"Fenêtre ouverte" Saki, résumé Automatique traduire
The Open Window est une histoire fréquemment anthologique d’Hector Hugh Munro, ou HH Munro, qui porte le pseudonyme de Saki. Cette histoire, comme beaucoup d’autres œuvres de Saki, dépeint de manière satirique la société édouardienne. En utilisant une histoire dans une histoire, ou un récit intégré, Saki utilise la satire pour explorer des sujets tels que l’absurdité de l’étiquette, l’évasion, le contrôle et l’apparence par rapport à la réalité.
Saki a initialement publié "The Open Window" dans The Westminster Gazette le 18 novembre 1911, et l’a ensuite inclus dans un recueil de ses nouvelles intitulé Beasts and Superbeasts (1914).
L’histoire "The Open Window" commence "in media res", ou au milieu des événements, lorsqu’une jeune fille anonyme de 15 ans divertit le personnage principal, Framton Nuttel, en attendant sa tante, Mme Sappleton, qui est son propre propriétaire. Nuttell est un homme troublé qui est venu ici pour un "traitement des nerfs". Sa sœur lui a donné des lettres d’introduction à des personnes qu’elle connaît dans la région, y compris Mme Sappleton.
La fille, qui a été présentée comme "nièce", commence à interroger Framton, essayant de savoir ce qu’il sait sur le village et sa tante. Ayant appris que les maigres informations dont il dispose remontent à quatre ans, la nièce commence à raconter à Framton la tragédie qui est arrivée à Mme Sappleton trois ans plus tôt - ce qu’il ne pouvait pas savoir.
Selon la nièce, la grande porte-fenêtre donnant sur la pelouse de la maison reste ouverte même par temps frais. Elle explique qu’il y a trois ans, le mari de sa tante et ses deux frères, ainsi que l’épagneul de la famille, sont sortis par une fenêtre pour chasser la bécassine dans le marais. Selon elle, alors qu’ils chassaient, ils ont traversé un marais, qui est devenu traître à cause de la pluie, et tout le monde a été englouti par celui-ci.
La nièce partage cette information avec émotion et informe Framton que les corps des chasseurs n’ont jamais été retrouvés. Elle révèle que sa tante, apparemment profondément affligée par la perte, garde la fenêtre ouverte jusqu’au crépuscule tous les jours, quel que soit le temps, car elle est sûre qu’un jour les hommes reviendront par la fenêtre ouverte. Elle dit à Framton que sa tante parle souvent du manteau que son mari portait sur son bras quand il est parti, et de la chanson que son jeune frère a chantée pour la taquiner. Enfin, la nièce avoue à Framton qu’elle a parfois le sentiment désagréable que les chasseurs reviendront.
Mme Sappleton entre, rencontre Framton et appelle le nom de sa nièce, Vera. Elle mentionne alors une fenêtre ouverte et explique à Framton qu’elle s’attend à ce que les chasseurs y entrent. Framton, déjà nerveux, trouve la situation et la conversation dégoûtantes et, pour tenter de changer de sujet, informe la logeuse de l’ordonnance du médecin pour éviter tout exercice ou excitation qui pourrait aggraver ses nerfs.
Soudain, Mme Sappleton crie que la compagnie de chasse est de retour. Lorsque Framton se tourne pour échanger un regard sympathique avec Vera, il la voit regarder par la fenêtre ouverte avec horreur. Framton, tout nerveux, se tourne également pour regarder et voit trois personnages et un petit chien s’approcher de la fenêtre ouverte, ressemblant exactement à ce que Vera a décrit leur départ il y a trois ans. Dans un accès d’anxiété, Framton jette les coutumes sociales au vent et se précipite hors de la maison avant que trois hommes, vraisemblablement des fantômes, puissent entrer.
Ici, il devient clair que M. Sappleton et ses beaux-frères sont bien vivants. Ils sont curieux de savoir qui s’est enfui de la pièce à leur arrivée. La foi fournit aux adultes les informations qu’ils recherchent. Elle les informe qu’un épagneul de la partie de chasse a très probablement effrayé leur invité. Selon Vera, il lui a dit qu’il avait peur des chiens, car un jour une meute de chiens l’a conduit au cimetière et l’a enfermé dans une tombe fraîchement creusée pour la nuit.
L’histoire se termine par un dénouement d’une phrase : "La romance à la demande était sa spécialité."
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