« Le voile levé » de George Eliot Automatique traduire
«The Lifted Veil» de George Eliot est une nouvelle qui explore les thèmes de la clairvoyance, les limites de la conscience, la sympathie et les intérêts scientifiques de l’époque victorienne. George Eliot, le pseudonyme de Mary Ann Evans, publie «The Lifted Veil» dans la revue littéraire anglaise «Maga» en juillet 1859 après le succès de son premier roman, «Adam Bede». Dans «Le voile levé», Eliot parle de Latimer, idéaliste et égocentrique, amoureux de la fiancée de son frère et qui lutte contre l’isolement que lui imposent ses pouvoirs de perspicacité et de prévoyance. La mort, la vérité et les personnages publics souvent faux adoptés dans la société anglaise se révèlent intimement liés dans le récit de Latimer sur sa vie.
Ce résumé et les numéros de page associés font référence à l’édition Oxford World Classics de «The Lifted Veil and Brother Jacob» de George Eliot, réédité en 2009. Alors que le jour de sa mort annoncée approche, Latimer compose un récit personnel pour raconter l’histoire de son vie, ses expériences avec la double conscience, et ses pouvoirs de perspicacité et de prévoyance. Il commence par décrire le bonheur de son enfance avant la mort de sa mère. Suite à cet événement, le père de Latimer emploie le phrénologue M. Letherall pour évaluer les besoins éducatifs de Latimer. Afin de supprimer les tendances de Latimer vers la poétique, la littérature et la philosophie, M. Letherall et le père de Latimer ont mis Latimer sur un cours d’éducation consacré à la science, à la mécanique et à la politique. A 16 ans, Latimer est envoyé à l’étranger à Genève pour parfaire sa formation. Il continue à mener une vie solitaire sans beaucoup d’amis, préférant passer son temps libre dans la nature. Il fait la connaissance de l’étudiant en médecine et anglais Charles Meunier. Ils se lient sur leur sentiment commun d’isolement. Vers la fin de ses études, Latimer tombe dangereusement malade. Son père se rend à son chevet et prévoit d’emmener Latimer faire un tour d’Europe pour l’aider à récupérer ses forces avant de retourner en Angleterre. Ils seront accompagnés du frère de Latimer (Alfred), de leurs voisins anglais (les Filmores) et de la nièce des Filmores (Bertha Grant). Avec la perspective de voir Prague dans son esprit, Latimer fait pour la première fois l’expérience de la prévoyance : une vision de la ville de Prague. Les possibilités de ce pouvoir excitent Latimer, qui croit que sa maladie a débloqué la capacité poétique latente qu’il a désirée toute sa vie. Latimer découvre bientôt qu’il a aussi le pouvoir de perspicacité : il peut percevoir les pensées et les émotions des personnes physiquement proches. Le pouvoir commence à le tourmenter alors qu’il réalise les écarts entre les personnalités publiques des gens et leur véritable vie intérieure. Latimer a une deuxième vision, qui se réalise rapidement, de son père, Mme Filmore, et de Bertha Grant visitant son salon. Bien que Bertha Grant et Alfred affichent un intérêt à se marier, Latimer est attiré par Bertha parce que ses pouvoirs de perspicacité ne fonctionnent pas sur elle. Au cours de leurs voyages en Europe, Bertha flirte avec les deux frères, faisant espérer à Latimer qu’elle pourrait un jour l’aimer. Il vit une troisième vision dans laquelle Bertha est sa femme, mais dans laquelle il peut également lire ses pensées cruelles et haineuses à son égard. Bien que la vision le déprime, Latimer ne peut résister à ses sentiments actuels pour Bertha et continue d’espérer qu’ils se marieront un jour. De retour en Angleterre, Alfred et Bertha annoncent leurs fiançailles. Un matin, alors qu’Alfred est à la chasse, Latimer rend visite à Bertha et les deux se promènent. Alimenté par la jalousie, Latimer demande à Bertha si elle l’aimera quand ils se marieront. Il rentre chez lui pour découvrir qu’Alfred est mort après avoir été jeté de son cheval pendant la chasse. Le père de Latimer fait de Latimer l’héritier et commence à lui témoigner affection et encouragement. Latimer et Bertha se fiancent et se marient l’année suivante. Leur mariage est caractérisé par la distance, la froideur et la méfiance. Latimer n’aime pas la haute société et reste le plus possible chez lui pour ne pas entrevoir la vie intérieure de ses voisins. Bertha, à l’inverse, mène une vie très sociale séparée de son mari. Le soir de la mort de son père, Latimer est enfin capable de percevoir les pensées de Bertha et son aversion totale pour lui. Les deux se séparent alors que Bertha emploie une nouvelle femme de chambre, Mme Archer, et passe une grande partie de son temps avec elle. Charles Meunier visite Latimer. Ils discutent des expériences et des activités scientifiques de Meunier. Mme Archer tombe malade et Meunier s’occupe d’elle, proclamant que sa maladie est mortelle. Il décide d’effectuer une transfusion sanguine expérimentale sur Mme Archer après sa mort dans l’espoir de la faire revivre. Ils acceptent de ne pas dire à Bertha leur plan, car elle ne quittera pas la chambre de malade de Mme Archer. Lorsque Mme Archer meurt, les hommes convainquent Bertha de quitter brièvement la pièce, période pendant laquelle Meunier réussit à faire revivre Mme Archer. À ce moment, Bertha rentre et Mme Archer crie un avertissement que Bertha a l’intention d’empoisonner Latimer. Mme. Archer meurt une deuxième et dernière fois. Suite à la déclaration de Mme Archer, Latimer et Bertha se séparent, Bertha restant en Angleterre et Latimer voyageant à travers l’Europe pour le reste de sa vie. Ses pouvoirs de perspicacité et de prévoyance, bien que capricieux, l’obligent à mener une vie solitaire et solitaire. Au moment de sa mort, Latimer n’est accompagné que de ses serviteurs, dont il ne peut s’empêcher de percevoir les pensées apitoyées et dédaigneuses.
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