"Quinze chiens" d’André Alexis Automatique traduire
«Quinze chiens» (2015) est un roman allégorique d’André Alexis. Le livre est un apologue avec un récit de type fable axé sur les animaux et la moralité. C’est le deuxième des cinq romans prévus explorant l’amour, la foi, le lieu, le pouvoir et la haine. «Fifteen Dogs» était la sélection 2017 de Canada Reads.
Dans un pub de Toronto, les dieux grecs Apollon et Hermès débattent des mérites des humains et de leur capacité de langage symbolique. Apollon, qui n’apprécie ni l’un ni l’autre, parie sur Hermès que les animaux dotés d’une intelligence humaine seront plus malheureux que les humains. Hermès accepte, à condition que si même un chien est heureux à la fin de sa vie, Hermès gagne. Ils accordent à 15 chiens résidant dans une clinique vétérinaire voisine une intelligence humaine. Le premier chapitre explore les diverses réactions des chiens à l’acquisition de l’intelligence humaine. Trois chiens choisissent de rester et meurent déçus et malheureux. Les 12 chiens restants établissent une tanière à High Park et Atticus, un dogue, assume la direction. Atticus trouve la conscience de soi intolérable car elle l’amène à remettre en question la brutalité de ses instincts. Majnoun, un caniche noir, aspire au passé mais croit que les chiens doivent apprendre à accepter leur nouvelle réalité. Benjy accepte l’intelligence comme une opportunité d’améliorer sa situation. Seul Prince, un cabot, se délecte de ses nouvelles compétences et commence à composer de la poésie. Atticus décide bientôt que la meute doit revenir à ses anciens comportements canins et complote pour purger la meute de tous les chiens dissidents. Il organise la mort d’Athéna et de Bella, respectivement un petit et un grand chien, qui partageaient un lien étroit. Avec cet acte, Hermès se déclare vainqueur puisque l’amitié des chiens a amélioré leur vie, mais Apollo n’est pas d’accord car les deux chiens ont eu peur lorsqu’ils sont morts. Pour résoudre leur conflit, Apollo permet à Hermès d’avertir les plans du prince d’Atticus. Prince s’enfuit après un avertissement dans un rêve. Pendant ce temps, Atticus mène une attaque sur Majnoun, mais Majnoun survit. Au chapitre deux, Majnoun développe une profonde amitié avec une femme, Nira. En se promenant dans le parc, ils rencontrent Benjy et le ramènent à la maison. Il révèle que le reste de la meute sont tous morts d’empoisonnement. Benjy retient qu’il a orchestré l’empoisonnement. Craignant Atticus, Benjy avait fui la meute avec Dougie, un autre petit chien, mais ils sont revenus après avoir connu des moments difficiles. La meute a attaqué et tué Dougie mais a permis à Benjy de rester. La meute avait besoin d’un petit chien pour remplir la hiérarchie, mais Benjy les détestait pour avoir assassiné son ami et en voulait à leur abus de pouvoir. Alors que Benjy trouve que l’intelligence humaine est un outil utile, il exécute joyeusement des tours pour impressionner les humains. Benjy finit par devenir trop confiant et tente de supplanter Majnoun, qui attaque avec l’intention de tuer, et Benjy s’enfuit. Le chapitre trois revient à Atticus, qui vit la conscience de soi comme un douloureux tumulte intérieur entre violence et empathie. Atticus se rend compte finalement que le meurtre de chiens était un excès qui a entaché son leadership. Cherchant des conseils, il commence à prier un chien idéal, créant un sanctuaire et laissant des offrandes de nourriture. Zeus entend ses prières et, après que Benjy l’empoisonne avec les autres, Zeus exauce son dernier souhait : que le meurtrier de la meute soit puni. Zeus s’arrange pour que Benjy meure comme Atticus et la meute l’ont fait, par empoisonnement. Dans ses derniers instants, Benjy espère un endroit où les forts et les faibles existent dans une relation mutuellement bénéfique. L’espoir n’étant pas une condition du bonheur, le pari d’Apollon et Hermès reste entier. Au chapitre quatre, Majnoun et Nira se disputent brièvement sur ce que Majnoun perçoit comme un défi pour sa place dans la maison de Nira, et il s’enfuit. Réalisant que Majnoun ne sera jamais heureux sans Nira, Hermès intervient, lui donnant la capacité de percevoir les nuances humaines. Le don a cependant l’effet inverse. Cela crée un lien si profond que Majnoun et Nira deviennent indiscernables. Après la mort de Nira, Majnoun est privé et meurt avec le seul désir de la voir. Le chapitre cinq raconte l’histoire de Prince. Il avait aimé son premier maître humain, Kim, mais ils avaient été accidentellement séparés. Prince s’adapte et embrasse immédiatement le langage humain, trouvant de la joie dans le jeu de mots. Après avoir quitté la meute, Prince reste pour la plupart seul. Craignant de perdre le pari, Apollon prive Prince de la vue, mais Prince retourne humblement dans une famille bienveillante qui prend soin de lui. Espérant empêcher sa poésie de mourir avec lui, Prince commence à la réciter à la femme de la maison, jusqu’à ce qu’Apollon le prive de son audition. Dans ses derniers instants, Prince réfléchit au cadeau qui lui a été offert et se rend compte qu’il peut être offert à un autre. Alors qu’il meurt, Prince se sent heureux et Hermès remporte le pari. Hermès accorde à Prince un dernier moment de joie, dans lequel il ressent et reçoit l’amour avec Kim.
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