esprit allemand complexe et mystérieux, sans définition claire. Il s’attaque alors à sa propre langue, affirmant qu’elle manque de musicalité et de beauté naturelle, ce qui est de la plus haute importance. De plus, il soutient qu’il existe deux types de races - masculines et féminines (décrites en détail dans le texte), arguant que les Grecs et les Français sont des exemples de la race féminine, et que les Romains, les Allemands et surtout les Juifs sont des hommes. Il parle alors hautement des Juifs, arguant que leur travail est l’un des plus grands d’Europe et, contrairement à de nombreux Allemands de son temps, ne croit pas que les Juifs veulent conquérir l’Europe, ils veulent plutôt s’assimiler. Il soutient ensuite que les Anglais ne sont pas philosophiques, superficiels et s’appuient sur une moralisation chrétienne vide. Il soutient qu’ils ne créent pas des esprits libres, mais au mieux des gens médiocres. Il prétend que les Anglais ont presque infecté les Français avec des idéaux démocratiques insensibles (comme ceux de Rousseau), que le véritable esprit français était vivant aux XVIe et XVIIe siècles. Il conclut en disant que les figures les plus exemplaires de l’histoire européenne sont celles qui se sont élevées au-dessus de leur nationalité (citant Napoléon, Goethe, Stendhal et Schopenhauer comme exemples). que les Anglais sont peu philosophiques, superficiels et s’appuient sur une moralisation chrétienne vide de sens. Il soutient qu’ils ne créent pas des esprits libres, mais au mieux des gens médiocres. Il prétend que les Anglais ont presque infecté les Français avec des idéaux démocratiques insensibles (comme ceux de Rousseau), que le véritable esprit français était vivant aux XVIe et XVIIe siècles. Il conclut en disant que les figures les plus exemplaires de l’histoire européenne sont celles qui se sont élevées au-dessus de leur nationalité (citant Napoléon, Goethe, Stendhal et Schopenhauer comme exemples). que les Anglais sont peu philosophiques, superficiels et s’appuient sur une moralisation chrétienne vide de sens. Il soutient qu’ils ne créent pas des esprits libres, mais au mieux des gens médiocres. Il prétend que les Anglais ont presque infecté les Français avec des idéaux démocratiques insensibles (comme ceux de Rousseau), que le véritable esprit français était vivant aux XVIe et XVIIe siècles. Il conclut en disant que les figures les plus exemplaires de l’histoire européenne sont celles qui se sont élevées au-dessus de leur nationalité (citant Napoléon, Goethe, Stendhal et Schopenhauer comme exemples). que le véritable esprit français était vivant aux XVIe et XVIIe siècles. Il conclut en disant que les figures les plus exemplaires de l’histoire européenne sont celles qui se sont élevées au-dessus de leur nationalité (citant Napoléon, Goethe, Stendhal et Schopenhauer comme exemples). que le véritable esprit français était vivant aux XVIe et XVIIe siècles. Il conclut en disant que les figures les plus exemplaires de l’histoire européenne sont celles qui se sont élevées au-dessus de leur nationalité (citant Napoléon, Goethe, Stendhal et Schopenhauer comme exemples). Stendhal et Schopenhauer comme exemples). que le véritable esprit français était vivant aux XVIe et XVIIe siècles. 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Partie 9: Qu’est-ce que la noblesse
Nietzsche commence par dire que la caste aristocratique est fondamentale, que la société existe pour créer quelques individus exceptionnels qui en seront la couronne. Il poursuit en expliquant ce qu’il croit constituer la moralité du maître et de l’esclave. Il soutient qu’en raison de notre société démocratique dirigée par la majorité, les esprits libres ne seront jamais vraiment libres, à jamais incompris et marginalisés. Il parle aussi avec affection des gens qui veulent s’élever au-dessus de la majorité, qui croient que chaque entreprise est un retard, il suggère que ce n’est peut-être pas le génie, mais la possibilité de profiter pleinement du génie est une telle rareté. Enfin, Nietzsche arrive à la conclusion que sa pensée est trop complexe et ne peut s’appuyer sur la simplicité et la franchise de notre langage, il soutient que sa pensée, aussi libre soit-elle, sera toujours fixée par le langage.
