L’image de Maïakovski dans la pièce de Maxim Didenko "Flûte-épine" Automatique traduire

ST. PETERSBURG. Dans le répertoire du théâtre. Lensoviet est apparu une nouvelle performance. Le 30 janvier, la première production de Flute-Spine a eu lieu sur la petite scène. C’est l’œuvre du jeune réalisateur Maxim Didenko, connu pour son approche avant-gardiste de la réalisation de ses idées scéniques, créé avec les étudiants du cours de théâtre de l’Institut polytechnique d’État de Saint-Pétersbourg.

Bien que le nom de la pièce soit identique au nom du poème de Maïakovski, la production utilise des fragments des œuvres les plus variées du poète. La performance contient des poèmes connus depuis l’enfance, "What is good…", qui vont du fond du cœur jusqu’aux lignes "Listen!" Et des lettres adressées à Lilya Brik - les plus personnelles de ce que le poète a écrit.

Sur la composition, la scène de la représentation est la Petite scène. Cependant, le public plonge dans son atmosphère dans le hall d’accueil, quand au lieu de sonner le son de la flûte, une femme en robe noire apparaît sur les marches de les escaliers. Le public suit l’histoire, se déplaçant du hall du théâtre où il a survécu au premier suicide de Maïakovski, dans un petit couloir, avant de pénétrer dans la salle.

Parmi les personnages de la pièce figurent Lily et Osip Briki, Stalin et Pierrot, ainsi que des silhouettes, dont l’importance doit être reconnue par le public. La performance est constamment jouée par la musique interprétée par les acteurs eux-mêmes. Ils deviennent périodiquement un véritable orchestre, dans lequel le son du violon et de la contrebasse, de la clarinette et, bien sûr, de la flûte.

Les poèmes sont récitatifs, parfois chantés. La musique de la pièce a été utilisée par Mozart et Tchaïkovski, et les lettres désespérées de la pièce d’Osip Brik sont accompagnées de la musique du compositeur Ivan Kushnir, auteur de l’accompagnement musical de la pièce. L’image de Maïakovski est incarnée par deux acteurs, mais chacun des participants à la pièce croit que chacun d’eux est une particule du Poète.

Ludmila Trautmane © Gallerix.ru