"Boule de Souif" de Guy de Maupassant, résumé Automatique traduire
"Boule de Souif" est une nouvelle très célèbre de l’écrivain français Guy de Maupassant, qui a reçu une reconnaissance mondiale en raison du fait qu’elle se déroule pendant la guerre franco-prussienne. Beaucoup disent que c’est son travail le plus populaire, raison pour laquelle dans ce recueil d’histoires, il a été mis en "couverture". On pense que Maupassant a écrit jusqu’à 400 nouvelles ou plus au cours de sa carrière, notamment Country Excursion, Coup d’État, Coward, Cremation, Abandoned, Accent, After, Alexander, "It’s Over", "Alluma", "Ampange". ", "Le vieil homme", "Aventure à Paris" et "La ruse en mer".
Maupassant est considéré comme "le père des nouvelles modernes". Il est né en 1850 en France et est un célèbre écrivain et nouvelliste français. Maupassant est décédé à l’âge de 42 ans seulement et est surtout connu pour l’histoire présentée dans ce livre, "Boule de Souif". Le style de ses histoires est considéré par beaucoup comme "efficace" en raison de leurs fins rapides qui semblent conclure les choses. Cependant, les romans ne sont pas à son goût : il n’en publie que six.
Terrain
C’est l’hiver maintenant et la ville française de Rouen est au milieu de la guerre franco-prussienne. L’armée prussienne occupe la ville. Les Allemands autorisent plusieurs marchands à quitter la ville pour affaires vers Le Havre.
Tôt le matin, dix personnes partent de Rouen en calèche. Parmi eux : un marchand de vin avec sa femme, le patron de moulins à papier avec sa femme, un comte avec sa femme, deux religieuses, un démocrate Cornudet et une prostituée surnommée Pelmen (ou Boule de Souif - quenelles au lard ou à la graisse). Les hommes conservateurs s’unissent contre Cornudet, et les femmes commencent à discuter de la prostituée.
Le chariot se déplace très lentement, se coinçant constamment dans les congères. S’attendant à y arriver rapidement, les passagers n’ont pas fait le plein de provisions, et bientôt ils ont eu terriblement faim, mais il n’y a pas de tavernes ou de fermes où l’on puisse acheter de la nourriture sur la route. A trois heures de l’après-midi, la Boule de Souif, qui ne voulait pas s’arrêter dans les tavernes et prévoyait de se ravitailler en chemin, ne put le supporter et eut assez de nourriture pour trois jours. Au début, elle n’ose pas traiter les messieurs arrogants, mais bientôt même les dames vertueuses enfreignent leur orgueil et se joignent au repas.
La femme dit ne pas voir les Prussiens dans les rues de Rouen et a quitté sa ville natale par patriotisme. La nuit arrive. Le trajet dure 13 heures. Bientôt, la police arrête l’équipage pour vérifier les documents, après quoi tout le monde décide de passer la nuit à "l’hôtel commercial". L’aubergiste dit à Boule de Souif qu’un policier prussien veut lui parler. Elle part et revient indignée, mais ne dit à personne ce qui s’est passé. Tout le monde dîne. La nuit, Cornude la harcèle, mais elle ne veut pas lui rendre service alors que des soldats prussiens vivent à l’hôtel.
Au matin, il s’avère que le cocher a disparu. Lorsqu’il est retrouvé, il explique qu’un officier prussien lui a interdit d’atteler la voiture. Il s’avère bientôt que le policier ne les lâchera pas tant que la Boule de Souif ne se sera pas rendue à lui. Au début, tout le monde s’indigne de l’impudence de l’officier, mais le lendemain, ils commencent déjà à se fâcher qu’elle ne fasse pas ce qu’il veut et ce que sa "profession" implique.
Le troisième jour, après s’être réunis dans la taverne, tout le monde commence à comprendre comment faire en sorte que la prostituée fasse la volonté de l’officier, la gronde et la méprise pour être coincée ici. Même les religieuses sont impliquées dans la persuasion et lui inspirent que son sacrifice plaira à Dieu.
