La saga Old Believer de Danila Zaitseva a remporté le prix principal du prix littéraire "NOS" Automatique traduire
MOSCOU. À la suite de débats houleux et de votes, le gagnant du prix littéraire "NOS-2015" a été déterminé.
Le livre principal du prix NOS cette année était le roman autobiographique de 700 pages de la vieille croyante Danila Zaitsev, qui n’a que quatre cours d’éducation. La production d’un ouvrage aussi volumineux, écrit avec une lettre sonore (phonétique) plus familière à l’auteur, n’aurait pas été possible sans l’aide d’un dialectologue, candidat des sciences philologiques Olga Rovnova. Le texte qu’elle a traité a été mis en conformité avec les normes d’orthographe et de ponctuation de la langue russe moderne et accompagné de commentaires détaillés. Le dialecte dialectique, son archaïsme charmant a semblé au jury et aux lecteurs qui ont participé au vote, ce modèle de littérature nouvelle, pour lequel le prix littéraire "NOS" a été créé. Le choix alternatif et unanime du "Conseil des sages", présenté par Kirill Kobrin, ne pouvait affecter le résultat évident du vote presque dès le début. Le livre de Living Pictures de Polina Barskova, consacré au blocus de Léningrad, s’est avéré être un favori des aînés. Contrairement aux attentes, “Zuleikha” Yakhina n’a pas été inscrit sur la liste des superfinalistes. Mais elle n’est pas privée de prix cette année. Il est prévu d’être publié à l’étranger. Entré en super finale, il ne put résister à l’assaut du lourd volume du vainqueur, la merveilleuse histoire de la poète et scénariste Tatyana Bogatyreva «La fosse Mariana».
“Le conte et la vie de Danila Terentyevich Zaitsev” est une épopée fascinante, une confession ouverte, qui raconte l’exode des vieux croyants russes en Chine après la révolution, s’est déplacé en Amérique latine pour tenter de ramener leurs ancêtres dans leur patrie, leurs traditions, interdictions et rêves. Le gagnant, basé en Uruguay, prévoit de poursuivre ses activités littéraires. Parallèlement, il aide son fils, un guérisseur et un ostéopathe, dans sa carrière couronnée de succès.
Partageant ses impressions sur ses nombreux voyages en Russie, sur la chaleur et la cordialité des gens ordinaires, Zaitsev explique avec tristesse à quel point il est fait peu pour équiper la Russie et préserver sa riche nature. Sur la dissociation, les hautes barrières, les barrières les unes contre les autres, sur les fonctionnaires qui ne s’occupent pas assez de leur patrie, à partir de laquelle vous pouvez vous attendre à une oppression dans les affaires et dans la vie.
Elena Tanakova © Gallerix.ru
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