"Les lance-flammes" de Rachel Kushner Automatique traduire
«The Flamethrowers» est un roman de fiction historique publié en 2013 par l’auteure américaine Rachel Kushner. Il suit l’histoire de Reno, une jeune femme vivant les turbulences des années 1970 à New York. Artiste en herbe, Reno se retrouve dans des situations remarquables tant à New York qu’à l’étranger en Italie. Kushner tisse l’histoire italienne et américaine pour mettre en évidence la façon dont les gens vivent les implications des sociétés et des histoires dont ils héritent. Kushner subvertit les structures typiques de genre et de roman et crée son propre type de roman non structuré qui conserve toujours la structure parallèle nécessaire pour développer des personnages nuancés. Publié par Scribner, le roman est un best-seller du «New York Times» et finaliste pour le National Book Award.
En 1975, une jeune femme s’installe à New York après avoir obtenu son diplôme d’une école d’art dans son État d’origine, le Nevada. Elle est solitaire mais avide d’aventure. Son seul ami est une serveuse nommée Giddle, qui semble inventer la plupart de ses histoires. Un soir, la jeune femme part à la découverte de la ville et rencontre sans ménagement Thurman et Nadine, un couple à l’air fortuné qui l’invite à rester boire avec eux. Un de leurs amis apparaît. Il est jeune, beau et surnomme la femme du Nevada Reno. La nuit est mouvementée, mais Reno se retrouve au lit avec l’ami, dont elle ignore le nom. Ce n’est qu’une nuit, mais ça reste avec elle. Reno trouve un emploi dans une société de production cinématographique. Un jour, ses patrons lui disent qu’un homme a posé des questions sur elle. Reno espère que c’est l’étranger sans nom de cette nuit-là, mais c’est plutôt un riche, plus âgé, Artiste italien nommé Sandro. Ils commencent à sortir ensemble et Reno est entraîné dans un style de vie très chaotique et enivrant de riches types créatifs et intellectuels. Elle rencontre le meilleur ami de Sandro, Ronnie, le même inconnu de l’aventure d’un soir. Reno navigue dans sa relation avec Sandro tout en cachant son attirance pour Ronnie. Sandro est gentil avec elle, mais ne sait pas non plus si Sandro est avec elle parce qu’il l’aime vraiment ou parce qu’il aime choisir les femmes dont il s’entoure. Reno est un paysagiste inspiré par la vitesse ; elle photographie les traces de motos et autres véhicules à grande vitesse dans des décors remarquables. Elle a l’idée de retourner au Nevada pour les courses sur les salines. Sandro est l’héritier de la société Valera, une entreprise qui s’occupe principalement de pneus mais qui a été fondée par un Italien qui a créé la moto de tourisme la plus rapide. Sandro l’installe avec une Moto Valera et Reno se rend au Nevada pour poursuivre la vitesse et l’art. Elle plante la moto mais parvient à photographier les traces laissées dans les salines. Elle se remet de ses blessures avec l’équipe Moto Valera, qui lui fait piloter le «Spirit of Italy» afin de battre un record du monde féminin. Triomphante dans son exploit, l’équipe lui demande de venir en Italie pour une séance photo et une tournée de presse pour Moto Tires. Sandro est mécontent de cette tournure des événements, car il a passé toute sa vie d’adulte à essayer de se séparer de son nom de famille et de son entreprise. Une nuit, Sandro tire sur un garçon qui avait tenté de les agresser dans la rue. Il décide de donner sa bénédiction à Reno pour aller en Italie et aussi pour l’accompagner, pour mettre un peu de distance entre lui et le tournage. En Italie, Reno est dépassé par la cruauté sophistiquée de la famille de Sandro, qui désapprouve très manifestement le mode de vie de Sandro et sa trop jeune petite amie américaine. L’entreprise familiale Valera est confrontée à un défi difficile : les mouvements de défense des droits des travailleurs en Italie ont vilipendé les Valera. Les grèves arrêtent le travail à l’usine et deviennent violentes. Un jour, le mystérieux jardinier de la villa de la famille Valera emmène Reno avec lui à l’usine où la famille tient une réunion d’urgence avec les grévistes. À l’usine, Reno tombe sur Sandro en train d’embrasser sa cousine dramatique et intimidante Talia. Reno court vers la voiture du jardinier et quand il la trouve, il les conduit tous les deux à Rome. A Rome, Reno découvre que le jardinier Gianni est un membre dirigeant de la Brigade rouge, une organisation déterminée à faire tomber des entreprises familiales inéquitables et abusives comme celle des Valeras. Reno participe à une marche massive pour les droits des travailleurs à Rome, mais quand cela se transforme en émeute, elle et Gianni échappent aux gaz lacrymogènes et se cachent dans son appartement. Un jour, il lui demande de l’emmener dans les Alpes. Elle se rend en France pour le rencontrer après la fin de sa mission dans les Alpes, mais à la fin du roman, le lecteur ne sait toujours pas si Gianni s’est jamais présenté. Après l’Italie, Reno retourne à New York où elle tente de poursuivre son attirance pour Ronnie, maintenant qu’elle et Sandro sont séparés. Ronnie la rejette et Sandro trouve une nouvelle petite amie. La nouvelle est que Roberto, le frère aîné de Sandro et chef de l’entreprise familiale, a été kidnappé par la Brigade rouge. Après quelques jours d’impasse, la Brigade rouge tue Roberto. Sandro retourne en Italie et Reno se retrouve à nouveau complètement seule. Dans le passé, le père de Sandro, Valera, découvre le même besoin de vitesse que Reno. Valera a grandi en Afrique du Nord mais est retournée en Italie à l’adolescence. Là, il se passionne pour les motos. Pendant la Première Guerre mondiale, il se bat à l’arrière d’une moto, c’est alors qu’il a l’idée de créer sa propre moto. La Moto Valera devient la moto la plus rapide au monde et est repensée pour être utilisée à la fois par les passagers et en temps de guerre. Valera gagne la majorité de son argent pendant la Seconde Guerre mondiale, lorsqu’il a fait la transition de l’entreprise vers la production de pneus. Il s’installe au Brésil, où les abus déplorables des travailleurs indigènes font de sa production de caoutchouc un succès astronomique. Il gère ses finances en Suisse pour éviter la socialisation et la nationalisation des industries dans l’Italie de Mussolini. Alors que la Seconde Guerre mondiale décime l’économie et l’esprit de l’Italie, Valera en sort plus riche que jamais.
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