"Réflexions sur la révolution en France" par Edmund Burke Automatique traduire
Les «Réflexions sur la Révolution en France» d’Edmund Burke, publiées pour la première fois en 1790, sont écrites comme une lettre à un ami français de la famille de Burke, Charles-Jean-François Depont, qui demande l’opinion de Burke sur la Révolution française à ce jour. Burke est un homme politique et théoricien politique de la fin du XVIIIe siècle bien connecté, bien que ce tract devienne son premier ouvrage important sur le sujet. Dans «Réflexions sur la Révolution en France», Burke parle longuement du développement de la Révolution française, et notamment, des développements de l’Assemblée française ; la détention du monarque français Louis XVI et de son épouse, Marie-Antoinette ; la saisie des biens et fonds ecclésiastiques et aristocratiques; et d’autres changements radicaux qui se sont déroulés en France à ce jour.
La réponse de Burke à Depont est dans la tradition épistolaire. Il adresse sa réponse au destinataire (Depont), mais il est clair que le public de Burke est plus que Depont. Tout au long de la lettre, Burke offre son résumé sur les mesures prises par l’Assemblée française ; cependant, il rappelle fréquemment au lecteur que sa connaissance de la France est limitée et que ses récits ne sont souvent pas de première main. Le récit, étant de tradition épistolaire, prend souvent la forme d’effusions spontanées et utilise un ton informel ; cependant, ce que Burke offre ici est son opinion sur la révolution en France basée sur son opinion de ce qui constitue la société la plus performante disponible pour l’humanité. Dans ce, il distingue ce en quoi il croit (des abstractions comme les droits de l’homme - que les hommes ont de la dignité et peuvent rechercher le bonheur) et ce qu’il croit qui fonctionnera dans la pratique (comment un gouvernement peut également assurer ces droits parmi ses citoyens). Ce traité de théorie politique, comme on l’appellerait, serait largement lu par les contemporains politiques de Burke, avec des critiques polarisantes. Burke, un Whig, s’éloigne de son parti concernant la réponse négative de la lettre à la Révolution française. Ancien partisan de plusieurs révolutions, notamment aux États-Unis nouvellement créés, Burke suscite le choc de ses contemporains en proposant que les Français se trompent dans la poursuite de leur nouveau gouvernement. «Réflexions sur la Révolution en France» reçoit cependant une critique positive du monarque d’Angleterre, George III, établissant Burke comme un conservateur politique. En fin de compte, alors que Burke exhorte les lecteurs à conserver les institutions établies comme la monarchie, l’église et l’aristocratie, il implore ses compatriotes de suivre le cours sage, quoique réactionnaire, de leurs ancêtres. «Réflexions sur les Révolutions en France» s’impose durablement comme l’un des arguments les plus influents du conservatisme en philosophie politique. La lettre remet globalement en question de nombreuses théories populaires des Lumières, une période qui a prospéré pendant une grande partie du XVIIIe siècle et a été menée par des écrivains comme Jean Jacques Rousseau, qui se sont prononcés contre des établissements comme la monarchie et l’église, les accusant de corruption et d’oppression. Burke entre également en conflit avec les Lumières et les sentiments de la Révolution française car il soutient que la prudence est une ligne de conduite plus sage que tout acte radical : il utilise à plusieurs reprises la lettre pour dénoncer des clubs comme Jacobin et la Revolutionary Society à Londres, connus pour diffuser des idées radicales s’opposant à des établissements de longue date comme les monarchies, les pouvoirs hérités et l’église. De tels penseurs radicaux, dont Thomas Paine et Mary Wollstonecraft, seraient les détracteurs les plus bruyants de Burke et établiraient Burke comme un opposant à une théorie populaire de l’époque : les droits de l’homme. Dans « Réflexions sur la Révolution en France », Burke expose la folie de cette révolution particulière en se basant