"Les lignes d’ombre" d’Amitav Ghosh Automatique traduire
«The Shadow Lines» est un roman de l’auteur indien Amitav Ghosh. Lors de sa publication en 1988, le livre a été salué pour sa structure ingénieuse et son style stimulant. La plupart des romans racontent une histoire. «The Shadow Lines» ne prétend pas avoir une intrigue concrète. Il s’agit plutôt d’une série de souvenirs de flux de conscience livrés au lecteur par un personnage sans nom connu sous le nom de Narrateur. Faisant des allers-retours entre 1939 et le milieu des années 1970, le narrateur se remémore divers membres de la famille et amis, et comment leurs vies se sont croisées avec une série d’émeutes mortelles à Calcutta et au Pakistan en 1963 et 1964.
Le roman ne comporte ni chapitres ni scènes, mais est structuré en deux parties : «Going Away» et «Coming Home». « Coming Home » commence lorsque le narrateur raconte l’histoire de plusieurs membres de sa famille et comment ils sont venus vivre à Calcutta. Le narrateur indique clairement qu’il écrit sur le passé à partir d’un moment indéterminé dans les années 1970 alors qu’il travaille sur un doctorat à Londres. Curieusement, sa mère et son père sont à peine mentionnés dans le roman. La partie 1, «Going Away», se concentre principalement sur sa relation avec sa grand-mère Tha’mma, sa tutelle sous la tutelle d’un intellectuel nommé Tridib, et la fille d’un diplomate indien, Ila. Tha’mma est une force de la nature qui insiste pour que tous les membres de la famille adhèrent aux anciennes traditions indiennes. Elle est consternée d’apprendre que le narrateur rend parfois visite à des prostituées et prend des mesures pour le faire expulser de l’université en informant le doyen de ses activités. Le doyen le laisse rester, mais Tha’mma est implacable dans sa condamnation des idées de plus en plus libérées du narrateur et de la compagnie qu’il garde. Ila, qui a déménagé à Londres, reçoit un mépris particulier pour ses cheveux courts et sa propension à porter des jeans bleus. Le Narrateur oscille entre le passé et le présent, faisant allusion aux catastrophes à venir sans en révéler la nature. Enfant, puis jeune homme, il tombe amoureux d’Ila. Mais quand il révèle ses sentiments, elle le rejette et s’en va. Il hésite entre leur conversation dans le passé et à plusieurs périodes différentes dans le futur, mais à aucun moment cela n’implique qu’ils seront un couple. Après des années d’études à Londres, le Narrateur rentre chez lui et la partie 2, «Coming Home», commence. Dans la partie 2, le narrateur se concentre principalement sur les troubles politiques qui finiront par engloutir l’Inde et le Pakistan dans des émeutes, et sur les efforts de sa grand-mère pour ramener son oncle en Inde depuis son domicile de la ville de Dhaka. Il est également révélé qu’Ila a conclu un mariage malheureux avec Nick Price. Alors qu’Ila flirte avec l’idéalisme bohème, Tridib s’enfonce dans la mélancolie en poursuivant ses propres études. Il y a des indices qu’il est tombé amoureux de May Price, la sœur de Nick. Mais encore une fois, il n’y a aucun sens que cela aura une fin heureuse pour l’un d’eux. À l’apogée du roman, le Narrateur apprend que la mort de Tridib - mentionnée mais jamais expliquée - n’était pas un accident. Il a été tué dans une émeute qui a envahi la ville de Dhaka lors du voyage lorsque Tha’mma est allée récupérer son oncle. À ce stade, le Narrateur doit s’interroger sur la qualité et la véracité de ses propres souvenirs et de ceux de tous les autres. Comme il a écrit sa chronique, il s’est toujours appuyé sur les histoires des autres. Mais les histoires des autres dépendent de leurs propres souvenirs, qui peuvent être aussi faillibles que les siens. À la fin du roman, il est au lit avec May Price, qui a commencé à agir comme une figure maternelle - et peut-être une amante - pour lui. On ne sait pas s’il envisagera son avenir avec optimisme car ce qui est réel pour lui aujourd’hui deviendra bientôt un souvenir indigne de confiance. «The Shadow Lines» a reçu un grand succès, malgré son style exigeant. Ce n’est pas un livre qui se lit rapidement ou au hasard, étant donné la tendance du Narrateur à changer de ville, d’année, et parfois même des décennies, le tout dans le même paragraphe. Mais lu attentivement, le roman est une structure de nidification ingénieuse, parfois frustrante, un peu comme la mémoire elle-même.
- «The Hungry Tide» by Amitav Ghosh
- «The Glass Palace» by Amitav Ghosh
- «The Calcutta Chromosome» by Amitav Ghosh
- «Sea of Poppies» by Amitav Ghosh
- "Russian North" in the Igoshev House - personal exhibition of the Kostroma artist Andrei Zakharov
- Igor Dryomin: inauguración de la exposición de Valery y Anna Goshko en la galería de arte
- Artists from Orel showed in Bryansk the play "Stolen Happiness" based on a play by Ivan Franko
- Exposición de Valery y Anna Goshko en la Galería de Arte.
Vous ne pouvez pas commenter Pourquoi?