"La vie d’écriture" d’Annie Dillard Automatique traduire
«The Writing Life» d’Annie Dillard est une œuvre de non-fiction créative et de mémoire initialement publiée en 1989 par Harper & Row. En tant qu’auteur lauréat du prix Pulitzer, Dillard explore les triomphes et les luttes de ses premières années d’écriture tout en offrant des conseils et des orientations aux écrivains en herbe à travers des anecdotes imaginatives. Dillard a qualifié l’ouvrage de «récit non-fictionnel embarrassant» et elle se distancie de tout, sauf du dernier chapitre sur le pilote, Dave Rahm. Ce guide fait suite à la première édition de poche Harper Perennial, publiée en 1990.
Dillard a remporté le prix Pulitzer de la non-fiction générale en 1975 pour «Pilgrim at Tinker Creek». Elle a écrit des ouvrages de non-fiction, de fiction et des recueils de poésie, dont certains ont été traduits en 10 langues. Dillard commence «The Writing Life» par des observations générales sur l’écriture à travers le prisme de «vous», le lecteur et l’écrivain en herbe. À travers cette perspective, elle explique l’élan d’une première ébauche et la nécessité de faire preuve de courage lors du processus de rédaction. Elle cite quelques auteurs notables, comme Henry David Thoreau et Henry James, et en analyse d’autres, comme Gustave Flaubert, pour leur rapidité d’écriture. Dillard décompose mathématiquement le temps qu’il faut à Flaubert pour écrire un livre complet destiné à réconforter ceux qui s’inquiètent de leur manque de progrès. Tout au long de ces analyses, elle implore les écrivains débutants de ne pas limiter les idées qu’ils poursuivent et de suivre leurs idées jusqu’aux limites absolues. Dillard passe à plusieurs descriptions de ses différents espaces de travail et discute de l’importance de l’isolement pour la tâche d’écriture. Dillard explore le monde intérieur de l’écrivain, illustrant la rapidité avec laquelle un écrivain peut se perdre dans son imagination à travers des anecdotes humoristiques sur ses longues nuits d’écriture. Elle répertorie une variété de programmes d’écriture, mais elle ne favorise pas l’un par rapport à l’autre ; toute routine, affirme-t-elle, diminue le chaos d’une journée autonome. Dillard examine ensuite la quantité d’énergie qu’un écrivain dépense simplement pour trouver l’envie d’écrire chaque jour. Elle illustre le découragement qu’un écrivain peut ressentir lorsque le produit fini n’est pas à la hauteur de sa vision mentale. Elle dépeint son propre épuisement et sa relation antagoniste avec l’écriture à travers une vision de sa machine à écrire en train d’exploser. Ensuite, Dillard étudie où et comment les écrivains trouvent l’inspiration pour leurs sujets. Les histoires sont toujours propres aux passions et aux observations d’un écrivain, mais elles peuvent également être inspirées par le travail d’autrui. Dillard utilise des auteurs notables pour illustrer la nécessité d’un apprentissage continu dans le domaine de la littérature, et elle conseille aux écrivains d’imiter et de développer sans vergogne les œuvres de leurs idoles. Dillard suggère que les écrivains devraient viser des projets de la longueur d’un livre et éviter d’inclure des marques commerciales uniquement à des fins de représentation sociétale. Dillard se souvient des interactions avec les voisins qui l’ont amenée à se demander pourquoi elle écrit alors que c’est si angoissant. Elle déclare finalement que parce qu’elle peut supporter la vie d’écrivain, elle ne peut pas imaginer une autre façon de vivre. Vers la fin du livre, Dillard approfondit ses sentiments à propos de l’île de Lummi, où elle a passé de nombreux étés à écrire. L’immensité et la dureté de l’île modifient à jamais la vision du monde de Dillard. Cette perspective s’infiltre toujours dans son travail, malgré tous ses efforts pour la garder à l’écart. Dillard termine «The Writing Life» avec un chapitre dédié au regretté pilote cascadeur, Dave Rahm. En détail, elle exprime son admiration devant ses performances aéronautiques. Elle a déjà survolé la chaîne des Cascades avec Rahm,et elle loue son talent, son dévouement et son intrépidité dans un métier aussi dangereux. Dillard termine le livre en honorant Dave Rahm et en le vénérant en tant qu’artiste qui a suivi son travail jusqu’aux limites absolues.
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