"Matrice" de Lauren Groff Automatique traduire
Introduction
«Matrix» est un roman nominé au National Book Award de Lauren Groff, publié par Riverhead Books en 2021. Groff a publié six romans et recueils de nouvelles, dont les best-sellers «Arcadia, Fates and Furies» et «The Monsters of Templeton». Son travail est fréquemment anthologisé et est apparu dans plusieurs volumes de «The Best American Short Stories». Elle a également publié une douzaine de nouvelles dans des publications telles que «The New Yorker» et «Tin House», en plus de nombreuses introductions et avant-propos aux travaux d’autres auteurs. Elle a été trois fois finaliste du National Book Award et finaliste du National Book Critics Circle Award. «Matrix» est un roman historique qui se déroule aux XIIe et XIIIe siècles et met en scène deux vrais personnages historiques, Marie de France et Aliénor d’Aquitaine. Marie de France était une poétesse et une noble du XIIe siècle dont on sait peu de choses. Aliénor d’Aquitaine était une duchesse du XIIe siècle qui est devenue reine de France et d’Angleterre. Le roman prend Marie de France comme personnage central et réinvente sa vie et son tempérament. Dans le roman, elle vient d’une famille de femmes nobles non conventionnelles et est la fille illégitime d’un Plantagenêt, la famille la plus riche d’Europe à cette époque et les dirigeants d’Angleterre du XIIe au XVe siècle. Peu de temps après la mort de sa mère d’un cancer, elle est envoyée vivre à la cour d’Aliénor d’Aquitaine, à qui elle est liée par son père. Eleanor décide alors de l’installer comme prieure dans une abbaye appauvrie dans une partie reculée de l’Angleterre. Le roman s’ouvre sur l’arrivée de Marie à l’abbaye. C’est un endroit qui lui est interdit au début. Ses terres sont mal gérées et de nombreuses religieuses de l’abbaye souffrent de pneumonie et de manque de nourriture. En tant qu’étrangère installée comme prieure, Marie est considérée avec suspicion et ressentiment par de nombreuses religieuses. Elle a le mal du pays pour la cour d’Eleanor, dont elle se souvient comme d’un endroit dynamique et romantique, et Eleanor elle-même lui manque également. Elle est tombée amoureuse de la reine lorsqu’elle l’a rencontrée pour la première fois pendant les croisades alors qu’elles combattaient dans des armées de femmes séparées. Elle manque et aime aussi son amie et servante Cécile, qu’elle a dû laisser à la cour. Ses premières rencontres intimes ont été avec Cécile. Marie s’irrite d’abord de son enfermement dans l’abbaye et tente de contacter Eleanor, lui écrivant une série de «lais», la forme de poésie pour laquelle la figure historique Marie de France est connue. Son espoir est qu’Eleanor, après avoir lu ces poèmes, l’enverra chercher à revenir à la cour. Lorsqu’elle n’a pas de nouvelles d’Eleanor, elle est d’abord désabusée mais se résout progressivement à embrasser son nouveau rôle de prieure. Ayant géré sa propre maison pendant quelques années après la mort de sa mère, elle est habituée aux exigences de ce rôle. Les améliorations qu’elle apporte à l’abbaye sont d’abord modestes et mineures. Elle engage les religieuses pour cultiver la terre et utilise son propre argent pour leur acheter de la meilleure nourriture dans la ville voisine. Elle découvre également que de nombreux paysans qui vivent sur les terres de l’abbaye y squattent et elle leur demande un paiement. Elle décide qu’il est plus efficace de confier aux religieuses des emplois qui correspondent à leurs capacités, plutôt que de leur enseigner l’humilité spirituelle en leur donnant des travaux difficiles, comme c’est la tradition dans l’église. Les ambitions de Marie pour l’abbaye s’élargissent peu à peu ; en même temps, elle découvre en elle-même une vocation divine. Une fois l’abbesse Emme décédée, elle devient la nouvelle abbesse. C’est aussi à ce moment qu’elle commence à avoir des visions divines, qu’elle note dans un carnet. Beaucoup de ces visions se traduisent par des améliorations et des fortifications qu’elle ordonne d’achever sur l’abbaye. Après avoir vu la Vierge Marie dans le ciel entourée de pétales de rose tourbillonnants, par exemple, elle décide de construire un labyrinthe de la ville à l’abbaye pour rendre l’abbaye plus protégée du monde extérieur. Une vision ultérieure de filles et de femmes poussant comme des fleurs sur un arbre l’inspire à construire un autre bâtiment en pierre pour l’abbaye. Elle enrôle ses propres religieuses, ainsi que des paysans et des citadins voisins, pour ces améliorations. Elle est fréquemment défiée par des étrangers et est même parfois attaquée. L’église est une institution patriarcale, et Marie doit faire face à ses responsables qui ne croient pas qu’une femme devrait occuper un rôle de leadership. Elle apprend à gérer ces fonctionnaires en les évitant ou en les flattant au besoin et en cultivant ses propres espions et contacts au sein de la communauté environnante. De cette façon, elle émule Eleanor, avec qui elle reste en contact sporadique. Eleanor reproche souvent à Marie d’avoir outrepassé ses limites, mais se confie également à elle et dépend d’elle en tant qu’alliée. Alors que Marie entretient un lien méfiant avec Eleanor, elle a également des rencontres sexuelles occasionnelles avec des religieuses de l’abbaye. Elle considère ces rencontres comme saines et amicales, différentes de l’amour exigeant qu’elle a pour Eleanor. Au fur et à mesure que Marie grandit dans son rôle d’abbesse, elle devient de moins en moins conventionnelle et s’éloigne de l’église traditionnelle. Elle va même jusqu’à assumer le rôle de prêtre à l’abbaye, prenant la communion et la confession. Après la mort de Marie d’un cancer, la prieure Tilde prend la relève comme abbesse. Une fois installée dans les appartements de l’abbesse, Tilde découvre les cahiers dans lesquels Marie consigne ses visions. Elle décide de brûler ces cahiers, les considérant comme hérétiques. D’autres religieuses de l’abbaye sont divisées quant à savoir si Marie était une sainte, une sorcière ou les deux. Tilde découvre les cahiers dans lesquels Marie consigne ses visions. Elle décide de brûler ces cahiers, les considérant comme hérétiques. D’autres religieuses de l’abbaye sont divisées quant à savoir si Marie était une sainte, une sorcière ou les deux. Tilde découvre les cahiers dans lesquels Marie consigne ses visions. Elle décide de brûler ces cahiers, les considérant comme hérétiques. D’autres religieuses de l’abbaye sont divisées quant à savoir si Marie était une sainte, une sorcière ou les deux.
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