"Sur le sublime" de Longinus Automatique traduire
«Sur le sublime» est un traité d’esthétique et de critique littéraire écrit à l’origine en grec entre le premier et le troisième siècle de notre ère. L’auteur n’est pas définitivement connu, mais le texte est généralement crédité du nom de Longinus. Bien que l’ouvrage soit connu sous le nom de «On the Sublime» en anglais, son sujet est des conseils aux écrivains sur «l’essentiel d’un style noble et impressionnant». Pour cette raison, GMA Grube traduit le titre par «On Great Writing».
Longinus aborde l’idée de grandeur dans la prose et la poésie, et comment les écrivains peuvent atteindre cette qualité dans leur écriture. La grandeur, qu’il appelle le sublime, est une qualité si puissante et si profonde qu’elle bouleverse et émeut le lecteur, ou «le fait sortir de lui-même». Longinus propose cinq sources qui peuvent mener à une grande écriture : de grandes pensées, des émotions fortes, une diction noble, un agencement efficace des mots et des figures de style. Pour approfondir son argumentation, Longinus analyse des exemples d’écritures fortes et faibles à partir d’œuvres écrites au cours des mille dernières années. Parmi les nombreux auteurs qu’il cite figurent Homère, Platon, Sapho, Aristophane, Démosthène et Cicéron, ainsi que le Livre de la Genèse de la Bible hébraïque. Longinus décrit la grandeur dans l’écriture comme une combinaison de génie inné et de compétence acquise. Un grand écrivain doit également posséder et faire preuve d’excellence morale. Une théorie sur Longinus affirme qu’il aurait peut-être évité de publier ses propres écrits afin de préserver sa modestie et son excellence morale, une décision qui pourrait expliquer la paternité incertaine de «On the Sublime». «Sur le sublime» est écrit sous forme épistolaire (sous la forme d’une lettre), adressée à Postumius Terentianus, un ami romain cultivé de l’auteur. Longinus présente sa lettre comme une réponse à un traité de Caecilius de Calacte, un rhétoricien sicilien du premier siècle. Il existe un certain nombre de lacunes, ou lacunes, où des parties du texte ont été perdues au fil du temps. À certains endroits, ces lacunes compromettent notre capacité à comprendre le point précis soulevé par Longinus. Il est possible que «On the Sublime» ait fait partie d’un travail plus vaste sur l’écriture, aujourd’hui perdu. Les chercheurs pensent qu’il manque environ un tiers de l’œuvre originale. Le texte de « Sur le sublime » a été copié dans un manuscrit médiéval au Xe siècle et attribué à « Dionysius ou Longinus ». À la Renaissance, le traité était composé, ce qui signifiait que plusieurs exemplaires pouvaient être imprimés et qu’il pouvait être lu par un public plus large. Après cette étape importante, le travail a reçu plus d’attention au fil des siècles. Il est devenu particulièrement influent à l’époque du romantisme et a inspiré un certain nombre d’imitations, telles que l’œuvre de 1757 d’Edmund Burke «Une enquête philosophique sur nos idées du sublime et du beau». Le court traité de Longinus a influencé de nombreuses idées sur l’esthétique et l’écriture dans la culture occidentale et continue de susciter l’intérêt aujourd’hui. Ce guide fait référence à l’édition 1991 de Hackett Publishing Company « On Great Writing » « (On the Sublime) », traduit par GMA Grube. Longinus écrit à son ami Postumius Terentianus sur les principes de la grande écriture. Le principe le plus essentiel de la grande écriture est qu’elle «sort le lecteur de lui-même», l’imprimant avec puissance et émotion. Les grands écrivains doivent avoir à la fois un talent naturel et une formation disciplinée. Ils doivent utiliser judicieusement les figures de style et les procédés rhétoriques, arranger leurs mots avec soin et art et éviter les excès stylistiques et les fausses émotions. Ils doivent exprimer une passion sincère et, ce faisant, exciter les mêmes émotions chez leurs lecteurs. Les règles littéraires donnent à la fois structure et beauté esthétique à notre écriture. Mais même si les règles sont importantes, un grand génie peut enfreindre les règles pour atteindre un but supérieur ou pour exprimer une émotion particulièrement forte. Imiter les grands génies littéraires du passé, comme Homère ou Démosthène, est un moyen valable pour l’écrivain d’atteindre la grandeur. Par-dessus tout, le grand écrivain doit posséder une «hauteur d’esprit» morale qui rayonnera et incitera les lecteurs à être également moralement bons. La grande écriture dépend aussi du cadre social dans lequel un individu vit. La liberté est nécessaire dans une société pour favoriser la grandeur littéraire, car sans elle, nous sommes esclaves de nos passions et perdons tout sens des valeurs. le grand écrivain doit posséder une «hauteur d’esprit» morale qui rayonnera et incitera les lecteurs à être moralement bons également. La grande écriture dépend aussi du cadre social dans lequel un individu vit. La liberté est nécessaire dans une société pour favoriser la grandeur littéraire, car sans elle, nous sommes esclaves de nos passions et perdons tout sens des valeurs. le grand écrivain doit posséder une «hauteur d’esprit» morale qui rayonnera et incitera les lecteurs à être moralement bons également. La grande écriture dépend aussi du cadre social dans lequel un individu vit. La liberté est nécessaire dans une société pour favoriser la grandeur littéraire, car sans elle, nous sommes esclaves de nos passions et perdons tout sens des valeurs.
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