"Une enfance américaine" d’Annie Dillard Automatique traduire
L’auteure lauréate du prix Pulitzer Annie Dillard a écrit le mémoire autobiographique «An American Childhood» (1987). Dans ces mémoires, Dillard (née en 1945) décrit son développement intellectuel, depuis son premier véritable éveil intellectuel, à 5 ans, en passant par ses années de pré-adolescence occupées et heureuses et son adolescence turbulente, jusqu’à son acceptation dans un prestigieux collège privé à 18 ans. Exploration de son enfance dans les années 1950, ces mémoires fonctionnent comme une histoire de passage à l’âge adulte dans laquelle l’auteur s’éveille au monde et à ses possibilités. Esprit vif et observateur, Dillard prône un tel éveil pour tous ses lecteurs.
Cet éveil intellectuel - ainsi que la description de Dillard de la terre, de son histoire, de ses rochers et pierres et de ses créatures - lie Dillard à la période romantique américaine des lettres américaines, en particulier au transcendantalisme. La contribution majeure du transcendantalisme reste l’idée que la divinité imprègne la nature et l’humanité, les unissant. La prose de Dillard, avec ses hommages directs et ses échos au «Walden» de Thoreau et aux essais lyriques d’Emerson, participe d’un usage moderne de cette philosophie et de cet imaginaire américains uniques qui ont fleuri dans les années 1830 et 1840. Dillard a fréquenté l’école publique jusqu’à la cinquième année, puis a fréquenté une école privée appelée Ellis School. Elle admet dans ses mémoires qu’elle y a reçu une excellente éducation, même si, adolescente, elle s’est froissée contre les règles et les restrictions de son école. Dans l’ensemble, son enfance a consisté en toutes les ressources nécessaires pour élever un membre brillant, prospère et contributeur de la société : le soutien affectueux et la structure de ses parents intelligents et légèrement excentriques, des ressources matérielles, une excellente éducation et de nombreux contacts sociaux avec d’autres personnes. son groupe socio-économique - les blancs et les gens aisés de Pittsburg. Enfant, Dillard adorait ses deux parents, les croyant infaillibles. Dillard raconte la majeure partie du récit d’un point de vue à la première personne; par conséquent, le récit entraîne le lecteur dans l’histoire par immersion dans la conscience de Dillard. Le monde décrit par Dillard tourne autour de son interprétation des événements et de son expérience de la vie autour d’elle. Cette technique met l’accent sur la perception, en particulier lorsqu’une Dillard d’âge moyen décrit les événements de son enfance. Elle aussi, aux côtés du lecteur, revient sur son enfance à travers les événements particuliers dont elle se souvient, et s’interroge sur «comment» elle s’en souvient. Le point de vue à la première personne ajoute un sentiment d’immédiateté au récit : en tant que lecteurs, nous vivons la vie comme le fait Dillard. Lorsque Dillard fait irruption à la deuxième personne, elle invite le lecteur dans son histoire en tant que participant. Elle reconnaît le lecteur comme se joignant à elle dans le processus de prise de conscience constante et vigilante qui est le motif le plus significatif de l’autobiographie. Son récit devient un appel à l’action : le lecteur est invité à s’éveiller intellectuellement et à accomplir ce devoir envers soi, à grandir et à vivre une vie pleinement épanouie. Sans cet éveil conscient, indique Dillard, aucune vie ne peut être complète. revient sur son enfance à travers les événements particuliers dont elle se souvient, et considère «comment» elle s’en souvient. Le point de vue à la première personne ajoute un sentiment d’immédiateté au récit : en tant que lecteurs, nous vivons la vie comme le fait Dillard. Lorsque Dillard fait irruption à la deuxième personne, elle invite le lecteur dans son histoire en tant que participant. Elle reconnaît le lecteur comme se joignant à elle dans le processus de prise de conscience constante et vigilante qui est le motif le plus significatif de l’autobiographie. Son récit devient un appel à l’action : le lecteur est invité à s’éveiller intellectuellement et à accomplir ce devoir envers soi, à grandir et à vivre une vie pleinement épanouie. Sans cet éveil conscient, indique Dillard, aucune vie ne peut être complète. revient sur son enfance à travers les événements particuliers dont elle se souvient, et considère «comment» elle s’en souvient. Le point de vue à la première personne ajoute un sentiment d’immédiateté au récit : en tant que lecteurs, nous vivons la vie comme le fait Dillard. 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- «Teaching a Stone to Talk: Expeditions and Encounters» by Annie Dillard
- «The Writing Life» by Annie Dillard
- «Holy the Firm» by Annie Dillard
- «The Guest» by Albert Camus
- «The Grapes of Wrath» by John Steinbeck
- «The Great Believers» by Rebecca Makkai
- «The Grass is Singing» by Doris Lessing
- «An American Marriage» by Tayari Jones
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