"Salaire décent" Automatique traduire

La galerie présente 30 tableaux de cinq artistes portant le nom de famille Totibadze et un Pasternak. Georgy, alias Goga, Konstantin, Irina, Nana, Anton Totibadze et Sasha Pasternak et le journaliste Philip Dzyadko se sont associés pour soutenir l’exposition traditionnelle «Les réalisations de l’agriculture - VDSH» dans le cadre de leur projet artistique. Tous les visiteurs de la galerie auront l’occasion non seulement de voir des peintures alléchantes, mais également de goûter et d’acheter des produits naturels sélectionnés des meilleures fermes de toute la Russie.

"C’est du gâteau. C’est encore du gâteau. Ce sont des graisses, des protéines et des glucides. C’est du khinkali! De la viande! De la viande! De la viande! Des concombres! Des côtes! Et c’est à nouveau du gâteau. Asseyez-vous. Mangeons et amusons-nous.

Six artistes dont les œuvres sont présentées lors de l’exposition sont liées par au moins deux circonstances: une attention particulière portée à la nourriture et - presque toutes - au nom de Totibadze. C’est un petit peuple distinct - «Totibadze», ou ce que l’on appellera «la dynastie Totibadze» dans l’histoire de l’art. Les futurs écoliers écriront quelque chose de stupide comme: «Le thème de la nourriture est un fil rouge à travers tout le travail d’artistes de la dynastie Totibadze. Ce sujet joue également un rôle important dans leur vie. Probablement ces artistes étaient très friands de manger. ”Et tout cela sera vrai. Mais ce n’est pas la chose la plus importante.

Il ne reste plus beaucoup de choses dans le monde qui puissent unir les peuples les plus divers. Totibadze connaît la recette du plus important unificateur - un festin. Ceux qui ont la chance de les connaître le savent: Totibadze - les rois du festin, un festin convivial, où sur une table un incroyable plat fume et plein de verres, et sur le suivant une palette et des pinceaux. C’est aussi pour cette raison que la nourriture est un héros fréquent de chacun des artistes: ils savent de qui ils parlent. Et il est d’autant plus intéressant de voir comment un grand sujet est résolu de six manières différentes. ”

L’auteur du texte est Philipp Dzyadko, journaliste, rédacteur en chef du projet éducatif «Arzamas», membre de la famille Totibadze.