Guy with a bad eye Ilya Repin (1844-1930)

Description de la peinture d’Ilya Repin "L’homme au mauvais œil".

"L’homme au mauvais œil" fait référence à la période Tchougouev de l’œuvre de l’auteur. Tout dans Tchougouev prédisposait Repin au travail. L’inspiration qui est née ici a donné naissance à de nombreuses toiles vraiment grandes de l’époque.

Repin est souvent appelé un artiste mystique. Il travaillait comme un dieu, oubliant tout pendant le travail. Selon les témoins, il agitait furieusement, parfois avec colère, son pinceau, comme s’il était en colère contre ses spectateurs.

Par une étrange coïncidence, de nombreuses personnes qui posaient pour Repin dans les portraits, étaient malades ou même décédées. Leurs morts étaient souvent non naturelles.

Pisemsky, Tyutchev et Moussorgsky ont "souffert" du pinceau du maître. "Burlaks" - des hommes en bonne santé avant de poser, après avoir peint la photo ont également commencé à mourir. Mais, parfois, l’auteur lui-même était aussi malade.

Il est bien connu que le tableau "Jean le Terrible et son fils Ivan" a paralysé la main de l’artiste et qu’il a ensuite rendu fou l’iconographe Balashov, qui l’a découpé au couteau dans un accès de frénésie. Le même pouvoir mystique est également véhiculé dans "L’homme au mauvais œil", dans lequel Repin incarne un simple paysan - son parrain Ivan Radov, qui est connu pour être un sorcier touguev local.

L’artiste a comparé le paysan à Zeus, couvrant son corps d’un vaste zippun. Seuls les vêtements de campagne distinguent le modèle de l’habitant de l’Hellas. Repinez des détails peints de façon si naturelle que vous pouvez ressentir même la sévérité du regard. Après la réalisation du portrait, l’artiste était gravement fiévreux. Dans une large mesure, cette circonstance a déterminé le titre du tableau.

Le portrait "Homme à l’œil mauvais" a participé à l’exposition internationale de 1878. L’admiration des connaisseurs n’avait pas de limites. Kramskoy s’est exprimé de manière particulièrement vive, plaçant Repin au premier rang de tous les portraitistes, à l’exception de Vasnetsov.