"Jeûner, festoyer" par Anita Desai Automatique traduire
«Fasting, Feasting» est divisé en deux parties : la partie I, qui se déroule dans un foyer strict et autoritaire en Inde et la partie II, qui se déroule dans une maison froide et isolée de la banlieue du Massachusetts. Les deux sections du roman sont racontées d’un point de vue à la troisième personne limité et omniscient, relatant deux membres de la même famille indienne.
Dans la première partie, le narrateur, à travers des flashbacks, explore la quête d’Uma pour trouver l’indépendance et l’identité dans l’atmosphère répressive et enrégimentée de Mama and Papa. Obsédés par le maintien d’une autorité traditionnelle à la maison, Mama et Papa sont souvent décrits comme une seule unité confondue, MamandPapa. Le voyage d’Uma est jonché de revers et d’échecs personnels. Simple d’esprit et intellectuellement limitée, elle est retirée de son école de couvent bien-aimée après avoir échoué à plusieurs reprises aux examens. Ses échecs scolaires sont suivis d’échecs dans le mariage. Ses parents, désespérés de l’épouser, se font escroquer deux dot par une autre famille désireuse de tirer profit de leur désespoir. Parce que le succès est défini de manière si étroite pour les hommes et en particulier les femmes dans la société d’Uma - soit ils sont accomplis à l’école, soit ils font de bons mariages - les échecs d’Uma dans les deux cas ne lui laissent pratiquement aucun choix ni agence. Alors que son frère cadet Arun part en Amérique pour aller à l’université et que sa sœur cadette Aruna est mariée à un mari éblouissant et riche à Bombay, Uma reste confinée chez ses parents, où elle vit comme une servante virtuelle, accueillant sans cesse ses parents. caprices et ordres. Aspirant à plus de liberté et d’indépendance, elle trouve une évasion à court terme à travers la poésie, à travers un voyage dans un ashram, à travers une sortie décadente avec son cousin mouton noir Ramu et à travers un passage bénévole dans un bazar d’église, mais toutes ces évasions s’avèrent être de courte durée.
La partie II explore la quête difficile d’Arun pour trouver l’indépendance et la liberté de toute obligation familiale en Amérique. Alors que son séjour à l’université est marqué par une liberté sans précédent, c’est la première fois qu’il connaît une vie libérée des obligations sans fin de sa famille. À la fin de l’année scolaire, il est contraint, par les circonstances et les arrangements de ses parents, de louer une chambre dans la maison de la famille Patton pendant les vacances d’été. Arun, plongé dans un autre réseau familial de conflits et d’obligations, est obligé de faire face à une marque uniquement américaine d’aliénation et de dysfonctionnement familiaux.
La narration et la description du paysage américain illustrent des rues de banlieue stériles, des centres commerciaux et des centres commerciaux sans fin, et des voitures annonçant les rêves et la fierté de leurs conducteurs avec des slogans creux sur les autocollants de pare-chocs. Perdu dans ce rituel quotidien de consommation insensée et d’aliénation spirituelle, chaque membre de la famille Patton a sa propre méthode problématique pour faire face au vide de sens et de connexion dans sa vie.
Coincé dans un autre réseau familial, Arun a du mal à trouver l’intimité et l’indépendance au sein de la famille. Au centre de ce défi se trouve une lutte pour une communication claire et ouverte. Écrasé par l’autorité indiscutable de Papa et élevé pour être un fils dévoué et obligeant, Arun n’a jamais développé les compétences sociales et de communication nécessaires pour se tailler une indépendance et une compréhension partagée. Sa relation avec Mme Patton, la matriarche de la maison Patton, est une épreuve continue de mauvaise communication et d’incompréhension. Bien que bien intentionnées, ses tentatives de se connecter avec Arun par la nourriture, les achats, le régime alimentaire et les sorties forcées deviennent un autre affront à la recherche d’autodétermination d’Arun. De même, les propres poursuites creuses de sens de M. et Mme Patton ont eu un impact dévastateur sur leurs enfants. Mélanie, la fille, oscille entre deux modes - silence maussade ou mépris amer - et dévore régulièrement de la malbouffe, qu’elle purge dans des vomissements boulimiques. Rod, le fils, choisit la perfection physique et la santé, s’exerçant sans cesse pour se distancer de ses parents. Ironiquement, alors que les congélateurs et les placards de la famille débordent de nourriture, le ménage est privé de chaleur nourrissante, d’amour et d’une véritable communauté.
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