"Le Tonneau d’Amontillado" d’Edgar Allan Poe
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«The Cask of Amontillado» est une nouvelle d’Edgar Allan Poe qui a été initialement publiée en 1846. Son genre est l’horreur. Ce guide d’étude fait référence à la version de l’histoire imprimée dans l’édition 2006 de Prestwick House de «The Best of Poe».
L’histoire commence avec un narrateur anonyme qui raconte qu’il a subi de nombreux méfaits de la part d’un homme nommé Fortunato. Bien qu’il ne précise jamais les délits, il dit que Fortunato, après des transgressions indicibles, a finalement commis l’impardonnable en insultant le narrateur (bien qu’encore une fois, le narrateur ne précise pas l’insulte). Le narrateur s’adresse au lecteur à la deuxième personne «vous», comme s’il s’adressait à un public privé et intime, et explique qu’il se vengera et «punira en toute impunité». Il poursuit en expliquant qu’il n’a donné aucune raison à Fortunato de le soupçonner, car il a continué à agir cordialement et à lui sourire, mais il avoue que «mon sourire «maintenant» était à l’idée de son immolation». Le narrateur décrit comment Fortunato est fier de sa connaissance du vin, et lui-même avoue être aussi «habile dans les crus italiens» (cela indique que les personnages sont en Italie, mais la narration n’apporte pas plus de détails sur le cadre géographique). Au crépuscule d’un soir pendant la «folie suprême» de la saison du carnaval, le narrateur s’approche de Fortunato, et les deux échangent un salut chaleureux. Le narrateur explique à Fortunato, qui est ivre et habillé en bariolé de bouffon pour la saison du carnaval, comment il en est venu à posséder l’Amontillado - un type rare de vin importé d’Espagne - mais il exprime des doutes sur son authenticité. Après beaucoup de persuasion, le narrateur convainc Fortunato de le rejoindre dans ses caves pour déguster le vin et tester son authenticité. Le narrateur avoue au lecteur que, pour s’assurer qu’il ne serait pas dérangé dans sa tâche de vengeance, il a dit à tous ses serviteurs chez lui de ne pas bouger dans la maison. Les deux hommes descendent le long escalier tournant vers les voûtes et, au bas de la descente, trouvent leur chemin sur le sol «des catacombes du Montresor», révélant enfin le nom du narrateur. Narrant, Montresor fait remarquer au lecteur l’état d’ébriété de Fortunato, car la démarche de ce dernier est instable et ses yeux semblent vaporeux. Fortunato se met à tousser de façon incontrôlable, se plaignant du «nitre» — nitrate de potassium — qui recouvre les parois des catacombes et irrite ses poumons. Montresor feint la suggestion que les deux retournent à l’air frais, mais Fortunato insiste pour qu’ils poursuivent leur quête. Montresor lui propose du Médoc - un autre type de vin - pour atténuer les effets de l’humidité, et Fortunato boit une longue gorgée. Fortunato commente que les voûtes familiales sont vastes, et Montresor admet que sa famille était «grande et nombreuse». Fortunato s’enquiert des armoiries de Montresor, et Montresor explique qu’il s’agit d’un pied d’or dans un champ bleu avec le pied écrasant un serpent «dont les crocs sont enfoncés dans le talon». Il explique également que la devise de la famille est ««Nemo me impune lacessit»», c’est-à-dire «Personne ne m’attaque impunément». Alors que les hommes descendent plus loin dans les catacombes, Montresor offre à Fortunato un flacon de De Grâve, un type de vin français, que Fortunato vide «en un souffle». Fortunato fait un geste particulier que Montresor ne comprend pas. Ce geste étrange était le code franc-maçonnique; quand Fortunato voit la perplexité de Montresor, il dit que Montresor n’est «pas de la confrérie» - se référant aux francs-maçons. Montresor lui assure qu’il est «[un] maçon». En descendant plus loin, les deux arrivent à une profonde crypte, ses murs «tapissés de restes humains, empilés jusqu’au plafond de la voûte», et Montresor décrit une partie intérieure de la crypte qui est un intervalle entre deux supports colossaux du toit, adossés à un mur de granit massif. Fortunato atteint de manière instable la petite niche, croyant que l’Amontillado est là, et Montresor procède à placer des chaînes cadenassées - attachées aux murs - autour de la taille de Fortunato ivre sans qu’il s’en aperçoive. Montresor découvre la pierre de construction et le mortier qu’il avait cachés sous le tas d’ossements et procède à la création d’un mur avec Fortunato enchaîné et piégé de l’autre côté, enfermé. Alors que Fortunato donne une «succession de cris forts et stridents», Montresor hésite momentanément. Il pose sa main sur le mur solide des catacombes et se sent satisfait. Il procède ensuite à crier à Fortunato à travers le mur, le surpassant «en volume et en force». Alors que Montresor commence à mettre la dernière pierre en place, Fortunato se met à rire, pensant que Montresor lui a fait une blague. Montresor place la dernière pierre dans le mur et l’enduit. Montresor, maintenant narrateur, s’exclame que contre «la nouvelle maçonnerie, j’ai remonté l’ancien rempart d’ossements», admettant que 50 ans se sont écoulés depuis que cet événement a eu lieu. Les os de Fortunato reposent intacts.
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