"Sur la doctrine chrétienne" d’Augustin d’Hippone Automatique traduire
«Sur la doctrine chrétienne» de saint Augustin d’Hippone est un ouvrage théologique offrant des conseils pour l’interprétation des Écritures bibliques, ainsi que des préceptes d’Augustin pour une pratique rhétorique efficace et un enseignement chrétien. L’œuvre est apparue pour la première fois en 397 après JC. L’expertise d’Augustin sur ces sujets est double. En tant qu’évêque d’Hippone, Augustin apporte à sa théologie l’autorité ecclésiastique et une connaissance approfondie des Écritures ; en tant qu’ancien professeur de rhétorique, il parle en expert lorsqu’il propose à ses lecteurs un panorama des pratiques rhétoriques.
Au moment de sa publication, «De la doctrine chrétienne» a contribué à un discours religieux vivant mais souvent chargé. Du vivant d’Augustin, l’Église catholique gagnait rapidement en puissance mais n’était pas encore établie comme la seule autorité chrétienne de l’Empire romain. Face à des sectes rivales concurrentes et à de nombreux différends sur des questions d’autorité et de doctrine scripturaires, la théologie d’Augustin a joué un rôle important dans l’établissement du catholicisme orthodoxe. «On Christian Doctrine» est considéré comme l’une de ses œuvres les plus célèbres et les plus influentes. Ce guide d’étude utilise l’édition de livre électronique Kobo de «On Christian Doctrine» produite par Wyatt North Publishing en 2010 avec la traduction et l’édition par Jeremiah Vallery. Augustin ouvre «De la doctrine chrétienne» par une préface qui aborde de manière préventive certaines des critiques que son travail pourrait attirer. Certains lecteurs, dit-il, ne parviendront pas à comprendre ses règles, et d’autres croiront qu’ils n’ont pas besoin de règles pour interpréter les Écritures. En réponse, Augustin soutient que l’enseignement est une forme essentielle d’amour et d’unité entre les hommes, et qu’il est important d’être humble et disposé à recevoir des instructions et à donner également des instructions librement. Dans le livre 1, Augustin présente certaines de ses idées générales concernant la doctrine chrétienne, en particulier la centralité de l’amour dans la foi chrétienne. Il soutient que la leçon la plus importante de l’Écriture est d’aimer son prochain comme soi-même et d’aimer Dieu de tout cœur comme le bien suprême. Il exhorte également le lecteur à privilégier ce qui est spirituel et éternel par rapport aux choses éphémères et matérielles de cette terre. Augustin parle aussi de l’importance de maintenir la foi en l’autorité des Écritures ; si cette foi est compromise, un chrétien peut perdre sa foi et son amour. Dans le livre 2, Augustin discute de la nature des signes et de la différence entre le littéral et le figuré dans les Écritures. Augustin explique l’importance d’apprendre les langues - latin, grec et hébreu - afin de comparer efficacement les traductions et de détecter les erreurs qui pourraient exister dans de nombreuses traductions latines. Augustin plaide pour l’autorité des églises et des textes les plus établis, vénérés et faisant autorité pour aider à résoudre les différends religieux ou les problèmes d’interprétation. Il argumente contre les superstitions et les pratiques païennes mais exhorte également les lecteurs à prendre ce qui est utile des auteurs païens. Dans le livre 3, Augustin fournit des conseils pour distinguer si un passage est littéral ou figuré et présente l’Écriture comme autonome et unifiée. Toutes les questions de confusion sur un passage de l’Écriture peuvent être résolues en consultant d’autres passages de l’Écriture. Il résume et discute également les sept règles d’interprétation décrites par le théologien Ticonius et célèbre l’Église catholique comme le nouvel Israël spirituel. Dans le livre 4, Augustin tourne son attention vers l’art de la rhétorique et comment un enseignant chrétien peut instruire efficacement les autres dans la foi. Augustin défend les auteurs canoniques de la Bible contre ceux qui prétendent que leur style est maladroit et inélégant, offrant des passages de saint Paul comme réfutation. Augustin insiste ensuite sur l’importance d’utiliser la rhétorique pour le bien (c’est-à-dire pour répandre la foi) et non pour la vaine gloire personnelle. Il exhorte également les enseignants chrétiens à mener une vie irréprochable pour éviter l’accusation d’hypocrisie. Il termine par des excuses pour la longueur de son travail,
- «The City of God» by Augustine of Hippo
- Art historians have discovered the original painting "St. Augustine" by Caravaggio
- «Old School» by Tobias Wolff
- «About a Boy» by Nick Hornby
- «On First Looking into Chapman’s Homer» by John Keats
- «On Earth We’re Briefly Gorgeous» by Ocean Vuong
- «Old Yeller» by Fred Gipson
- «On Beauty» by Zadie Smith
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