Lors du vol des aquarelles de Delacroix, l’alarme n’a pas fonctionné dans la galerie. Automatique traduire

Comme la police a réussi à établir, dans la galerie parisienne de Robert Schmit (Schmit), lors du vol des aquarelles de Delacroix, l’alarme n’a pas fonctionné. Ceci explique la facilité et l’audace sans précédent de ce crime, que les médias ont déjà qualifié de "crime du siècle". Dans l’enquête sur l’incident impliqué l’unité pour lutter contre le banditisme.

Eugene Delacroix - Arabes d’Oran (fragment)

Le vol des célèbres aquarelles «Arabs from Oran» (Arabes d’Oran, 1837) par le classique français Eugène Delacroix (1798-1863) a été commis le 30 novembre, en plein jour, entre 14h00 et 14h30, la galerie située au centre de Paris, sur la rue Saint-Honoré, près de la célèbre Place Vendôme.

La police suggère qu’une aquarelle de 19 x 11 cm a été enlevée par un homme de 50 ans vêtu d’un manteau sombre qui l’a enlevée du mur.

La galerie privée Schmit a été créée en 1929 et est spécialisée dans la vente d’œuvres d’artistes français et étrangers des XIXe et XXe siècles, notamment Van Gogh, Eduard Manet, Auguste Renoir, Camille Pissarro, Claude Monet, Toulouse-Lautrec, Amadeo Modigliani et autres. De plus, le salon d’art possède l’une des plus grandes collections - environ 30 000 volumes - de livres sur l’art, y compris un catalogue complet des ventes d’œuvres d’art datant du XVIIIe siècle. La galerie collabore avec un certain nombre d’experts éminents dans l’évaluation d’œuvres, notamment de peintures, de sculptures, d’aquarelles et de dessins.

Au cours de la semaine écoulée, il s’agissait du deuxième vol majeur commis dans la capitale française. Dans la nuit du 23 au 24 novembre, des bijoux d’une valeur de 450 000 € ont été volés dans le salon de la maison de vente aux enchères Artcurial sur les Champs-Élysées.

Anna Sidorova