« La septième chose la plus importante » de Shelley Pearsall
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« La Septième Chose la plus importante » de Shelley Pearsall (Penguin Random House, 2016) est un roman historique pour jeunes adultes. Il suit le jeune Arthur Owens aux prises avec le deuil, découvre son propre paradis et découvre comment les gens, lui y compris, peuvent surprendre. « La Septième Chose la plus importante » a été nominé pour 16 prix d’État et a été nommé « Livre remarquable de l’ALA », « Choix des enseignants de l’ILA » et « Meilleur livre de l’année » par Kirkus Reviews. Shelley Pearsall s’est inspirée de l’art et de la vie de l’artiste folklorique James Hampton, dont la sculpture du paradis est exposée au Smithsonian American Art Museum. Ce guide se réfère à l’édition 2016 de « La Septième Chose la plus importante ».
L’histoire commence par une journée grise de novembre 1963. Arthur Owens (13 ans) jette une brique sur M. James Hampton, surnommé « le ferrailleur » dans son quartier de Washington D.C. (États-Unis). M. Hampton se remet de l’incident à l’hôpital. Pendant ce temps, Arthur passe trois semaines dans un centre de détention pour mineurs et s’interroge sur ses actes. Son père est décédé dans un accident de moto trois mois plus tôt. Le jour où Arthur a lancé la brique, il a vu M. Hampton porter la casquette de moto de son père, récupérée dans une poubelle. Submergé par la colère et la tristesse, Arthur a lancé la brique. Il ne voulait pas vraiment blesser M. Hampton, et il n’a jamais été un enfant violent. Lors de l’audience d’Arthur, le juge ne s’intéresse pas à son raisonnement. Son père avait des antécédents judiciaires, et le juge est convaincu qu’Arthur suit le même chemin. M. Hampton intervient en sa faveur. Plutôt que de le placer en détention provisoire, le juge lui assigne 120 heures de travaux d’intérêt général auprès de M. Hampton. Arthur rentre chez lui auprès de sa mère et de sa sœur cadette, accablées de chagrin. M. Hampton n’est pas présent à sa première séance de travaux d’intérêt général. À la place, Arthur trouve une note lui demandant de ramasser les sept objets importants : ampoules, papier aluminium, miroirs, bois, bouteilles de soda, canettes de café et carton. Arthur ramasse des objets proches de ceux de la liste, comme une lampe au lieu d’une ampoule, et son agent de probation le réprimande pour non-respect des instructions. M. Hampton est encore absent pendant plusieurs semaines. Avec l’aide d’un tatoueur, Arthur comprend mieux la tâche de collecte de M. Hampton et d’Arthur. À l’école, le proviseur a déplacé le casier d’Arthur loin des autres élèves de cinquième pour l’empêcher d’avoir une mauvaise influence. Lorsqu’Arthur tente de sauver un autre élève de cinquième (Squeak) des brimades, le proviseur accuse Arthur en raison de son passé criminel. Seul Squeak croit qu’Arthur n’est pas fautif, et ce dernier commence à s’asseoir avec Arthur à la cantine. Les deux garçons se lient d’amitié. Squeak aide Arthur à éviter les ennuis et finit par l’aider lors de sa probation du samedi. Un samedi, la porte du garage de M. Hampton est ouverte. Arthur entre et découvre une sculpture éblouissante faite de déchets, ainsi que M. Hampton gisant au sol. M. Hampton est en train de mourir d’un cancer de l’estomac. Encore sous le choc de la mort de son père, Arthur refuse de poursuivre sa probation. Il ne veut pas se rapprocher de M. Hampton et le perdre. Plus tard, Arthur réalise son injustice et décide de terminer sa mission, car M. Hampton a besoin de lui. Au cours des semaines suivantes, Arthur noue une relation étroite avec M. Hampton. Ils discutent des sept choses de la liste et du père d’Arthur, ce qui lui permet de tourner la page. M. Hampton lui demande de continuer à construire la sculpture s’il meurt. Arthur hésite, mais accepte. M. Hampton meurt peu après, laissant Arthur sous le choc. Avec l’aide de sa famille et de Squeak, Arthur parvient à accepter la mort de M. Hampton.Il réalise que les objets importants de la liste ne sont pas seulement des objets à collectionner. Chacun représente un changement vital qu’Arthur devait apporter à son évolution. Lorsque le propriétaire du garage vient débarraser la sculpture de M. Hampton, Arthur parvient à gagner trois semaines pour réfléchir. Il ne peut pas laisser tomber M. Hampton, mais il n’a pas non plus les moyens de louer le garage. Après avoir vu des élèves utiliser une boîte à café pour collecter des dons à l’école, Arthur réalise qu’il peut faire de même pour la sculpture. Avec Squeak, il disperse des boîtes à café dans la ville. Ils ne récoltent pas assez d’argent, mais un journaliste exprime son intérêt pour un article sur la sculpture. Des membres du Smithsonian viennent admirer l’œuvre de M. Hampton. Finalement, le musée décide d’acquérir la sculpture. Sept ans plus tard, elle est exposée. Arthur assiste à la cérémonie d’inauguration et est à nouveau fasciné par la représentation du paradis par M. Hampton. Il est heureux que l’œuvre de M. Hampton soit exposée au monde entier, car le monde a besoin de la beauté de cette sculpture. Le roman explore des thèmes concernant la perception, comme «Les déchets de l’un sont le trésor de l’autre» et «Les gens ne sont pas toujours ce qu’ils semblent être».
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