Natures mortes et paysages gracieux de Julia Waltzerfer à la galerie d’art ARKA Automatique traduire

ST. PETERSBURG. Immédiatement après les vacances du Nouvel An, une exposition a été inaugurée dans la ARKA Art Gallery, située dans le quartier de Palace Square, invitant les amateurs d’art à visiter le monde merveilleux de la talentueuse artiste Julia Valcefer. Son pays se compose d’élégants natures mortes et de paysages dont l’air est tissé à partir des nuances les plus délicates des tons argent et rose.

Le paysage, qui représente des bouleaux poussant dans un petit bosquet près de la rivière Hiver, de l’herbe des champs recouverte d’une touche de gelée - chaque détail des peintures de l’artiste est peint avec un soin tel qu’il ressemble à des motifs de dentelle élaborés. Parfois seulement un détail brillant clignote dans une image parmi les tons pastel, ajoutant une petite célébration à l’intrigue de l’œuvre.

Les peintures écrites par Julia Waltzfer sont toujours une célébration, même si elles sont peintes dans les demi-teintes les plus délicates du blanc et du gris. L’artiste aime ajouter un peu de mystère à ses toiles, écrivant avec brio le portrait d’une femme dans une nature morte aux fleurs parfumées, et une orchidée sophistiquée enveloppant un regard de jeune fille.

Dans les personnages de portraits peints par l’artiste, il y a sophistication, aristocratie. Même dans un chat fantomatique enneigé, regardé depuis un coin confortable par deux amis à fourrure ronronnant, l’individualité propre à Julia est également visible. L’artiste inclut souvent dans ses peintures des éléments rappelant l’époque antique, même son fils dans le portrait ressemble à un jeune dieu au bord de la mer.

Les œuvres de Julia Waltzerfer suscitent toujours un vif intérêt chez les visiteurs des expositions auxquelles ils participent. Elles sont déjà plus de soixante-dix dans le bagage créatif de l’artiste. Ses peintures ornent les expositions de nombreux musées russes.

L’exposition de peintures de la galerie d’art ARKA sera ouverte jusqu’au 30 janvier.

Ludmila Trautmane