"Souviens-toi" de Joy Harjo Automatique traduire
«Remember» apparaît dans le premier livre de poèmes de la poète américaine Joy Harjo, «She Had Some Horses» (1983). La version du livre pour enfants, avec des illustrations de Michaela Goade, est tirée de Random House Children’s Books (2023). Harjo est la première femme amérindienne à être nommée poète lauréate des États-Unis. Son travail explore les thèmes de la culture actuelle et historique des peuples autochtones, du féminisme et de l’appréciation du monde naturel. Comme beaucoup de poèmes de Harjo, «Remember» est écrit en vers libres et emploie des techniques littéraires d’anaphore (répétition), de personnification, de métaphore et d’imagerie de la nature. Il rappelle au lecteur de «se souvenir» de la nature et de traiter différents éléments de la nature, tels que le soleil, la lune, les étoiles, le vent, les plantes et les animaux comme des membres de la famille.
Poète Biographie Joy Harjo est de la tribu Muscogee (Creek). Initialement nommée Joy Foster, elle a adopté le nom de famille de sa grand-mère «Harjo». qui signifie «si courageux qu’il semble fou». Né le 9 mai 1951 à Tulsa, Oklahoma, Harjo a commencé à demander des livres dès son plus jeune âge. Elle ne se considérait pas comme une poète jusqu’à l’université, lorsqu’elle est passée de la pré-médecine à l’écriture créative. Elle a étudié d’autres types d’art, notamment la peinture et la musique à l’Institut des arts amérindiens du Nouveau-Mexique. Après avoir obtenu sa maîtrise en création littéraire à l’Iowa State University, elle a continué à écrire de la poésie, à jouer du saxophone, à enseigner, à publier et à sortir des albums de musique et de créations orales. Elle a écrit neuf livres de poésie, sorti sept albums, deux livres pour enfants et un mémoire, «Crazy Brave» (2012), dans lequel elle raconte l’histoire d’avoir grandi dans une maison avec un beau-père qui l’a humiliée, comment elle a quitté la maison à l’âge de 16 ans et est devenue une mère adolescente, et comment elle est finalement venue à la poésie. En 1999, elle a été nommée première poétesse autochtone américaine et a servi pendant trois mandats consécutifs. Poème Texte Harjo, Joie. "Se souvenir". 1983. « Poètes.org ». «Remember» est un poème-liste dans lequel le locuteur répertorie toutes les choses dont le lecteur du poème doit se souvenir. L’orateur commence par quelque chose de grand : «Souviens-toi du ciel sous lequel tu es né». Ils énumèrent d’autres éléments du ciel, y compris les étoiles et la lune, personnifiant chacun. La star a des «histoires», et le lecteur doit connaître chacune d’entre elles. Elle leur conseille de «se souvenir de la naissance du soleil à l’aube, c’est le point le plus fort du temps. Souvenez-vous du coucher du soleil et de l’abandon à la nuit» (Lignes 4-6). Comme dans les quatre premiers vers, l’oratrice personnifie les éléments du ciel, mais elle précise que le lever du soleil est le point le plus «fort» du temps, et la nuit, les choses «cèdent» à la nuit. Dans les quelques lignes suivantes, l’orateur se concentre sur le lecteur en lui disant : «Souviens-toi de ta naissance, comment ta mère a lutté pour te donner forme et souffle» (Lignes 7-8). Elle dit au lecteur qu’ils sont des « preuves » non seulement de la vie de leur mère, mais aussi de la vie de tous ceux qui les ont précédés et de tous ceux qui les ont créés, y compris leur père et leurs ancêtres. Ensuite, l’orateur parle de la terre en disant: «Souviens-toi de la terre dont tu es la peau». Elle personnifie la terre et inclut le lecteur dans cette personnification. Elle précise qu’elle parle de toutes les personnes avec toutes les couleurs de peau différentes, ce qui implique que la terre a plusieurs couleurs de peau. Cette lignée rassemble toutes les nationalités : «terre rouge, terre noire, terre jaune, terre blanche terre brune, nous sommes terre». (Lignes 12-13) Elle poursuit cette personnification en disant : «Souvenez-vous des plantes, des arbres, de la vie animale qui ont tous leurs tribus, leurs familles, leurs histoires aussi» (Lignes 14-15). L’orateur compare les plantes et les animaux à des êtres humains, leur attribuant des attributs humains. Dire qu’ils ont des familles, des tribus et des histoires implique qu’ils sont capables de former les mêmes types de structures sociales et de liens communautaires que les gens forment. Elle les humanise pour montrer leur égalité aux êtres humains. Elle dit au lecteur de «Parlez-leur, écoutez-les. Ce sont des poèmes vivants» (Lignes 15-16). Elle rappelle ensuite au lecteur que les plantes et les animaux ont des choses à enseigner aux êtres humains, et qu’ils gagneraient à écouter et à répondre. L’orateur passe au vent en disant : «Souviens-toi du vent. Rappelez-vous sa voix. Elle connaît l’origine de cet univers». L’orateur personnifie le vent comme une femme qui existe depuis le début de l’univers. Cela implique que le vent peut en savoir beaucoup plus que le lecteur, car il en a tellement vu.
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