Liste des personnages
Napoléon
Napoléon Bonaparte, empereur de France, est présenté comme la fin du concept d’idéalisme aristocratique. En effet, Napoléon, qu’il représente, est très idéalisé, dénué de tout lien, même très faible, avec la vérité historique. Mais elle est appropriée car Nietzsche utilise Napoléon comme métaphore. Ceci est important car la métaphore est le principal outil littéraire de l’auteur pour transmettre sa philosophie.
Arthur Schopenhauer
La lecture des œuvres du philosophe Schopenhauer a été une expérience qui a changé la vie de Nietzsche. Il admet ouvertement que le vieux philosophe a eu une grande influence sur le développement de ses propres théories sur la grande importance de la volonté dans le développement humain. Le fantôme de Schopenhauer imprègne toutes les œuvres de Nietzsche, mais dans ce texte, il atteint certainement des sommets. Cependant, ces sommets sont atteints principalement grâce à la critique, puisque Nietzsche s’était déjà libéré de l’influence de Schopenhauer au moment de la publication d’Au-delà du bien et du mal. Cependant, les effets de l’ancienne influence restent assez forts.
Richard Wagner
Wagner occupe une place honorable parmi les compositeurs classiques les plus vénérés de l’histoire allemande, et l’Allemagne, rappelons-le, a créé Beethoven, Bach et Brahms, et ce n’est qu’un début. Le philosophe entretenait une amitié personnelle étroite avec l’homme le plus connu des Américains pour avoir joué à l’hélicoptère dans Apocalypse Now!, et se considérait en compagnie d’un véritable génie lorsqu’ils étaient ensemble. Cependant, la publication de L’Affaire Wagner en 1888, deux ans après Pour le bien et le mal, allait changer tout cela.
Thèmes
Mouvement au-delà du bien et du mal
Le thème principal de cet ouvrage est l’affirmation de Nietzsche selon laquelle le progrès est impossible conformément aux idées généralement acceptées sur la moralité et l’éthique. Étant donné que ces valeurs ont été créées par les humains pour contrôler les masses, la seule façon pour la civilisation d’avancer davantage est seulement s’il y a des gens courageux qui sont prêts à faire confiance à leur propre instinct et à agir en conséquence. De cette manière, le progrès transcende les idées modernes du bien et du mal et établit de nouvelles valeurs, qui, à leur tour, doivent finalement être rejetées et surmontées par une nouvelle génération de personnes agissant conformément à leurs instincts.
La créativité est la rébellion
Un autre élément important qui amène la civilisation et la société au-delà du bien et du mal vers la prochaine étape évolutive des valeurs est la créativité. La vraie créativité ne peut pas être réactionnaire ; par définition, toute œuvre d’art qui ne sert qu’à reproduire l’idéologie dominante n’est ni créative ni artistique. Il convient de noter que la créativité est plus qu’une simple expression artistique. Lorsque Nietzsche parle de la vie créative, il ne la limite pas aux seuls artistes. Chaque personne est capable de vivre comme un artiste ; en effet, l’un des principes de base de la philosophie de Nietzsche est que chacun doit s’efforcer de donner à son personnage un style qui peut ensuite être utilisé pour transformer toute sa vie en une déclaration artistique. Il est possible, bien sûr, seulement si une personne cherche à repenser les valeurs conventionnelles afin de les mettre en conformité avec ce style et cette déclaration artistique. En d’autres termes, pour être créatif, il faut être un rebelle.
