"Sur la nature humaine" par Edward O. Wilson Automatique traduire
Le texte classique d’Edward O. Wilson «On Human Nature» (1978, deuxième édition 2004) est un ouvrage de sociobiologie qui explique les contributions des sciences naturelles à l’anthropologie culturelle et le rôle de la génétique et de l’évolution dans la nature humaine. Bien que le travail ait été largement considéré comme une étude historique, il a également suscité la controverse en raison des positions de l’auteur sur l’eugénisme, le matérialisme biologique et le déterminisme génétique. L’ouvrage est divisé en neuf chapitres : Dilemme, Hérédité, Développement, Émergence, Agression, Sexe, Altruisme, Religion et Espoir. En 1979, le texte a reçu le prix Pulitzer.
Ce guide est basé sur l’édition 2004, publiée avec une nouvelle préface par Harvard University Press. Le chapitre 1 introduit le thème de « Sur la nature humaine » et les dilemmes qu’il entraîne nécessairement. La thèse principale est la nécessité de l’élévation de la sociobiologie, domaine scientifique défini par la synthèse des sciences naturelles et sociales. La biologie et l’étude de la génétique sont le nouveau mode d’étude de la nature humaine et de compréhension des causes de traits et de comportements humains spécifiques. Vu sous cet angle, il est facile de supposer que «la moralité a évolué comme un instinct» - l’un des nombreux dilemmes causés par l’utilisation de la génétique pour expliquer la nature humaine. Le chapitre 2 s’articule autour de l’étude de la génétique et des capacités innées rendues possibles par leur héritage. L’essentiel de ce chapitre est de mettre en évidence ce que l’auteur appelle le «déterminisme génétique», ou la réalité que la constitution génétique d’un individu est inéluctablement liée à son développement, et que cela se joue à l’échelle de toute une espèce et de son évolution. Au fur et à mesure qu’un individu grandit et mûrit (comme indiqué au chapitre 3), l’héritage génétique qu’il reçoit de ses parents commence à se manifester de manière plus claire et plus divergente. En même temps, la nature humaine est telle qu’elle est naturellement conçue pour se manifester de manière particulière ; Edward O. Wilson utilise le langage comme exemple d’exceptionnalisme humain, car le cerveau humain semble particulièrement adapté à la conception et à l’emploi de structures de phrases complexes. Le chapitre 4 aborde le thème du déterminisme et du libre arbitre, explorant les implications de la structure génétique d’un individu qui régit complètement son développement et son comportement. Chez les animaux "inférieurs", l’héritage génétique peut entièrement gouverner le comportement, mais chez les animaux «supérieurs» – les humains étant l’exemple suprême – le comportement enraciné dans la génétique est influencé par l’éducation et le conditionnement culturel. L’un de ces comportements est l’agressivité, sujet du chapitre 5. Toutes les sociétés humaines se sont engagées dans la guerre, et toutes ont développé diverses réglementations pour l’engagement de la police dans la violence et pour « minimiser les formes plus subtiles mais inévitables de conflit ». L’agression est conçue pour protéger ou redistribuer les ressources ; c’est un comportement inné chez l’homme en raison de sa prédisposition génétique à la violence créée par la sélection naturelle des générations précédentes. Le chapitre 6 étudie la nature du dimorphisme sexuel humain - la division en membres mâles et femelles de l’espèce - et les avantages génétiques que procure la reproduction sexuée. La diversité génétique est le principal avantage de la reproduction sexuée, tout en permettant d’augmenter les ressources à puiser dans le pool génétique. Le chapitre 7 aborde une tendance opposée dans le comportement humain. Alors que le comportement sexuel traite du désir égoïste de reproduire son propre matériel génétique, «l’altruisme» questionne comment un comportement désintéressé profite à la société humaine et comment il peut être hérité. Les chapitres 8 et 9 traitent de questions concernant la religion et l’espérance. La religion est un phénomène qui imprègne l’histoire humaine ; aucune société humaine enregistrée n’a jamais été sans pratique religieuse et dévotion. Un obstacle futur sera la coexistence de la religion avec une prise de conscience scientifique croissante du prédéterminisme génétique concernant le comportement humain. Si le comportement et la morale sont régis par la biologie, alors la question devient de savoir comment il est possible de maintenir l’idée de Dieu en harmonie avec le naturalisme biologique. Enfin, Edward O. Wilson envisage l’avenir. Pour lui, la nature humaine a été guidée et conditionnée par des facteurs environnementaux qui n’existent plus. En d’autres termes, maintenant que la science a tellement progressé, les humains possèdent le pouvoir de changer leur propre destin. En fin de compte, Wilson se demande si oui ou non les humains choisiront de modifier leur propre nature, et si oui, «comment» ils choisiront de diriger le cours de l’évolution culturelle.
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