Influencé par la vision futuriste dystopique de l’œuvre féministe phare de Margaret Atwood en 1985 «The Handmaid’s Tale», le roman de 2016 de Naomi Alderman «The Power» fusionne des éléments de genre de la fiction spéculative avec le roman historique traditionnelMi-allégorie, mi-satire, le roman dépeint un monde quasi contemporain dans lequel les femmes accèdent à des positions de pouvoir réel grâce à une anomalie génétique inexplicable : elles développent une tresse musculaire supplémentaire le long de leurs clavicules qui leur permet de tirer des décharges électriques dévastatrices à travers leurs bout des doigts.
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