sur ce qu’il considère comme une série d’incompréhensions fondamentales de la part des défenseurs des droits de l’homme. Il avertit tout pays de se souvenir de son caractère et de sa société sur une seule entité. Il utilise la France comme analogie, mais il est clair qu’il voit le caractère des Français et des Anglais - la chevalerie et la civilité - comme relatable. En oubliant leur caractère, et en dissolvant les représentations de celui-ci - la couronne, les mœurs et l’aristocratie - et en plaçant leur foi dans un nouveau genre d’homme (les «sophisters», comme Burke les appelle), non seulement le pays, mais ainsi chaque homme perdra son noble caractère. Il soutient ensuite que les révolutions de ce genre, ironiquement construites sur les droits des hommes, méconnaissent grandement le caractère de l’homme, et en particulier son rapport embrouillé avec le pouvoir. Burke utilise une grande partie de sa lettre pour expliquer comment, après la perte de la civilité, il n’y a rien pour vérifier et équilibrer le caractère de chaque homme, tout comme il n’y a rien pour vérifier et équilibrer la corruption au sein du gouvernement sans une répartition appropriée du pouvoir. Il veut insister sur le fait que la liberté est positive, mais qu’elle existe traditionnellement - et donc, dans l’esprit de Burke, à juste titre - au sein d’un système : les gens peuvent maintenir une liberté relative parce qu’ils ont un contrat social pour se comporter de manière civile - c’est le échange réciproque qu’ils font. Il soutient que les penseurs radicaux semblent penser qu’il n’y a pas de réciprocité entre être libre et céder un niveau de pouvoir à la loi sociale ; Burke pense que cela jette les bases du règne de la foule, dans lequel les gens sont libres dans un sens, mais jamais à l’abri de la peur de perdre leurs moyens de subsistance ou leur sécurité. Burke pense que tout le fondement de la Révolution française est défectueux car il est construit sur l’idéal de l’individualisme. Burke déclare que c’est l’érudit radical, l’écrivain et l’avocat qui dirige l’Assemblée à Paris, et non le politicien ou le clerc expérimenté, qui travaillent pour le bien du peuple. Il soutient qu’une série d’abstractions sont promises, basées sur l’intellectualisme radical et/ou l’opportunisme cupide. Burke prédit que ces abstractions échoueront dans la pratique parce que l’Assemblée rejette les hommes de savoir réel et habilite ceux qui ne possèdent aucune connaissance ancienne de la responsabilité qui est requise pour diriger une armée ou gérer des domaines fonciers. Il note que cette révolte donne du pouvoir aux hommes d’opportunités : des hommes autodidactes, jaloux de ne pouvoir progresser autrement que par la mise de côté de leurs concurrents et la formation de leur propre monopole ; en fait, Burke déclare à une occasion qu’une démocratie directe n’est pas loin d’être une tyrannie, quand elle tourne mal. En chassant la noblesse et les clercs au profit de cette nouvelle race de chef, les Français chassent également les derniers de ceux qui comprennent l’importance de cette responsabilité. Burke soutient que cela conduira au chaos. Il suggère également que l’Assemblée décide de négocier le pays sur la base de l’abstraction : dans des proportions géométriques et numériques qui ne tiennent pas beaucoup compte du caractère du territoire qu’elles divisent. De plus, l’abstraction existe pour Burke sous la forme de papier-monnaie plutôt que d’argent ou de métal précieux : il critique le montant figuratif que l’Assemblée accorde à l’argent, qui n’est qu’une autre guerre entre l’abstrait et le concret dans l’esprit de Burke, avec lui toujours du côté du méthode éprouvée. «Réflexions sur la Révolution en France» peut certainement être lu comme anti-droits ; cependant, il s’agit plus précisément et globalement d’un tract d’anti-radicalisme, dans lequel Burke souligne la différence entre modifier un système (comme ce que l’Angleterre a fait pendant la Glorieuse Révolution et remplacer un mauvais monarque par un bon) plutôt que de raser un système (comme ce que font