Exposition de graphiques au Musée littéraire de Moscou - à l’occasion de l’anniversaire de la guerre de 1812 Automatique traduire

Deux cents ans se sont écoulés depuis que les soldats russes sont devenus les vainqueurs de la guerre patriotique dans le lointain 1812. Une exposition d’art a commencé à être présentée au Musée de la littérature. La base de l’exposition est une collection de gravures réalisées dans le genre de la satire. Par conséquent, son nom reprend les mots de Napoléon: "Du plus grand au ridicule…".

Toutes les gravures, écrites par des artistes russes et européens, font partie de la collection du musée littéraire.

L’exposition commence par une salle dans laquelle sont placés des portraits de héros qui se sont distingués dans la guerre avec les troupes napoléoniennes.

La conception des salles d’exposition suivantes est réalisée dans un style différent. Chaque salle représente les maîtres des caricatures de l’un des pays - artistes russes, anglais, allemands et français.

Il est évident que des caractéristiques nationales sont perceptibles dans les œuvres d’artistes de chaque pays.

Des caricatures appartenant aux maîtres de la Grande-Bretagne ridiculisent l’apparence de l’empereur français, le dépeignant comme un petit, drôle, presque invisible sous un grand chapeau. Les Britanniques avaient des raisons importantes pour cette attitude - tout le monde connaissait le rêve de Napoléon de détruire l’Angleterre.

Les œuvres des artistes russes aux noms de famille maintenant célèbres, les thèmes principaux ont des intrigues dans lesquelles l’armée française est ridiculisée avec son chef et glorifie l’héroïsme de l’armée russe.

Les dessinateurs allemands se caractérisent par une ressemblance de portrait de leurs œuvres, ils sont toujours reconnaissables par Napoléon et les intrigues principales sont consacrées à l’empereur en tant que souverain des îles où il a vécu en exil. Les œuvres d’artistes français montrent le cours de l’histoire - la satire des images d’Alexandre Ier est remplacée par des plaisanteries sur l’ancienne idole.

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