« Le cygne noir :
l’impact du hautement improbable » de Nassim Nicholas Taleb Automatique traduire
«The Black Swan : The Impact of the Highly Improbable» (2007) a été écrit par Nassim Nicholas Taleb, un essayiste libano-américain et ancien trader d’options. Le livre explore le rôle des événements imprévisibles dans l’histoire humaine. Taleb soutient que les êtres humains ont tendance à simplifier à l’excès les explications d’événements improbables de manière significative. Des anecdotes personnelles et historiques aux théories philosophiques, Taleb explore comment la société humaine crée des récits pour donner rétroactivement un sens à des événements apparemment aléatoires.
«The Black Swan» était un best-seller du «New York Times» et fait partie de la série en cinq parties «Incerto» de Taleb, composée de cinq livres thématiquement liés par l’idée que l’humanité doit apprendre à vivre et à s’adapter à l’inattendu. Ce guide d’étude fait référence à l’édition 2007 de Random House de «The Black Swan». «The Black Swan» est divisé en quatre parties, terminées par un prologue et un épilogue. Dans le prologue, Taleb présente le concept et les prémisses du livre. Le cygne noir représente l’idée que la connaissance commune peut être révolutionnée par l’arrivée d’un nouvel événement. Il fournit également au lecteur un guide pour comprendre le raisonnement et la feuille de route du livre. Il passe ensuite à la partie 1 : «Umberto Eco’s Antilibrary, or How We Seek Validation», qui comprend les dix premiers chapitres du livre. Dans la brève introduction de la partie 1, Taleb explique que l’écrivain Umberto Eco considérait les livres non lus de sa vaste collection de bibliothèque comme les plus précieux. Ce qu’il n’avait pas lu ou découvert avait plus d’importance et de valeur pour lui que ce qu’il avait déjà lu ou appris. Dans le chapitre 1, Taleb raconte ses propres expériences personnelles en quittant le Liban au milieu de la guerre, et comment cette expérience a été fondamentale dans son processus de recherche intellectuelle. Dans le chapitre 2, il raconte l’histoire d’un écrivain de fiction nommé Yevgenia Krasnova, dont le succès littéraire était un exemple clé d’un cygne noir tel que Taleb le définit. Dans le chapitre 3, Taleb fait une distinction entre deux types d’aléatoire, en utilisant une métaphore qu’il crée de deux mondes différents : Extremistan et Mediocristan. Dans les chapitres 4 à 7, Taleb soutient que nous interprétons mal les événements au moyen de la généralisation de quatre manières principales : en s’appuyant sur le biais de confirmation, en créant des récits pour expliquer ou justifier l’événement, en permettant aux émotions d’affecter les inférences sonores et en négligeant d’examiner les «preuves souvent silencieuses» qui aident à fournir un meilleur contexte. Au chapitre 8, Taleb examine plus en détail le concept de preuve silencieuse, qui indique généralement une illusion de stabilité largement répandue et rarement remise en question. Au chapitre 9, Taleb conclut la partie 1 en critiquant la tendance à calculer les risques ou les résultats imprévisibles à travers des jeux de hasard, comme lancer un dé. Taleb passe ensuite à la partie 2 : "We Just Can’t Predict" (chapitres 10 à 13), dans laquelle il se concentre sur les erreurs que nous commettons dans la prédiction d’événements futurs, qu’il attribue aux limites de certaines "sciences". Dans les chapitres 10 et 11, il critique sévèrement l’acte de prévision, en particulier compte tenu des préjugés inhérents ou des informations limitées. Les prédictions nécessitent souvent une connaissance préalable des technologies futures, ce qui rend la prévision au mieux inefficace, au pire malhonnête. Au chapitre 12, Taleb rêve d’un monde – une épistémocratie – où la conscience de son ignorance serait plus valorisée que la connaissance elle-même. L’incertitude donne un esprit ouvert, tandis que la connaissance affirmée peut conduire à l’inflexibilité et à des perceptions biaisées de l’histoire. Taleb conclut la partie 2 avec le chapitre 13 ; il explore les limites des prédictions et des prévisions en racontant l’histoire d’un peintre nommé Apelles, qui, en essayant de peindre l’écume sur la bouche d’un cheval, n’y parvint qu’après avoir jeté son éponge par frustration. Le point de Taleb est que les prédictions sont souvent assombries par des "accidents positifs", plus associé à des essais et erreurs constants qu’à la science de la prévision. Dans la partie 3 : "Ces cygnes gris de l’Extremistan" (chapitres 14 à 18), Taleb soutient que le monde se dirige de plus en plus vers l’Extremistan, dans lequel les cygnes noirs se produisent avec une fréquence croissante. Dans les chapitres 14 et 15, il explique comment le capitalisme est plus lié à la chance qu’au socialisme, et à mesure que le capitalisme se développe, Black Swans aussi. Il critique également le modèle de la courbe en cloche, dans lequel les événements sont compris et interprétés avec des moyennes mathématiques à l’esprit. Au chapitre 16, il discute des cygnes gris, qui sont comme les cygnes noirs mais un peu plus faciles à expliquer et à interpréter. Ils indiquent que le modèle mathématique de l’aléatoire fractal, conçu par le mathématicien Benoit Mandelbrot, est une manière plus précise de regarder les événements humains. Dans les chapitres 17 et 18, Taleb met l’accent sur le rôle de l’empirisme sceptique dans l’approche de Black Swans. Il est important que les penseurs influents nous rappellent l’incertitude, au lieu de revendiquer un faux savoir absolu procuré par une logique douteuse. La partie 4 "La fin" (chapitre 19) offre une perspective sur les implications plus personnelles de Black Swans. Si nous sommes vraiment ouverts aux possibilités imprévisibles de la vie, lorsque nous manquons un train ou prenons un café froid, nous serons moins affectés. Nous pouvons être frustrés, mais la croyance que notre existence même est un cygne noir peut atténuer le coup de ces frustrations. Enfin, dans l’épilogue, Taleb revient à Yevgenia Krasnova, qui vit un deuxième Black Swan, maintenant une surprise plus négative que positive. Son ouverture à l’existence de Black Swans lui permet cependant de traiter et de passer à autre chose.
Vous ne pouvez pas commenter Pourquoi?