L’écrivain Samuel Lurie est décédé. Premières tentatives de prise de conscience Automatique traduire
PALO ALTO, CALIFORNIE. L’écrivain, essayiste et impeccablement honnête homme Samuel Lurie est décédé.
Il n’y avait pas de pathos et de glorifications, comme il l’a toujours demandé. La poussière est dispersée sur la Californie et frappera les cœurs de ceux pour qui cette perte est amère et irréversible.
Un essayiste brillant qui n’a pas aimé le mot "essai". Un honnête homme qui détestait la censure et la sécurité de l’État pour des vies mutilées et des biographies déformées. Le recrutement de «Pisarev Literator» dispersé en 1979 pour avoir refusé d’écrire une dénonciation, des moqueries, une persécution et la promesse de représailles rapides a été décent. Mais ne l’a pas cassé. Le livre n’a pu sortir qu’en 1987.
Dans sa biographie, il n’est pas arrivé des actes de lâcheté et des récompenses honteuses. Le prix Sakharov, décerné pour le journalisme, équivalent à un acte, ne contredit pas les principes de la vie et le niveau de talent. Les termes "aristocratie littéraire" avec lesquels il a reçu le prix de PA Vyazemsky, ainsi que "amateurisme élégant" lui ont paru étonnamment appropriés. En effet, les ennemis de l’aristocratie, qui distinguaient Pyotr Andreyevich Vyazemsky, étaient toujours la vulgarité et la stupidité. Ces manifestations étaient inacceptables pour lui personnellement. Une personne qui a quitté l’Union des écrivains pour ne rien avoir à faire avec des antisémites. Il n’a pas renoncé à Brodsky, qui s’est battu pour la liberté d’expression et a défendu ceux qui se sont vu refuser ce droit.
Lire ses livres, ses essais et ses articles vaut la peine d’être entamé pour apprécier la syllabe magnifique, la profondeur et la sagesse. Et imperceptiblement pour vous de recevoir un antidote contre la stupidité et l’hypocrisie.
Elena Tanakova © Gallerix.ru
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