"Une Confession" de Léon Tolstoï Automatique traduire
«Une Confession» de Léon Tolstoï, publiée en 1882, est un ouvrage autobiographique qui traite des aspects philosophiques et religieux du sens de la vie. La lutte de Tolstoï pour vivre une vie pleine de sens forme le cœur du récit. L’auteur retrace le développement de ses idées sur la rationalité, la foi et le but dans le contexte de sa jeunesse en Russie et de sa carrière d’écrivain et de sa vie de famille. Les crises existentielles de Tolstoï documentées dans les pages de «A Confession» incluent des moments de dépression et des pensées suicidaires, auxquels le lecteur doit être préparé. Ce guide utilise l’édition de 1983 de l’ouvrage publié par WW Norton & Company et traduit par David Patterson.
Léon Tolstoï est l’un des écrivains les plus grands et les plus importants du monde. Ses œuvres, dont «Guerre et Paix» (1867) et «Anna Karénine» (1878), sont régulièrement classées parmi les meilleurs romans de tous les temps, et d’autres écrivains de Gustave Flaubert à Virginia Woolf ont chanté les louanges de Tolstoï. La perspicacité psychologique aiguë de Tolstoï est l’une des caractéristiques convaincantes de son œuvre, et «A Confession» offre une occasion fascinante de suivre l’auteur dans son voyage psychologique à travers le désespoir le plus profond et la clarté joyeuse. Tolstoï ouvre le livre avec un instantané de son enfance en Russie et, en particulier, sa compréhension de la foi et de la religion en tant que jeune. Il explique qu’il a perdu sa foi chrétienne pendant ses études universitaires mais qu’il a maintenu une vague croyance en Jésus-Christ. Sa seule vraie foi en tant que jeune adulte était dans la capacité de s’améliorer physiquement, moralement et intellectuellement. Tolstoï a été ridiculisé par ses pairs pour sa moralité. Il a déménagé à Saint-Pétersbourg et a rejoint une communauté d’écrivains, où ses efforts d’auto-amélioration ont diminué, et il est devenu dégoûté de lui-même et de sa communauté pour leur désir égoïste de gloire et de fortune. Tolstoï écrit ensuite que le fait d’avoir été témoin d’une décapitation publique à Paris l’a poussé à prendre la décision de prendre ses propres décisions sur le bien et le mal. Il est retourné en Russie mais est tombé dans un malaise spirituel qui a duré 15 ans. Il a alors décidé d’affronter des questions difficiles sur le sens de la vie qu’il avait évitées. Tolstoï a commencé à sentir que la vie n’a pas de sens. Les sources de plaisir antérieures, telles que la famille et l’écriture, perdirent leur douceur quand Tolstoï considéra que tout finit par la mort. Tolstoï discute ensuite des lacunes des sciences. Il a abandonné sa croyance au progrès quand il s’est rendu compte qu’une telle croyance est absurde dans un monde sans signification. Tolstoï renforce sa conclusion que la vie n’a pas de sens en faisant référence au travail de grands penseurs comme Socrate et Schopenhauer qui s’accordent à dire que la vie est vaine et sans but. Tolstoï est dans le gouffre du désespoir à ce stade du récit. Au chapitre 7, l’auteur discute de quatre façons d’échapper au piège du non-sens : l’ignorance ; l’épicurisme, ou se perdre dans les plaisirs ; suicide; et simplement laisser la vie s’éterniser. Tolstoï cite le suicide comme la plus honorable de ces évasions mais admet qu’il est trop faible pour emprunter cette voie. Tolstoï cherche à trouver une erreur dans la logique qui l’a amené à ce point. Tolstoï commence à réfléchir sur sa fierté, qui lui a fait ignorer la façon dont des millions de personnes ont trouvé un sens à travers la foi. Il fait l’hypothèse difficile que la réponse à la question de la vie pourrait impliquer l’abandon de la raison. Finalement, Tolstoï a découvert le défaut causé par son engagement envers la rationalité : il a cherché des réponses qui existent en dehors du domaine de la raison. Il a conclu que seule la foi peut donner un sens. Il se plonge alors dans l’étude de diverses religions et est déçu par le comportement des élites chrétiennes qui n’adhèrent pas à leurs nobles principes. Tolstoï a trouvé que seule la foi pure et simple des gens ordinaires est authentique. Tolstoï compare son existence à celle de la classe ouvrière et se rend compte qu’il n’a pas pu comprendre le sens de la vie parce qu’il a gaspillé la sienne dans l’égoïsme. Il entreprit alors de mener une vie simple comme les masses fidèles qu’il admirait. Fondamentalement, Tolstoï s’est rendu compte que tant qu’il cherchait Dieu, il se sentait sûr de lui et fort. Tolstoï a lutté avec la théologie orthodoxe mais a essayé de l’accepter comme faisant partie de son cheminement de foi. Cependant, il a eu du mal à accepter des rituels religieux qu’il trouvait absurdes. Tolstoï découvrit de plus en plus qu’il se sentait plus proche de Dieu lorsqu’il écoutait les pauvres fidèles parler de leur vie, tandis qu’il tombait plus profondément dans le désespoir lorsqu’il fréquentait des personnes instruites et aisées. En fin de compte, Tolstoï a rompu avec l’Église orthodoxe russe, décidant qu’une approche interconfessionnelle ou œcuménique de la foi, dans laquelle l’acquisition d’une plus grande connaissance spirituelle est la chose la plus importante, est la meilleure voie à suivre.
- "Première Confession" de Frank O’Connor
- "Confession" de Jean-Jacques Rousseau, résumé
- "La confession de l’artiste" dans la galerie "Hazine" est dédiée à la mémoire d’Ildar Zaripov
- Confessionnal sur roues, inventeurs du cinéma, modèle sur le ring
- Confession de la femme. 6+
- Sergey Yesenin "Confessions of a Hooligan" 6+
Vous ne pouvez pas commenter Pourquoi?