"L’un des nôtres" de Willa Cather Automatique traduire
«One of Ours» est un roman lauréat du prix Pulitzer de 1923 de Willa Cather, une auteure américaine surtout connue pour ses descriptions de la vie dans les Grandes Plaines. Ce roman suit l’évolution personnelle d’un jeune homme du nom de Claude Wheeler, divisant son histoire en deux parties : sa vie dans une ferme familiale du Nebraska et ses expériences de soldat en France pendant la Première Guerre mondiale.
Explorant les thèmes de l’agitation juvénile, la recherche de sens et le sens de la détermination trouvés en temps de guerre, «One of Ours» est parmi les œuvres les plus acclamées et les plus critiquées de Cather. Ce guide fait référence à la version 2004 du projet Gutenberg de «One of Ours» (eBook #2369). «One of Ours» commence dans une ferme familiale le long de Lovely Creek près de Frankfort, Nebraska. Le protagoniste du roman, âgé de 19 ans, Claude Wheeler, se sent intellectuellement éloigné des ouvriers agricoles, des habitants de la ville et des membres de sa famille. Claude n’est pas d’accord avec les valeurs capitalistes de son père, le matérialisme égocentrique de ses frères aînés et la dévotion inconditionnelle de sa mère au christianisme. Cherchant une perspective plus large, il passe des cours à l’école religieuse du Temple à des cours à l’Université d’État du Nebraska. Là, il se lie d’amitié avec un jeune intellectuel nommé Julius Erlich et passe du temps avec les Erlichs, une famille allemande cultivée. Les études de Claude sont interrompues par la décision de son père d’acheter un ranch dans le Colorado. Son père et son frère, Ralph, déménagent au Colorado pour s’occuper du ranch, laissant Claude s’occuper de la ferme du Nebraska. Bien que Claude s’adapte aux exigences physiques de la vie à la ferme, il est mentalement et émotionnellement distrait et sent que sa vie manque de sens. Un jour, il perd le contrôle de son attelage de mulets en labourant les champs et se blesse gravement au visage. Alors qu’il est alité et en convalescence, une fille locale nommée Enid Royce vient régulièrement lui rendre visite. Claude devient étroitement attaché à Enid, croyant qu’elle peut lui donner un sens à la vie. Claude et Enid se marient peu de temps après qu’il se soit remis de son accident. Cependant, il apprend bientôt qu’ils forment un couple mal assorti. Enid est très religieuse et réticente à s’engager dans une affection physique avec son mari. Elle passe la plupart de son temps loin de chez elle, participant au ministère et aux campagnes liées à la prohibition. Quand Enid apprend que sa sœur missionnaire, Carrie, est malade en Chine, elle décide de déménager en Chine et d’aider à prendre soin d’elle. Après le départ d’Enid, Claude s’intéresse de plus en plus aux développements de la Grande Guerre en Europe. Il décide de s’enrôler dans l’armée et devient lieutenant après avoir terminé sa formation de base. Accompagné de 2 500 compagnons d’armes, il s’embarque pour la France sur un navire appelé «l’Anchise». Sur les «Anchises», Claude se lie d’amitié avec un aviateur de l’Aviation canadienne du nom de Victor Morse, un jeune homme mondain en quête de sensations fortes qui a développé un accent britannique bien qu’il soit originaire de l’Iowa. Le long du chemin, une épidémie de grippe éclate et plus de 30 soldats meurent à bord du navire. Plutôt que d’être découragé par cette perte, Claude apprend à prospérer sous la pression. Il est promu au poste d’assistant médical et il trouve un sens à ses luttes. Lorsque les troupes arrivent en France, le commandant de Claude le jumelle avec un collègue lieutenant nommé David Gerhardt. Avant la guerre, Gerhardt était violoniste professionnel et Claude éprouve à son égard un mélange d’admiration et d’envie. Gerhardt présente Claude aux Joubert, un vieux couple français qui a perdu deux fils à la guerre. Les Joubert leur réservent un accueil chaleureux et les traitent comme une famille. Alors qu’ils marchent de tranchée en tranchée, l’unité de Claude observe les conséquences tragiques de la guerre sur les civils et les soldats. Les troupes aident une veuve française affamée avec deux enfants. Ils rencontrent des soldats mineurs et voient des enfants prisonniers être exécutés. Claude apprend également que Victor a été abattu par huit avions allemands, et qu’il est mort dans un crash spectaculaire après avoir abattu lui-même trois avions. Bien qu’attristé par la mort de son ami, Claude est réconforté par l’idée qu’il est mort héroïquement et il continue de croire que la guerre imprègne les hommes d’un noble objectif. Claude est finalement placé à la tête d’une compagnie à la section Boar’s Head de la tranchée Moltke. Ils s’engagent rapidement dans une bataille dangereuse avec les Allemands. Pendant la bataille, il renvoie Gerhardt avec un message et prie pour que son ami survive, suppliant Dieu de l’épargner et de se suicider à la place. Alors que les Allemands avancent sur eux, Claude est abattu et tué. Il meurt sans apprendre que Gerhardt a également été tué. Bien que Claude meure jeune,
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