La première exposition personnelle d’Andrei Mamaev dans son pays natal, Saint-Pétersbourg Automatique traduire

ST. PETERSBURG. L’exposition «Other Nature», inaugurée le 13 février dans le hall de la Galerie d’art moderne, permettra de faire connaître au visiteur le travail d’Andrei Mamaev, paysagiste dont le travail est de plus en plus populaire ces dernières années.

L’exposition de la galerie présentait des œuvres de Mamaev au cours des dernières années. En Russie, il s’agit de la première exposition personnelle du peintre et, il y a moins de deux ans, Andrei Mamaev, lors d’une exposition solo à New York, a présenté son travail aux habitants des États-Unis. Les œuvres de l’artiste ont acquis de nombreux musées dans leurs collections.

Les critiques se disputent pour tenter de déterminer quel style de peinture peut être attribué aux paysages peints par Andrei Mamaev. Certains considèrent sa peinture comme du réalisme, d’autres la classent comme des exemples du postmodernisme.

Les visiteurs ordinaires de l’exposition ne sont pas trop intéressés par le nom de ce style. L’important est que, en regardant les peintures d’Andrei Mamaev, le spectateur soit plongé dans un monde naturel mystérieux, légèrement irréel et romantique. Ses peintures attirent les connaisseurs de la peinture précisément parce qu’elles rappellent la peinture classique. Certains disent que les paysages d’Andrei Mamaev sont un alliage organique de classique et de moderne.

Les œuvres de Andrey sont bien connues des connaisseurs de peinture en Europe et en Amérique, mais l’exposition représentant son travail pour les habitants de la ville, originaire de l’artiste, revêt une importance particulière pour lui.

Même le dur climat de Saint-Pétersbourg lui sert de source d’inspiration. Les paysages peints au printemps par l’artiste, la saison préférée d’Andrei Mamaev, reflètent le plus souvent ses débuts: la nature avec des arbres toujours nus errant dans le brouillard. Parfois, ses paysages sont appelés "un écho du Moyen Âge". Vous pouvez les voir jusqu’au 13 mars.

Ludmila Trautmane