"L’homme invisible" de Ralph Ellison Automatique traduire
«Invisible Man» a été publié en 1952 et écrit par l’auteur afro-américain Ralph Ellison. Il a remporté le National Book Award for Fiction en 1953 et Ellison a reçu la National Medal of Arts en 1985 pour ses contributions à la littérature américaine. En plus de sa fiction, il a écrit des essais et a été professeur, enseignant dans plusieurs universités américaines prestigieuses, dont l’Université de Yale, le Bard College, l’Université de New York, l’Université de Chicago et l’Université Rutgers. Il a également reçu des médailles de deux présidents américains ainsi que la médaille présidentielle de la liberté et diverses distinctions internationales. «Invisible Man» est un roman réaliste du XXe siècle qui examine la question de l’oppression afro-américaine dans l’Amérique des années 1930.
Ce guide fait référence à l’édition 1980 de Random House. Le protagoniste de «Invisible Man» est un jeune Noir dont le nom n’est jamais mentionné dans le texte. Il grandit dans la région méridionale de Jim Crow aux États-Unis et est déterminé à essayer de réussir professionnellement même dans un monde ségrégué dans lequel il est victime de stéréotypes raciaux et de discrimination. En tant que finissant du secondaire, il est invité à prononcer un discours de remise des diplômes lors d’une réception à laquelle assistent des hommes blancs éminents dans sa ville natale. Cependant, il trouve rapidement que l’événement est une excuse pour forcer les jeunes hommes noirs à divertir les Blancs en boxant les yeux bandés puis en se précipitant sur un tapis électrifié pour de l’argent factice. À la fin de la nuit, il reçoit une mallette avec une notification à l’intérieur qu’il a été admis dans un collège noir. Plusieurs années plus tard, le protagoniste met en colère le président du collège en emmenant un fondateur blanc estimé dans les zones pauvres entourant le collège plutôt que de présenter une vision plus «aseptisée» de la région. Le président le punit en l’envoyant à New York, apparemment juste pour l’été, afin qu’il puisse apprendre à interagir avec les Blancs de manière professionnelle. Le président envoie des lettres scellées qui, selon lui, sont des recommandations à des hommes blancs éminents de New York. À son arrivée, le protagoniste découvre que les lettres disent en fait aux hommes blancs que le protagoniste a été expulsé et de ne pas lui donner de travail, le coinçant dans la ville sans aucune économie. Désespéré de gagner de l’argent, le protagoniste travaille un jour dans une usine de peinture, où une explosion le blesse. Il est soigné à l’hôpital de l’usine et subit involontairement une procédure de type lobotomie, puis est relâché et on lui dit qu’il sera «dédommagé» pour ses ennuis. Le protagoniste trouve un autre emploi au sein d’une organisation appelée la Fraternité de l’homme en tant que militant communautaire et orateur. La Confrérie travaille selon ce qui semble être un code d’éthique strict qui plaît au protagoniste, et il aime son travail pendant un certain temps, se familiarisant avec d’autres militants de Harlem, où il est basé. Après quelques mois de désaccords et de conflits croissants entre la Confrérie et le protagoniste, il est renvoyé de Harlem pendant un certain temps. À son retour, il constate que la Confrérie a abandonné son travail à Harlem, laissant les personnes qu’elle aidait désespérées et sans ressources. Enragé par les actions de la Confrérie et la mort injuste d’un autre militant, il organise des funérailles qui soulèvent un tollé contre les autorités blanches de la communauté de Harlem. Le protagoniste est jeté dans les émeutes raciales qui éclatent et se rend compte que la Confrérie veut faire de lui un bouc émissaire pour les troubles. Après avoir été déçu à plusieurs reprises par les personnes et les groupes qui avaient autrefois son respect, il décide finalement qu’il déterminera son propre sens de soi plutôt que de le laisser lui être dicté. Pendant les émeutes, il tombe dans une bouche d’égout et en profite pour mettre en scène une «disparition». Son absence lui permet de passer quelques années à mener une vie tranquille à Harlem avant de réapparaître, prêt à rejoindre l’effort des causes sociales. Ellison combine des scénarios psychologiques et sociaux dans «Invisible Man», examinant les effets du racisme sur son protagoniste et sa capacité, néanmoins, à surmonter les difficultés qu’il rencontre pour façonner son propre sens de soi.
- «The Invisible Man» by H. G. Wells
- «King of the Bingo Game» by Ralph Ellison
- «It’s Kind of a Funny Story» by Ned Vizzini
- «Irresistible» by Adam Alter
- «Home» by Marilynne Robinson
- «Girl in Pieces» by Kathleen Glasgow
- «How to Be an Antiracist» by Ibram X. Kendi
- «Forty Million Dollar Slaves: The Rise, Fall, and Redemption of the Black Athlete» by William C. Rhoden
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