"Le pays des merveilles dur et la fin du monde" de Haruki Murakami Automatique traduire
«Le pays des merveilles dur et la fin du monde» de Haruki Murakami a été initialement publié en japonais en 1985 et traduit en anglais par Alfred Birnbaum en 1991. Il a remporté le prix Tanizaki en 1985 et a été salué par «The Japan Times» et «Publishers Weekly» ainsi que d’autres critiques littéraires. «Le pays des merveilles dur et la fin du monde» est un mélange de fiction policière dure et de réalisme magique. Il pourrait également être classé comme une fiction spéculative avec des éléments de film noir. De plus, Murakami s’inspire de la mythologie et de la culture japonaise. Dans l’ensemble, le roman résiste à toute catégorisation à bien des égards. Le titre fait référence aux deux intrigues du roman. Les sections dures sont les chapitres impairs, et les chapitres pairs se déroulent à la fin du monde.
Ce guide cite l’édition Vintage International Trade Broché de 1993. Le roman est divisé en deux parties : un Tokyo futuriste et dur et une ville mystérieuse du bout du monde. Les chapitres alternent entre différentes versions du même narrateur, qui ne conserve pas de souvenirs entre chaque décor. Le livre commence avec le narrateur dur qui accepte un travail de codage de données Calcutec pour un professeur. La petite-fille du professeur conduit le narrateur dans un laboratoire caché où le professeur fait une démonstration des technologies sonores et donne au narrateur des données à blanchir ou à encoder. Il blanchit les données dans le laboratoire et accepte de les transférer dans son appartement, ce qui constitue un type de cryptage plus difficile et plus dangereux. Les données se révèlent plus tard être un programme, et leur mélange entraînera la séparation de l’esprit du narrateur du monde réel si le professeur n’inverse pas le programme dans quatre jours. Le narrateur se rend dans une bibliothèque pour rechercher un crâne que le professeur lui donne. La bibliothécaire l’aide dans ses recherches et essaie de coucher avec lui, mais il n’y parvient pas. Après le départ du bibliothécaire, la maison du narrateur est envahie, d’abord par un employé de la ville soudoyé par des criminels, puis par deux agents travaillant pour l’organisation criminelle appelée l’Usine. Les voyous de l’usine détruisent son appartement, blessent le narrateur au ventre et lui disent de ne pas le dire au système financé par le gouvernement, l’organisation qui supervise Calcutecs. Peu de temps après, la petite-fille du professeur convainc le narrateur de retourner au laboratoire souterrain du professeur. Le laboratoire a été saccagé et la jeune fille pense que des monstres souterrains appelés INKlings, des créatures souterraines qui hypnotisent les humains avec le son et sont terrifiées par la lumière, ont dû aider l’usine à s’introduire. Elle conduit le narrateur dans un passage secret à travers les domaines des INKlings.. Ils retrouvent le Professeur au sanctuaire des INKlings. Il explique que le narrateur est le seul Calcutec survivant capable de mélanger les choses, car tous les autres sont morts. C’est parce que son esprit était déjà divisé avant de subir l’opération de brassage. Le professeur ne peut pas inverser le programme en raison de la destruction de son laboratoire. Il explique que le narrateur deviendra immortel mais piégé dans son propre inconscient dans 29 heures. La petite-fille du professeur et le narrateur remontent à la surface. La jeune fille propose de coucher avec le narrateur, mais celui-ci refuse gentiment et couche avec la bibliothécaire à la place. Cette intrigue du livre se termine de manière ambiguë après que le narrateur ait vécu pleinement les heures restantes de sa vie en nourrissant les oiseaux dans le parc et en écoutant des cassettes musicales dans une voiture de location surplombant la baie. Les chapitres de la fin du monde (numéros pairs) sont situés dans une ville entourée d’un mur avec une petite population de personnes et de licornes. Ici, le narrateur a perdu la mémoire lorsque le Gardien a coupé son ombre, qui est ensuite emprisonnée par le Gardien. Le Gatekeeper défigure les yeux du narrateur, le faisant être blessé par une lumière vive mais capable de voir des rêves, et l’envoie à la bibliothèque, où le bibliothécaire lui fournit des crânes de licorne pleins de rêves. Lorsque l’automne tombe, le narrateur peut rendre visite à son ombre, qui lui demande de dresser une carte de la fin du monde. Le narrateur le fait, explorant de manière approfondie l’espace clos et ses bois. En hiver, les licornes commencent à mourir en masse, obligeant le gardien et l’ombre du narrateur à les brûler. Le bibliothécaire propose de coucher avec la narratrice, mais il refuse. À la suite de ses explorations cartographiques, le narrateur tombe malade, ce qui l’empêche d’amener la carte à son ombre à temps. Une fois rétabli, il peut rendre visite à son ombre très malade, qui envisage de s’échapper de la ville. Le narrateur hésite à s’échapper de la ville. Lui et le bibliothécaire se rendent à la centrale électrique, où le gardien leur donne un accordéon. Le narrateur joue de l’accordéon devant les piles de crânes de licorne pour trouver des morceaux de l’esprit du bibliothécaire après avoir appris que les licornes portent des morceaux de soi des citadins. Plus tard, alors qu’il est temps de s’échapper par le tourbillon au sud de la ville, le narrateur refuse de partir et choisit de rester dans la ville avec son bibliothécaire bien-aimé pendant que son ombre s’échappe. Cette intrigue se termine également de manière ambiguë lorsque le narrateur regarde les oiseaux s’envoler dans le ciel d’hiver.
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