Vers le milieu du quatrième jour, le domestique rapporte que la Boule de Souif est d’accord et ne viendra pas dîner. Tout le monde fait la fête, fait des blagues cochonnes, boit du champagne. Seul Comudet croit qu’ils ont commis une abomination.
Le lendemain matin, tout le monde attend une voiture attelée. Boule de Souif est ignorée et tout le monde s’éloigne d’elle comme un lépreux. A l’heure du dîner, chacun sort ce qu’il a, seule la Boule de Souif n’a rien - elle n’a pas eu le temps de s’occuper de la nourriture. Remplie de ressentiment et de rage, elle se souvient de son panier de provisions de trois jours, que ces hypocrites n’ont pas négligé, et se met à pleurer. Tout le monde se détourne. Comudet chante, et jusqu’au bout du chemin les sanglots de la Boule de Souif se mêlent aux strophes de la Marseillaise.
Liste des personnages
Boule de Souif (Elisabeth Rousset)
Une prostituée (Elisabeth Rousset, dite Boule de Souif) était le personnage principal de cette histoire. C’était une femme «libre», trop attirante et qui s’en servait à son avantage. Même si la plupart des gens la traitaient avec dédain, elle s’est avérée être une meilleure personne que tout le monde.
Monsieur et Madame Loizeau
Monsieur et Madame Loizeau étaient marchands de vins. Cet homme «vendait du très mauvais vin à très bas prix» et avait une réputation de «fraudeur».
Monsieur Carré-Lamadon
M. Carré-Lamadon était plus posé que M. et Mme Loiseau et appartenait à une «classe supérieure». Il a fait fortune dans le commerce du coton. Madame Carré-Lamadon était beaucoup plus jeune que son mari.
Comte et Comtesse Hubert de Breville
Le comte et la comtesse Hubert de Breville appartenaient à l’une des plus anciennes et des plus nobles familles de Normandie.
Comudet
Comudet était un «démocrate célèbre» et «l’horreur de tous les gens respectables».
Officier prussien
Un officier prussien est un officier dont la Boule de Souif attrape les caprices.
Les sujets
Diverses classes sociales
Dès le début de ce livre, il y a une nette distinction entre les classes sociales qui accompagne les personnages tout au long du livre. Les membres des classes sociales supérieures, comme le comte, le riche marchand et le riche vigneron se comportent différemment de ceux des classes sociales inférieures, comme la Boule de Souif. Lorsqu’ils voyagent, ils emportent des choses qui rendront leur voyage confortable et prévoient de manger au restaurant, tandis que Boule de Souif n’emporte que de la nourriture avec eux pour se nourrir.
Les gens riches refusent d’admirer la sous-classe, alors ils ne parlent pas à la Boule de Souif ; ils pensent qu’une prostituée ne devrait pas s’asseoir parmi eux. Ils la traitent, elle et ses semblables, avec mépris, comme des créatures sales avec peu de valeur et sans véritable but dans la vie. Même lorsqu’elle les sauve en se sacrifiant, ils n’apprécient pas son aide et la regardent avec dégoût.
Manipulation
Un autre thème notable du livre est le thème de la manipulation, qui est étroitement lié à l’intérêt personnel. Lorsque Boule de Souif et ses compagnons sont capturés par les Prussiens, tous ses compagnons tentent de manipuler Boule de Souif pour coucher avec l’ennemi, puis ils obtiendront leur liberté. Quand elle refuse de le faire, ils essaient encore plus fort et proposent le meilleur plan pour la manipuler, et finalement, grâce à des mensonges, ils réussissent.
Cela montre comment elles, y compris les religieuses à qui il est interdit de le faire, se comportent de manière contraire à l’éthique, la manipulant uniquement pour leur propre profit. Le thème de la manipulation apparaît également dans d’autres cas, comme celui de Monsieur Loiseau, qui vend du vin de mauvaise qualité à des prix normaux, trompant ses clients.
abnégation
L’abnégation tient une place importante dans l’histoire de la Boule de Suif. Elle est considérée comme un membre de la classe sociale inférieure, sale et immorale, indigne de siéger parmi les riches. Cependant, c’est elle qui leur donne à manger lorsqu’ils ont oublié d’apporter quelque chose à manger pendant le voyage. Elle n’a pas grand-chose, mais elle partage ce qu’elle a, même avec ceux qui l’offensent.
