"Le feu la prochaine fois" de James Baldwin Automatique traduire
«The Fire Next Time» (1963) de James Baldwin comprend deux essais autobiographiques dans lesquels l’auteur se confronte aux questions et tensions raciales qui, selon lui, corrompent et déforment la vie américaine et le rêve américain. Les essais de Baldwin illustrent et préfigurent de nombreux éléments et arguments au cœur du mouvement des droits civiques. Veuillez noter : tout au long du texte, Baldwin utilise les étiquettes raciales/langage courant au moment où il écrivait. Ce guide d’étude, qui utilise l’édition Vintage Reissue du texte, cite et obscurcit l’utilisation du mot n par l’auteur.
Ces essais épistolaires cooptent le format de la lettre pour créer un sentiment d’immédiateté et de connexion entre l’écrivain et le public. Cette stratégie est particulièrement efficace dans le premier essai – «My Dungeon Shook : Letter to my Nephew on the One Hundredth Anniversary of the Emancipation» – adressé au neveu de Baldwin, James, du nom de l’auteur par le frère de l’auteur. Le lecteur devient immédiatement un remplaçant du destinataire : James, un jeune homme fier, intelligent et colérique, aimé de son oncle. Dans cette lettre, Baldwin exhorte son neveu à ne pas se mettre en colère contre la discrimination systémique, juridique et socio-économique infligée par la structure de pouvoir de l’élite blanche, mais plutôt à adopter une vision plus universelle, voire compatissante, des tensions raciales. Le deuxième essai— «Down at the Cross: Lettre d’une région dans mon esprit» — s’adresse à un public plus large et son ton rappelle celui d’un sermon de prédicateur. Dans cet essai, Baldwin exploite plusieurs dispositifs rhétoriques importants à travers la cooptation des structures rhétoriques épistolaires et sermoniques qui approfondissent son thème : le christianisme et l’islam empêchent les Afro-Américains de revendiquer l’égalité et les droits civils. La condamnation par Baldwin de l’église et de la mosquée est structurée comme un examen rhétorique dans lequel Baldwin étaye logiquement ses arguments en utilisant des exemples tirés de sa vie. Ces exemples de sa lutte émotionnelle, métaphysique et spirituelle agissent comme l’argument philosophique qui condamne finalement le christianisme comme un outil d’un « Dieu blanc » qui encourage les Afro-Américains à attendre d’être récompensés pour leurs souffrances actuelles au paradis. Cependant, le «Dieu noir» offert par les foires islamiques n’est pas meilleur aux yeux de Baldwin ; principalement parce qu’il ne parvient pas non plus à exiger ou à obtenir justice, se concentrant plutôt sur les torts commis par les «diables blancs», condamnant les Blancs comme des ennemis automatiques de tous les Afro-Américains et réduisant l’argument à une polémique «nous contre eux». Les essais de Baldwin éduquent tout le monde, mais en particulier les Blancs, sur les réalités de l’expérience afro-américaine aux États-Unis pour créer le changement là où il le peut. À travers le point de vue humanisant à la première personne, Baldwin exhorte, inspire et enjoint tous les êtres humains à aspirer à la justice et à l’égalité pour tous, où l’intégration n’est pas l’objectif final mais plutôt une co-création de l’égalité. Il prône la prise de conscience plutôt que la révolution. principalement parce qu’il ne parvient pas non plus à exiger ou à obtenir justice, se concentrant plutôt sur les torts commis par les «diables blancs», condamnant les Blancs comme des ennemis automatiques de tous les Afro-Américains et réduisant l’argument à une polémique «nous contre eux». Les essais de Baldwin éduquent tout le monde, mais en particulier les Blancs, sur les réalités de l’expérience afro-américaine aux États-Unis pour créer le changement là où il le peut. À travers le point de vue humanisant à la première personne, Baldwin exhorte, inspire et enjoint tous les êtres humains à aspirer à la justice et à l’égalité pour tous, où l’intégration n’est pas l’objectif final mais plutôt une co-création de l’égalité. Il prône la prise de conscience plutôt que la révolution. principalement parce qu’il ne parvient pas non plus à exiger ou à obtenir justice, se concentrant plutôt sur les torts commis par les «diables blancs», condamnant les Blancs comme des ennemis automatiques de tous les Afro-Américains et réduisant l’argument à une polémique «nous contre eux». Les essais de Baldwin éduquent tout le monde, mais en particulier les Blancs, sur les réalités de l’expérience afro-américaine aux États-Unis pour créer le changement là où il le peut. À travers le point de vue humanisant à la première personne, Baldwin exhorte, inspire et enjoint tous les êtres humains à aspirer à la justice et à l’égalité pour tous, où l’intégration n’est pas l’objectif final mais plutôt une co-création de l’égalité. Il prône la prise de conscience plutôt que la révolution. condamnant les Blancs comme ennemis automatiques de tous les Afro-Américains et réduisant l’argument à une polémique «nous contre eux». Les essais de Baldwin éduquent tout le monde, mais en particulier les Blancs, sur les réalités de l’expérience afro-américaine aux États-Unis pour créer le changement là où il le peut. À travers le point de vue humanisant à la première personne, Baldwin exhorte, inspire et enjoint tous les êtres humains à aspirer à la justice et à l’égalité pour tous, où l’intégration n’est pas l’objectif final mais plutôt une co-création de l’égalité. Il prône la prise de conscience plutôt que la révolution. condamnant les Blancs comme ennemis automatiques de tous les Afro-Américains et réduisant l’argument à une polémique «nous contre eux». Les essais de Baldwin éduquent tout le monde, mais en particulier les Blancs, sur les réalités de l’expérience afro-américaine aux États-Unis pour créer le changement là où il le peut. À travers le point de vue humanisant à la première personne, Baldwin exhorte, inspire et enjoint tous les êtres humains à aspirer à la justice et à l’égalité pour tous, où l’intégration n’est pas l’objectif final mais plutôt une co-création de l’égalité. Il prône la prise de conscience plutôt que la révolution. À travers le point de vue humanisant à la première personne, Baldwin exhorte, inspire et enjoint tous les êtres humains à aspirer à la justice et à l’égalité pour tous, où l’intégration n’est pas l’objectif final mais plutôt une co-création de l’égalité. Il prône la prise de conscience plutôt que la révolution. À travers le point de vue humanisant à la première personne, Baldwin exhorte, inspire et enjoint tous les êtres humains à aspirer à la justice et à l’égalité pour tous, où l’intégration n’est pas l’objectif final mais plutôt une co-création de l’égalité. Il prône la prise de conscience plutôt que la révolution.
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