Résumé "Meurtre sur l’Orient Express" Automatique traduire
Agatha Christie a publié le roman classique Murder on the Orient Express en 1934. Le roman a d’abord été publié sous forme de feuilleton (séparément chapitre par chapitre) dans le Saturday Evening Post de juillet à septembre 1933. Parmi les thèmes du roman figurent la vengeance, la réalité du vrai mal, et le vrai sens de la justice.
Le roman policier s’ouvre sur un jeune lieutenant français, Dubosque, escortant un inconnu dans le train express Taurus. Ils sont situés à la gare d’Alep, en Syrie.
Dubosque ignore qu’il s’adresse à nul autre qu’Hercule Poirot, le célèbre détective belge à la retraite. Poirot est l’une des figures principales de l’œuvre de Christie, il apparaît dans 31 de ses romans.
Alors que Dubosc et Poirot attendent le train, Poirot informe le lieutenant de son voyage prévu à Istanbul (Istanbul).
Dans le train, Poirot commence à soupçonner un couple - le colonel Arbuthnot et Mary Debenham - qui agissent comme des étrangers, mais leurs mouvements subtils suggèrent qu’ils sont familiers.
À Istanbul, Poirot s’enregistre à l’hôtel Tokatlian. Mais avant qu’il ne puisse arriver, un télégramme urgent arriva de Londres lui demandant de revenir.
En attendant un autre train, Poirot tombe sur Monsieur Bouc, son ancien collègue. Book a des connexions sur le chemin de fer et obtient Poirot un billet VIP sur l’Orient Express. Ils continuent à parler et Poirot mentionne qu’il a vu Samuel Ratchett et Hector McQueen (le secrétaire privé de Samuel) dîner à l’hôtel Tocatlian. Il sait qu’il s’agit d’un duo douteux d’un point de vue moral et veut en avertir Monsieur Buka.
L’Orient Express est bondé (ce qui est très inhabituel en décembre) et Poirot doit voyager en deuxième classe. Il rencontre bientôt Ratchett. Ratchett confie à Poirot qu’il a des raisons de croire que quelqu’un envisage de le tuer. Il reçoit des courriers haineux depuis un moment maintenant. Il demande à Poirot de l’aider à retrouver l’expéditeur de ces lettres et lui propose même une somme d’argent considérable, mais Poirot refuse.
Monsieur Bouc, qui ne voyage qu’en Italie alors que Poirot doit se rendre dans l’ouest de la France, change de voiture avec Poirot, permettant au détective de dormir dans une cabine de première classe. Tout au long de la nuit, Poirot remarque des sons inhabituels, mais essaie de les ignorer. Il pense à quel point il est inhabituel que des personnes de nationalités différentes voyagent en première classe - Français, Italiens, Russes, Hongrois - une situation, selon Poirot, qui ne se rencontre qu’en Amérique.
La troisième nuit, il entend un cri vers une heure du matin. Il semble provenir de la cabine de Ratchett. Le guide frappe à la porte de la cabine et Poirot entend quelqu’un dire en français : «Ça va. J’avais tort".
Poirot essaie de se rendormir, mais n’y arrive pas. Bientôt, il entend quelqu’un sonner d’urgence une cloche. Il apprend qu’il s’agit de Mme Hubbard, une actrice américaine âgée. Elle est hystérique et dit qu’il y a une personne mystérieuse dans sa cabine.
Pendant ce temps, le train s’est arrêté en raison de fortes chutes de neige.
Le lendemain matin, Monsieur Bouc informe Poirot que Ratchett a été tué, poignardé douze fois dans son sommeil. Pour éviter un scandale public, il demande à Poirot d’enquêter sur le meurtre. Puisque la demande vient d’un ami, Poirot accepte et procède immédiatement à l’évaluation des preuves.
Il remarque que certaines des marques de blessures sont de la main droite, tandis que d’autres sont de la main gauche. Le pyjama de Ratchett contient une horloge cassée qui s’est arrêtée à 1 h 15.
Poirot saccage la cabine de Ratchett. Il rassemble la lettre gravement brûlée et analyse la phrase : "la petite Daisy Armstrong". C’est suffisant pour réveiller soudainement la mémoire de Poirot : Ratchett est en fait un italo-américain, dont le nom de famille est Cassetti. Il y a cinq ans, il a kidnappé une fillette de trois ans héritière d’une immense fortune. La famille a payé la rançon, mais il a quand même tué l’enfant. Le meurtre a tellement choqué certains membres de la famille que certains d’entre eux se sont suicidés, dont Sonya, la mère de Daisy. Le père de Daisy, le colonel Armstrong, s’est ensuite suicidé. Bien que Cassetti ait été détenu, il avait tellement d’argent qu’il a pu intenter une action en justice et fuir le pays.
Poursuivant la recherche, Poirot se rend compte que beaucoup de ses passagers étaient en quelque sorte liés à la famille Armstrong, ce qui signifie qu’ils avaient de bonnes raisons de vouloir la mort de Cassetti.
Poirot propose alors à Monsieur Bouc et au Dr Constantine (le médecin grec que Poirot a rencontré le premier jour) deux solutions qu’ils peuvent présenter aux autorités yougoslaves, dont la mauvaise réputation a conduit Monsieur Buka à demander l’aide de Poirot en premier lieu. Premièrement, ils peuvent dire que l’étranger a réussi à accéder au train et a tué Cassetti. Deuxièmement, on peut dire que les treize passagers de première classe ont travaillé ensemble pour assurer la mort de Cassetti.
Une discussion plus approfondie révèle que la comtesse Helena Andrenyi n’était très probablement pas impliquée dans le complot, laissant les douze autres passagers comme suspects; c’est important, car c’est ainsi que de nombreux membres du jury, si Cassetti n’avait pas fui l’Amérique, l’auraient condamné. Chacun des douze a poignardé Cassetti une fois.
Finalement, Mme Hubbard, qui avoue être la grand-mère de Daisy Armstrong, révèle qu’une douzaine de passagers ont coordonné leurs actions pour tuer Cassetti. Elle souligne que chacun d’eux a été gravement blessé par Cassetti, qu’il tuerait très probablement plus de filles comme Daisy et qu’elle irait volontiers en prison si cela épargnait les autres. Il est également révélé que le colonel Arbuthnot et Mary Debenham sont amoureux et veulent construire une nouvelle vie ensemble.
Bien que Monsieur Book et le Dr Konstantin connaissent désormais les vrais tueurs, le sens de la justice les amène à mentir à la police yougoslave et à dire qu’un inconnu a tué un homme sur l’Orient Express. Monsieur Bouc prévoit d’inculper M. Harris (un faux nom que les conspirateurs ont inventé pour être un autre suspect principal), et le Dr Constantine prévoit de modifier le rapport d’autopsie pour correspondre à la première supposition de Poirot. Après cela, Poirot considère l’affaire résolue.
- "Death on the Nile" summary
- "Witness for the Prosecution" by Agatha Christie, summary
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