Lorsqu’un général prussien lui demande de coucher avec lui, Boule de Souif n’accepte pas car sa moralité ne lui permet pas de coucher avec l’ennemi, mais si elle ne le fait pas, elle empêchera ses compagnons d’arriver à destination. Pour leur permettre de continuer leur voyage, elle décide de sacrifier sa morale et couche ainsi avec le général.
"Boule de Suif" (ou "Dumpling" en traduction) est une histoire courte qui laisse une impression extrêmement durable. Le style d’écriture ironique et plein d’esprit de Guy de Maupassant est certainement un facteur clé qui rend cette histoire mémorable. Le conflit qu’il utilise existe en littérature depuis le tout début, mais ne perd pas de sa pertinence, car - avouons-le - la société évolue trop lentement, on préfère encore la pensée stéréotypée à l’ouverture d’esprit. Guy de Maupassant nous donne une bonne leçon qui nous apprendra, espérons-le, à ne pas juger un livre à sa couverture.
Il n’est pas nécessaire de discuter des raisons pour lesquelles les gens deviennent des travailleurs du sexe, car c’est un sujet qui peut être poursuivi indéfiniment. Guy de Maupassant campe le personnage principal en "femme libre" pour montrer l’hypocrisie de la société de l’époque. Que savons-nous d’autre d’elle? C’est avant tout une passionnée! Elle soutient Bonaparte et ses idées avec une telle véhémence qu’elle ose accuser de trahison des personnes appartenant à la classe sociale la plus élevée et capables de détruire facilement sa vie. Cette femme ne réfléchit pas à deux fois avant de faire ou de dire quelque chose. Même son apparence - grosseur et beauté - en dit long sur elle.
Boule de Souif est l’incarnation de la vie et de l’énergie. Sans oublier qu’elle est généreuse et ne garde pas rancune longtemps. Offreriez-vous votre nourriture à des gens qui n’essaient même pas de cacher le fait qu’ils vous détestent et vous méprisent ? Elle ne le fait pas parce qu’elle se sent obligée, mais de son plein gré. Sa naïveté la trompe en lui faisant croire que s’ils partagent un repas avec elle, ils peuvent ignorer sa profession.
À leur crédit, ils commencent à lui parler plus amicalement, mais c’est tout ce qu’ils peuvent faire pour elle. Nous saurons quand elle aura besoin de la protection et du soutien qu’ils pourraient fournir, mais ils refusent sans hésitation. Les gens lui demandent ce que cela signifie pour elle, comme si une femme "libre" comme elle n’avait ni dignité ni fierté.
Bien sûr, vous pouvez justifier des compagnons de voyage, car les soldats pourraient facilement les tuer et s’en tirer, mais rien au monde ne peut expier leur comportement ultérieur. Le plus terrible, c’est que les religieuses sont celles qui sont censées être miséricordieuses, les membres de la noblesse sont ceux qui sont censés être sages, un fabricant est quelqu’un qui n’est pas censé avoir de stéréotypes, et un démocrate se révèle tout aussi superficiel., ingrat et cruel.
La leçon que le lecteur peut apprendre est qu’un cœur bon et compréhensif vaut plus qu’un statut social élevé et de l’argent. Une autre pensée est que la mémoire des gens est très éphémère, il vaut donc mieux réfléchir à deux fois avant d’accepter de se sacrifier pour le bien des autres. L’histoire de la Boule de Souif ne fait que le confirmer. Cependant, il y a aussi un message poignant ici : le scepticisme que la majorité de l’humanité est meilleure que les gens qu’Elizabeth rencontre lors de ce voyage.
- "Necklace" Guy de Maupassant, summary
- Guy de Maupassant: Short Stories
- "Symposium" of Plato, summary
- "Lady Windermere’s Fan" by Oscar Wilde, summary
- "Around the World in 80 Days" by Jules Verne, summary
- "History of Cardenio" by William Shakespeare, summary
- "The Canterville Ghost" by Oscar Wilde, summary
- "Doctor Faustus" by Thomas Mann, summary
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