"Un voyage sentimental à travers la France et l’Italie" de Lawrence Sterne, résumé
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Publié pour la première fois en 1768, le roman de Lawrence Sterne A Sentimental Journey Through France and Italy est l’histoire du révérend M. Yorick, qui réalise un jour qu’il n’est jamais allé en France et veut la comparer à la Grande-Bretagne. Après une vive dispute avec un ami, il fait ses valises et appareille le lendemain de Douvres pour Calais.
En chemin, il mange et boit dans une taverne, où il rencontre un moine franciscain. Bien qu’il soit déterminé à ne pas donner d’argent au moine, il se retrouve ensorcelé par l’homme. Le moine part alors que Yorick le réprimande pour dépendre du pain du "travail de quelqu’un d’autre". Dès que la porte se referme, Yorick regrette ses propos. Essayant d’éviter le moine dans la cour de l’auberge, Yorick cherche une voiture pour l’emmener dans son voyage.
Yorick monte dans la voiture et commence à écrire son carnet de voyage. Il décrit différents types de voyageurs, les décomposant en catégories. Il est finalement interrompu et retourne à l’auberge, où il trouve le propriétaire et discute de l’achat d’une voiture. Alors qu’il se dirige vers la boutique de calèches, Yorick se retrouve seul avec une jeune femme. Il l’insulte accidentellement, pensant finalement que le moine lui a raconté une mauvaise histoire à son sujet. Le moine est à proximité, et lui et Yorick échangent des tabatières; Yorick essaie désespérément de réparer une insulte inexistante.
En attendant d’entrer dans la boutique de calèches, Yorick tente d’engager la conversation avec une femme. Après une série de mésaventures, l’aubergiste revient avec la clé de la boutique et montre ses marchandises. Yorick et la femme montent dans une petite calèche puis se retrouvent enfermés à l’intérieur. Ils parlent, après quoi l’aubergiste revient et informe la femme que son frère est arrivé, et elle part. Yorick conclut rapidement un accord pour la voiture, se souvenant d’un écrivain de voyage rival nommé Smelfungus, que Yorick n’aime pas.
Yorick se rend à Montrioulle et, en y arrivant, engage un garçon nommé La Fleur comme domestique. La Fleur est un jeune homme sympathique, sinon particulièrement talentueux, qui accompagnera Yorick tout au long de son parcours. Ils se mettent en route et bientôt Yorick est rejoint dans sa voiture par La Fleur, dont le cheval a pris peur et s’est enfui. Plus tard, ils arrivent à Nampon et entendent l’histoire d’un âne mort qui a effrayé le cheval de La Fleur. Puis ils vont à Amiens. Là, Yorick espionne à nouveau la femme et finit par lui écrire une lettre, qui à son tour accepte de remettre la lettre de la femme à son amie à Paris, Madame de R---.
A Paris, Yorick rencontre un barbier et une nouvelle perruque lui est attachée. Il visite ensuite l’opéra, où il voit un officier français intervenir pour aider le nain. Sur le chemin du retour, il s’arrête pour acheter un livre, et rencontre une femme qui travaille comme femme de chambre chez Madame de R---, celle à qui il doit remettre la lettre. Lorsque Yorick revient à l’auberge, il constate que la police le recherche, car il n’a pas de passeport.
Le lendemain, Yorick reporte la remise d’une lettre à Madame R--- et se rend à Versailles dans l’espoir de rencontrer un homme qui l’aidera à obtenir son passeport. Après une promenade en calèche épuisante, il arrive chez un riche aristocrate et constate que le propriétaire est occupé et incapable de rencontrer Yorick. Après son départ, Yorick décide sur un coup de tête de se rendre chez le Comte de B---, l’homme dont il a parlé la veille avec le libraire. Le comte admire Shakespeare et rencontre immédiatement Yorick. Après avoir écouté le problème de Yorick, le comte s’amuse du fait que Yorick porte le nom d’un personnage de Hamlet et lui apporte un passeport, bien qu’il pense à tort que Yorick est un bouffon de la cour. Yorick refuse de corriger le comte et accepte le passeport, lui permettant de voyager sans crainte d’être arrêté.
Au cours des jours suivants, Yorick commence à se lier d’amitié avec la haute société parisienne. Le comte le présente à un certain nombre d’aristocrates, mais à la fin il s’ennuie de cet emploi du temps et décide d’aller en Italie.
Lors d’un voyage en Italie, Yorick s’arrête pour rencontrer Maria. Il s’agit d’une jeune fille dont l’histoire lui a été racontée par un ami, M. Shandy. Yorick trouve Maria en état de deuil et sent qu’un grand drame s’est produit dans sa vie. Touché par son sort, il lui dit au revoir. Les souvenirs de Marie ne le quittent pas sur le chemin de Lyon. Une nuit, ils s’arrêtent dans une petite maison de la campagne française. Yorick dîne avec sa famille et regarde leurs soirées dansantes.
Le lendemain, Yorick est obligé de passer la nuit dans une auberge. L’hôtel est complet, donc Yorick doit partager une chambre avec une dame et sa femme de chambre. Les arrangements de sommeil sont très préoccupants, mais finalement un accord a été conclu, y compris la stipulation que Yorick reste silencieux toute la nuit. Après qu’il ne peut pas dormir, Yorick grogne à haute voix. Ceci est considéré comme une violation de l’accord, et pendant que Yorick et la dame se disputent, une fille des chambres se fraye un chemin dans l’espace entre les lits. Le roman se termine au milieu de la phrase lorsque Yorick tend la main dans l’obscurité et trouve la fille.
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