Première au théâtre de la jeunesse sur le Fontanka - "Le dernier amour de Napoléon" Automatique traduire

ST. PETERSBURG. Le week-end dernier, le Youth Theatre on Fontanka a présenté au public une nouvelle œuvre de Semyon Spivak - la comédie «Le dernier amour de Napoléon». Cette performance est devenue l’incarnation de la pièce de théâtre de Jiri Gubacz, un dramaturge tchèque.

Les téléspectateurs russes connaissent son nom en tant qu’auteur de films mis en scène dans ses scénarios. De nombreux réalisateurs ont fait appel aux pièces du dramaturge tchèque. Ses œuvres ont été mises en scène avec succès dans plusieurs théâtres éminents de Moscou. Ils ne sont pas restés indifférents au travail de Jiri Gubach dans d’autres villes russes. Les pièces avec un scénario qui oblige le public à ne pas rompre avec ce qui se passe sur la scène sont toujours populaires.

La performance devient encore plus populaire, où, outre une intrigue intéressante, il existe un thème de relations qui se créent de manière inattendue entre un homme et une femme. Semyon Spivak a noté que la présence de ce thème éternel dans la pièce de Jiri Gubach était devenue la principale raison du choix de cette comédie pour la production.

L’auteur de la pièce a qualifié son travail de "comédie triste". Ses événements ont lieu à un moment où la brillante carrière de Napoléon se termine par une référence à l’île de Sainte-Eléna. Les privations de l’ancien empereur sont partagées par plusieurs généraux de la cour, ainsi que par Napoléon qui aspire aux jours passés, rempli de gloire et de grandeur.

Soudain, la cuisinière parisienne, qui avait pénétré dans la cabane, portant ironiquement le nom de Joséphine, ne pouvait croire que le monsieur vêtu d’une camisole usée fût le but de sa visite. Elle cherchait un empereur qui le dédommagerait de la mort de son mari, qui avait trouvé la mort lors de la bataille de Waterloo.

En communication avec Joséphine, Napoléon commence à comprendre que la valeur humaine principale est son âme, mais seulement si elle est capable d’empathie.

Ludmila Trautmane © Gallerix.ru