La science est jugement
Nietzsche se méfie beaucoup de la raison scientifique. Sa conclusion est que la preuve est trop souvent soumise à des influences extérieures, ce qui entrave par conséquent le jugement. Ainsi, la recherche scientifique est devenue trop sensible aux préjugés et aux peurs qu’elle suscite inévitablement. Pour comprendre que les peurs de Nietzsche n’ont guère été surmontées depuis plus d’un siècle qu’il a mis en garde contre ce potentiel, il suffit de regarder comment le changement climatique et l’alerte mondiale sont devenus la proie des préjugés et de la peur à un point tel qu’un consensus écrasant dans la communauté scientifique est si imparfaite qu’un pourcentage surprenant de la population croit sincèrement que les preuves restent "non concluantes". Nietzsche considérerait une telle situation non pas comme un manque d’intelligence dans la population,
Faites confiance à votre intuition
Beyond Good and Evil se méfie également de la raison. Le raisonnement logique finit trop souvent par justifier la morale existante, qui entrave ainsi l’action. Le raisonnement est bon, tant qu’il ne sert pas seulement à renforcer les idées existantes, ce qui, à son tour, fait douter une personne que son instinct est mauvais. La raison, en fait, dit Nietzsche, peut être à la fois logique et profondément imparfaite. Lorsqu’une connexion obtenue en reliant les points contredit l’intuition instinctive, qui considère la conclusion comme erronée ou incorrecte, la personne doit avoir le courage de se fier à cette intuition. Si une personne croit vraiment que son intuition est juste et que tous les arguments raisonnés sont faux, alors elle est obligée d’agir conformément à l’instinct, même si cet instinct va à l’encontre de la raison et suscite critiques et méfiance. Bien sûr, il est très important de noter ici que Nietzsche parle de faire confiance à l’instinct dans des choses aussi immatérielles que la morale et les valeurs. En d’autres termes, les faits et le raisonnement logique ne sont pas nécessairement la même chose.
Nous sommes tous des menteurs
Dans Au-delà du bien et du mal, Nietzsche développe le fait que nous ne percevons que des informations sélectionnées et que nous «devinons» le reste. Il utilise deux exemples phénoménaux pour le montrer. Tout d’abord, il parle du fait que lorsque nous lisons un livre ou un passage, nous ne captons pas chaque mot. Il estime que nous absorbons environ 5 mots sur 20, sans digérer le reste et combler les lacunes, en essayant de saisir l’idée principale, qui finit par être déroutante ou fausse. De plus, il dit que lorsqu’une personne regarde un arbre, elle ne voit pas les feuilles, la couleur ou la forme de l’arbre, mais seulement ses contours, et nous remplissons le reste avec des notions et des connaissances préconçues. Les gens veulent souvent être informés sur un certain sujet, cependant, ces personnes ne voient généralement pas au-delà du niveau superficiel et superficiel,
Au-delà du bien et du mal de Nietzsche est sa vision de la moralité, de la religion, de la motivation, etc. Sous couvert de raisonner sur la morale, il parle de tout ce qui semblait lui venir à l’esprit à un certain moment. Il semble qu’il se soit un temps éloigné de la civilisation afin de développer suffisamment ses idées pour les mettre par écrit. Il accorde une grande attention à la valeur de l’expérience intérieure d’une personne, considérant les découvertes individuelles comme la force qui anime toutes les entreprises créatives. Dans ce livre, Nietzsche apparaît au sens le plus direct comme un artiste. Il se sent incompris par les gens, piégé dans un esprit qui comprend et invente des concepts trop fluides et complexes pour tenir dans les limites du langage humain, il ne peut donc pas expliquer aux critiques
Quant à la morale, Nietzsche soutient que toute morale est intrinsèquement individuelle. Chaque personne doit plonger dans son propre esprit et découvrir que son système de motivations complexes, et non une norme extérieure, façonne réellement sa moralité. Pour cette raison, il condamne le christianisme, puisque dans son sens traditionnel c’est un code moral prescriptif et universel qui n’a aucune valeur pour l’homme, puisqu’il lui est imposé. Nietzsche est moins préoccupé par le choix et plus préoccupé par les influences inconscientes qui ont amené une personne à faire ce choix, même si elle ne peut pas être consciente de toutes ces influences.
Il affirme sa ferme croyance en l’outsider. Il écrit qu’il existe des classes intellectuelles dans lesquelles les gens sont divisés, dont certains sont nés par nature pour obéir aux autres, et d’autres pour en vouloir. Se considérant comme un membre de la classe supérieure, Nietzsche consacre la majeure partie de son livre à raisonner sur les raisons pour lesquelles un esprit vraiment intelligent doit toujours être seul. L’esprit créatif est aussi l’esprit qui remet en question le statu quo, et si, comme dans son propre cas, un génie ou un artiste est incapable d’expliquer les subtilités de son esprit, alors il sera condamné et rejeté par le reste de la société pour être anormal, non doté de l’autorité appropriée. C’est un sérieux fil de frustration qui court tout au long du livre. En général, cependant, Nietzsche présente une discussion systématique de la façon dont, à son avis,
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