"Ourika" de Claire de Duras Automatique traduire
Écrite en 1823 par Claire de Duras, «Ourika» est une nouvelle française basée sur des faits réels à propos d’une femme sénégalaise prise comme esclave dans son pays natal et élevée dans la haute société française. « Ourika » est l’un des premiers textes européens à présenter un protagoniste noir, dont la profondeur psychologique favorise l’empathie avec « l’Autre » racial et souligne l’importance de l’éducation (par rapport à la nature) dans le développement psychologique humain.
Dans l’introduction, un jeune médecin est convoqué dans un couvent d’ursulines pour examiner la religieuse gravement malade, Ourika, et s’étonne qu’elle soit noire. Ourika raconte l’essentiel de la nouvelle, partageant l’histoire de sa vie et expliquant les circonstances qui ont conduit à sa maladie débilitante. Ourika est enlevée du Sénégal alors qu’elle était enfant et donnée à Madame la Maréchale de Beauvau qui la prépare à être une parfaite femme aristocratique, aimée du cercle social de Mme de B.. Ourika est élevée en France aux côtés du petit-fils préféré de Mme de B., Charles, qui devient l’ami d’enfance le plus proche d’Ourika. La noirceur d’Ourika n’entre guère dans sa vie jusqu’à ce qu’elle ait 15 ans et surprenne une conversation entre Mme de B. et la marquise de ___. La marquise pense que Mme de B. a voué Ourika à une vie de solitude : Parce qu’Ourika a été élevée comme une aristocrate, elle ne se contentera pas d’un homme noir sans instruction, mais aucun Français blanc égal à ses prouesses n’épousera une femme noire. Réalisant soudain ce que signifie être noir à l’époque de la ségrégation raciale de la Révolution française, Ourika se sent isolé et sombre dans une dépression qui s’aggrave après que Charles épouse sa fiancée, Anaïs de Thémines. La marquise tente de parler avec Ourika pour découvrir la racine de sa dépression. En tant que femme noire, Ourika se sent aliénée dans une société qui l’exclut de la pleine acceptation. La marquise se moque de cette idée ; elle lui dit que c’est parce qu’Ourika est amoureuse de Charles. La santé d’Ourika décline au point qu’un prêtre est amené pour lui donner les derniers rites. Après que le prêtre lui ait recommandé de se concentrer sur le bonheur que Dieu permet dans la vie, Ourika est inspirée pour rejoindre un couvent. Bien qu’elle trouve le bonheur au couvent - un endroit où elle peut penser à Charles en paix et remplir des rôles dont elle est exclue dans la société normale - sa santé continue de décliner. Le médecin l’encourage à poursuivre son histoire, mais Ourika refuse et meurt peu après.
- «Out of This Furnace» by Thomas Bell
- «One Person, No Vote» by Carol Anderson
- «Outliers» by Malcolm Gladwell
- «Outlander» by Diana Gabaldon
- «Out of the Dust» by Karen Hesse
- «Paradise of the Blind» by Duong Thu Huong
- «Across A Hundred Mountains» by Reyna Grande
- Summary of the story "Viper" by Alexei Tolstoy
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