« Une théorie de la justice » de John Rawls Automatique traduire
John Rawls a publié «A Theory of Justice» en 1971 et l’ouvrage est crédité de la renaissance de la philosophie politique normative. « Une théorie de la justice » soutient la théorie de la justice comme équité de Rawls, qui commande :
· l’égalité des droits fondamentaux · l’égalité des chances · et l’amélioration des perspectives des plus défavorisés de la société.
Pour ce faire, Rawls utilise une expérience de pensée appelée la position originale. Dans la position d’origine, des personnes rationnelles mutuellement désintéressées, dans une situation d’origine hypothétique, protégées des particularités de la société et de leur place dans celle-ci par ce que Rawls appelle le voile de l’ignorance, s’accordent sur le type de société dans laquelle elles choisissent de vivre. Cette expérience de pensée conduit Rawls dans un voyage philosophique social-contractuel qui aborde la justice distributive dans une perspective kantienne, dans le but d’offrir une alternative aux doctrines utilitaristes.
À travers la position originale, Rawls justifie les deux principes de justice, qui dictent que :
· chaque personne a le même droit à un régime complet de libertés fondamentales égales · que les fonctions et postes sont ouverts à tous dans des conditions de juste égalité des chances, et · que les inégalités sociales et économiques doivent être aménagées de manière à profiter aux plus démunis membres de la société. Rawls appelle cette dernière proposition le principe de différence.
Un élément important des deux principes de Rawls est que le premier principe, celui qui exige une liberté égale, a priorité sur le deuxième principe, et dans le deuxième principe, l’égalité des chances a priorité sur le principe de différence. À travers ses quatre-vingt-sept sections, « Une théorie de la justice » développe cette théorie pour inclure :
· une séquence en quatre étapes pour l’élaboration des principes et l’application des règles · aborde le problème de la justice intergénérationnelle · plaide pour l’inclusion des devoirs et obligations naturels dans la conception de la justice · justifie la désobéissance civile et le refus de conscience comme essentiels à toute conception de la justice, et · aborde le bien, le droit, le respect de soi, les excellences, la honte, l’envie et les principes de la psychologie morale.
Tout raisonnement est effectué dans le but d’articuler pleinement la théorie de la justice comme équité, afin qu’elle puisse servir d’alternative raisonnable à l’utilitarisme.
La théorie de la justice comme équité de Rawls est articulée en trois parties, qui se soutiennent mutuellement pour former une théorie unifiée. La première partie de la théorie de Rawls établit sa structure théorique et comprend les chapitres «La justice comme équité», «Les principes de justice», et «La position originelle». La deuxième partie de la théorie établit les institutions de la justice et comprend les chapitres « Égalité de la liberté », « Parts distributives » et « Devoir et obligation ». La troisième partie de sa théorie établit que les principes établis dans les parties 1 et 2 créent une conception réalisable de la justice. Cette troisième section comprend les chapitres «Le bien comme rationalité», «Le sens de la justice», et «Le bien de la justice».
L’articulation finale des deux principes de justice comme équité est présentée comme suit :
«PRINCIPE PREMIER: Chaque personne doit avoir un droit égal au système total le plus étendu de libertés fondamentales égales compatible avec un système similaire de liberté pour tous.
«DEUXIÈME PRINCIPE : Les inégalités sociales et économiques doivent être aménagées de manière à ce qu’elles soient à la fois (a) au plus grand bénéfice des plus démunis, conformément au principe de l’épargne juste, et (b) attachées à des charges et postes ouverts à tous dans des conditions d’une juste égalité des chances.
«RÈGLE DE PREMIÈRE PRIORITÉ (LA PRIORITÉ À LA LIBERTÉ) : les principes de justice doivent être classés par ordre lexical et, par conséquent, les libertés fondamentales ne peuvent être restreintes qu’au nom de la liberté. Il y a deux cas : a) une liberté moins étendue doit renforcer le système total des libertés partagées par tous ; (b) une liberté moins qu’égale doit être acceptable pour ceux qui ont moins de liberté.
«DEUXIÈME RÈGLE DE PRIORITÉ (LA PRIORITÉ DE LA JUSTICE SUR L’EFFICACITÉ ET LE BIEN-ÊTRE): Le deuxième principe de justice est lexicalement antérieur au principe d’efficacité et à celui de maximisation de la somme des avantages; et l’égalité des chances prime sur le principe de différence. Il y a deux cas : (a) une inégalité des chances doit améliorer les chances de ceux qui en ont le moins ; (b) un taux d’épargne excessif doit, dans l’ensemble, alléger le fardeau de ceux qui supportent cette privation».
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