« Un long chemin vers la maison » de Saroo Brierley Automatique traduire
«A Long Way Home» est un mémoire de 2013 de Saroo Brierley, un auteur d’origine indienne qui a été accidentellement séparé de sa famille biologique à l’âge de cinq ans et adopté par un couple australien. Les mémoires retracent le remarquable voyage de Saroo de l’Inde à l’Australie et retour 25 ans plus tard. Le livre a inspiré le film «Lion» de 2016 et est devenu un «New York Times Best Seller» après la sortie du film. Ce guide fait référence à l’édition 2015 publiée par Berkley Books, une empreinte de Penguin Random House.
«A Long Way Home» comprend un prologue, 13 chapitres et un épilogue. Le prologue décrit les moments éprouvants pour les nerfs avant que Saroo ne retrouve sa mère biologique après plus de deux décennies. Trouvant sa maison d’enfance vide, Saroo craint que sa mère soit morte ou ait déménagé dans un endroit éloigné jusqu’à ce qu’un étranger passe et l’emmène chez elle. Le chapitre 1 décrit les premières années de Saroo dans la maison de ses parents adoptifs, Sue et John Brierley. Saroo subit un choc culturel lorsqu’il arrive pour la première fois à Hobart, la capitale de l’île-État australienne de Tasmanie. Issu d’une pauvreté abjecte, Saroo doit s’adapter pour avoir sa propre chambre, pouvoir manger à sa faim et aller à l’école. Ses parents facilitent sa transition, tout en le comblant d’amour et d’affection. Saroo s’adapte rapidement à la vie en Australie, mais il rêve souvent de l’Inde et de sa famille biologique. Un an après son arrivée à Hobart, il dit à Sue qu’il vient d’un endroit appelé «Ginestlay» et qu’il s’est perdu après avoir pris un train à la gare de «Berampur». Le récit revient ensuite sur la vie de Saroo en Inde. Saroo vit dans une maison d’une pièce dans une banlieue de Khandwa appelée Ganesh Talai, qu’il partage avec sa mère hindoue, Kamla, ses deux frères aînés, Guddu et Kallu, et sa petite sœur, Shekila. Le père musulman de Saroo a abandonné la famille, forçant Kamla à accepter des petits boulots et les enfants à grappiller et à voler. Une nuit, Saroo, cinq ans, accompagne Guddu à la gare de Burhanpur pour mendier de la nourriture et de l’argent. Guddu lui dit d’attendre pendant qu’il s’occupe de quelque chose. Saroo s’endort, se réveille froid et monte dans un train vide. Le soleil s’est levé et le train est en mouvement lorsque Saroo se réveille quelques heures plus tard. Il descend à Kolkata et demande à des inconnus de l’aider à trouver «Ginestlay» et «Berampur», mais la plupart des gens l’ignorent. Il passe les semaines suivantes à mendier et à voler dans les rues dangereuses de Kolkata. La vie de Saroo prend une tournure inattendue lorsqu’un adolescent le livre à la police. Saroo est placé dans un centre de détention pour mineurs, où il est victime d’intimidation et battu. Il déménage alors dans un orphelinat. Quelques mois plus tard, Saroo apprend que la recherche de sa mère biologique a échoué et qu’un couple australien veut l’adopter. Sans espoir de retrouver sa famille, Saroo consent à l’adoption et s’envole pour l’Australie. Sue et John gardent Saroo connecté à ses racines indiennes par le biais d’organisations qui s’adressent à la communauté indienne florissante de Hobart. Lorsque Saroo a 10 ans, ses parents adoptent un deuxième enfant indien, un garçon nommé Mantosh. Contrairement à Saroo, Mantosh a du mal à s’intégrer à ses pairs, fait l’expérience du racisme et a des problèmes d’adaptation à la culture australienne. Saroo gagne en indépendance alors que ses parents se concentrent sur l’aide à Mantosh. Comme Sue, Saroo croit que l’adoption crée des familles authentiques avec des liens aussi forts que les familles biologiques. Malgré ces opinions progressistes et son amour pour Sue et John, Saroo décide de rechercher sa famille indienne tout en poursuivant un diplôme en hôtellerie à Canberra. Il recherche des endroits qui sonnent comme «Berampur» et «Ginestlay» à l’aide de Google Earth, en vain. Il reprend sa recherche après son retour à Hobart. Cinq ans après avoir téléchargé Google Earth, Saroo localise enfin sa ville natale de Ganesh Talai. Quelques mois plus tard, il embarque dans un avion pour l’Inde. Saroo débarque en Inde et subit un choc culturel pour la deuxième fois de sa vie. Armé d’une photo de lui enfant, il se dirige vers son ancienne maison de Ganesh Talai, aujourd’hui abandonnée. Un étranger l’emmène dans la nouvelle maison de sa mère, où il retrouve Kamla, Kallu et Shekila. Grâce à un traducteur, Saroo apprend que Guddu est mort la nuit où il a disparu. Il se rend également compte qu’il a mal prononcé son propre nom toute sa vie. Saroo a été baptisé Sheru, ce qui signifie «lion» en hindi. Saroo retourne en Inde une deuxième fois et recrée son voyage de Khandwa à Kolkata. Le voyage déclenche de nombreux souvenirs traumatisants, mais rappelle également à Saroo les nombreuses personnes qui l’ont aidé après sa perte. Il rencontre certaines de ces personnes et les remercie de leur aide. Saroo retourne une troisième fois en Inde pour présenter ses deux mères, un moment immortalisé pour la postérité par «60 Minutes Australia». Le mémoire se termine par une contemplation du destin. Saroo prétend n’avoir aucune croyance religieuse, mais il en est venu à considérer le destin comme une force légitime dans le monde et voit les événements malheureux de son enfance comme la raison pour laquelle il est si chanceux à l’âge adulte.
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