les Français en créant un gouvernement entièrement nouveau : pouvoir législatif, exécutif, judiciaire, etc.). Burke pense que le radicalisme et les penseurs radicaux créent des troubles ; l’agitation, soutient-il, crée la division. La division, soutient-il, ouvre la voie au règne de la foule. Il prédit finalement que le gouvernement français, étant donné qu’il n’est construit sur aucune base solide et existante, s’effondrera. Les théoriciens des Lumières préconiseraient une action abrupte et radicale qui s’aligne sur la Révolution française, tandis que Burke plaide abondamment pour de petits changements prudents au cours de nombreuses années. À Burke, révolution, lorsqu’elles sont injustifiées par la tyrannie ou par de grandes souffrances et commencées dans le cadre des objectifs les plus grandioses, il peut encore y avoir de mauvaises idées masquées en nobles, perpétrées par de mauvais hommes déguisés en bons. Burke croit que Louis XVI est un roi doux, et peut-être trop indulgent ; ainsi, il voit le traitement de l’Assemblée envers lui et d’autres aristocrates comme un simple châtiment et de la cruauté : une faiblesse de caractère qui ne fera que s’aggraver à mesure que les habitants de la France deviendront plus malheureux. Quant à la monarchie, Burke souligne la nécessité de modifier ces institutions en France, soulignant à plusieurs reprises leur nature imparfaite, mais il soutient qu’il n’est pas nécessaire, sur la base de l’absence immédiate de tyrannie ou de négligence, d’abolir complètement ces institutions; En fait, il soutient que cela nuira finalement à la France au niveau national (sous la forme de sa capacité à percevoir des revenus) et à l’étranger (sa capacité à défendre ses colonies). Burke, bien qu’il maintienne que la réforme est nécessaire à la fois au monarque et aux règles de la noblesse en France, pense que ces institutions ont leur nécessité, tout comme elles l’ont en Angleterre. Peut-être que la plus grande caractéristique du conservatisme dans les «Réflexions sur la Révolution en France» de Burke se révèle être la préoccupation de Burke pour le sermon du Dr Richard Price et ceux qui pourraient sympathiser avec ses paroles d’éloge de la Révolution française. Burke prend également grand soin d’expliquer comment, avec la Magna Carta, la Glorieuse Révolution rétablit davantage la forme de gouvernement existante de l’Angleterre, recourant aux traditions séculaires de leur État : une monarchie héritée, la pairie, la Chambre des communes, et protestantisme. La Révolution française, au contraire, offre, selon l’estimation de Burke, un gouvernement complètement nouveau, jusqu’ici «défait» dans les nations européennes légendaires: non lié à toute histoire, code ou religion. Sans manières et désordonnés, les architectes sont des avocats et des intellectuels aventuriers, et non les robustes seigneurs et évêques auxquels Burke fait confiance. Le seul plan que Burke dépeint est une liste d’abstractions et une nation divisée en carrés autour de Paris. «Réflexions sur la Révolution en France» est, à la base, le récit édifiant de Burke contre ce qu’il considère comme ce nouveau désert politique. Cette diatribe épistolaire existe parce qu’il ne veut pas que l’Angleterre abolisse de la même manière ses propres institutions nobles et sa riche convention historique pour la promesse d’idéaux donquichottesques, capitalisés par des hommes sans caractère inné. au contraire, offre, selon l’estimation de Burke, un gouvernement complètement nouveau, jusqu’ici «défait» dans les nations européennes légendaires: non lié à toute histoire, code ou religion. Sans manières et désordonnés, les architectes sont des avocats et des intellectuels aventuriers, et non les robustes seigneurs et évêques auxquels Burke fait confiance. Le seul plan que Burke dépeint est une liste d’abstractions et une nation divisée en carrés autour de Paris. «Réflexions sur la Révolution en France» est, à la base, le récit édifiant de Burke contre ce qu’il considère comme ce nouveau désert politique. 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