« Poing, bâton, couteau, arme à feu :
une histoire personnelle de violence » par Geoffrey Canada Automatique traduire
«Fist, Stick, Knife, Gun: A Personal History of Violence» est le mémoire de 1995 de Geoffrey Canada qui détaille son passage à l’âge adulte dans le South Bronx. Il suit le Canada depuis l’âge de quatre ans jusqu’à l’âge adulte et décrit les formes différentes et de plus en plus meurtrières que la violence prend dans sa vie.
Les mémoires commencent par le Canada vivant avec ses trois frères aînés et sa mère nouvellement célibataire. Son père a récemment quitté la famille et sa mère essaie de survivre sans pension alimentaire. La première rencontre du Canada avec la violence est indirecte. Cela survient lorsque Dan et John, ses deux frères aînés, rentrent du parc un après-midi - Canada et son frère Reuben sont encore trop jeunes pour aller au parc - et disent à leur mère que la veste de John a été volée par un tyran du terrain de jeu. La réaction de leur mère à cette nouvelle surprend Canada : elle insiste pour que Dan et John retournent au parc et récupèrent la veste. Dan et John le font à contrecœur et reviennent dix minutes plus tard avec la veste, secoués mais triomphants. Le Canada est curieux de savoir comment ils ont réussi à maîtriser leur peur alors qu’ils avaient eu si peur plus tôt. Cet épisode marque sa première prise de conscience des codes de conduite qu’il devra apprendre pour survivre dans le Bronx. Peu de temps après, le Canada a sa propre rencontre directe avec la violence, lorsqu’il est envoyé par sa mère pour acheter une boîte de haricots au supermarché local. Un garçon se lie d’amitié avec lui à la caisse et les deux commencent à rentrer ensemble à la maison. Le garçon attire alors Canada dans une ruelle et lui vole sa petite monnaie (ou plutôt celle de sa mère). Bien que le Canada sache qu’il doit se défendre comme ses frères se sont défendus plus tôt, il est incapable de trouver le courage de le faire. Au cours des mémoires, cependant, il apprend progressivement à se défendre. Une fois qu’il est assez vieux pour commencer à passer du temps seul dans la rue sous son appartement, il est intronisé dans les rituels et les hiérarchies de la jeune virilité dans le Bronx. La bagarre est une activité régulière, même entre garçons amis ; c’est une façon pour ces garçons de faire leurs preuves et de montrer qu’ils sont assez forts pour survivre et se protéger les uns les autres. Si un garçon refuse de se battre, il est souvent sauvagement battu, non pas par une seule personne mais par le groupe. C’est ce qui arrive à Butchie, un gentil garçon plus âgé de la connaissance du Canada, qui est considéré comme «donnant une mauvaise réputation au bloc». Le Canada se lie d’amitié avec un garçon plus âgé nommé Mike, qui est à la fois intelligent dans la rue et intelligent à l’école. Il enseigne au Canada comment survivre dans la rue tout en validant son intellect et son amour de l’apprentissage. De Mike, Canada apprend des compétences telles que la façon de marcher dans la rue d’une manière qui montre que vous êtes dur; comment esquiver, tisser et frapper lorsque vous vous battez ; et comment paraître cool et inexpressif lorsque vous êtes effrayé et confus. En vieillissant, il voit autour de lui une violence de plus en plus grave. Il voit aussi des adultes violents et incontrôlables, ainsi que des enfants violents. À une occasion, lui et Mike se disputent avec un homme dont la voiture que le Canada a accidentellement heurtée avec un ballon de basket; la dispute devient presque violente, puisque Mike porte un couteau, tandis que l’homme (comme le soupçonne Canada) a une arme à feu dans la boîte à gants de sa voiture. Plus tard dans le livre, alors que Canada joue aux échecs sur le trottoir avec un ami, il est soudainement pris au milieu d’une poursuite entre un coureur de nombres - un homme adulte - et une fille de son âge; le coureur de numéros tient une arme de poing et la fille un fusil. La jeune fille pointe accidentellement l’arme sur Canada, et il réagit en s’enfuyant dans le bâtiment le plus proche et en se cachant dans la cage d’escalier. Ces deux épisodes illustrent comment la vie ordinaire dans le Bronx peut exploser en menace et en confrontation à tout moment. Au dernier chapitre des mémoires, le Canada s’est échappé dans un petit collège du Maine, mais retourne toujours dans son ancien quartier du Bronx pendant les vacances. Là, il constate que les gangs sont devenus de plus en plus répandus et il achète une arme à feu pour se protéger. Cependant, il constate que porter une arme à feu, tout en lui donnant un sentiment de sécurité lorsqu’il se promène dans les rues de son ancien quartier, le fait également agir d’une manière inutilement agressive et provocante. Le retour à son collège dans le Maine, où il n’y a pas besoin d’arme, lui donne également une perspective sur le potentiel destructeur de l’arme. Il finit par jeter l’arme. Le livre se termine par un épilogue, dans lequel le Canada devenu adulte décrit son travail à la Harlem Children’s Zone, un organisme communautaire. Il exprime sa conviction que des organisations telles que la sienne aident les communautés troublées bien plus que ne le font «des marches et des jingles télévisés». Il souligne également que s’il était encore relativement rare que les jeunes hommes portent des armes à feu à l’époque où il était jeune, c’est maintenant un spectacle courant. Il déclare que cela devrait être une préoccupation même pour les personnes qui ne vivent pas dans des endroits comme le Bronx, car c’est un problème qui s’étendra inévitablement au-delà de ces frontières, pour nous affecter tous. Il souligne également que s’il était encore relativement rare que les jeunes hommes portent des armes à feu à l’époque où il était jeune, c’est maintenant un spectacle courant. Il déclare que cela devrait être une préoccupation même pour les personnes qui ne vivent pas dans des endroits comme le Bronx, car c’est un problème qui s’étendra inévitablement au-delà de ces frontières, pour nous affecter tous. Il souligne également que s’il était encore relativement rare que les jeunes hommes portent des armes à feu à l’époque où il était jeune, c’est maintenant un spectacle courant. Il déclare que cela devrait être une préoccupation même pour les personnes qui ne vivent pas dans des endroits comme le Bronx, car c’est un problème qui s’étendra inévitablement au-delà de ces frontières, pour nous affecter tous.
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