"The Open Boat" de Stephen Crane, résumé Automatique traduire
L’écrivain, poète et journaliste américain prolifique Stephen Crane est l’auteur de The Open Boat. Il a publié son histoire en 1897, après avoir survécu à un naufrage plus tôt dans l’année. Pour couvrir la guerre de brassage entre Cuba et son colonisateur, l’Espagne, Crane est monté à bord du Commodore alors que 1896 se transformait en 1897. Le navire a coulé, et Crane et les autres ont passé une journée et demie sur le petit canot de sauvetage. Avant de publier son récit fictif de la catastrophe, Crane a publié un article factuel dans The New York Press, "Stephen Crane’s Own Story".
The Open Boat est l’une des œuvres les plus étudiées de Crane, avec sa nouvelle sur une jeune femme pauvre, Maggie: A Girl from the Street (1893), et son roman sur un jeune soldat de la guerre civile américaine, The Red Badge of Courage )1895). L’histoire est un exemple de naturalisme en raison de son style objectif et souvent non sentimental. Thèmes abordés : «L’homme contre la nature», «Survie contre le destin et l’impuissance», «Communauté et coopération contre l’aliénation».
L’histoire commence par le fait qu’un jour un petit bateau rebondit sur les vagues. Il y a quatre hommes dans le bateau : un capitaine blessé, un pétrolier, un correspondant et un cuisinier. Ce sont les personnages principaux, et le narrateur omniscient à la troisième personne, qui sait presque tout, mais n’est pas l’un des héros, ne rapporte que le nom du pétrolier - Billy.
Un pétrolier et d’autres personnages font naufrage au large des côtes de la Floride et tentent maintenant de survivre en mer. Le capitaine essaie de maintenir une atmosphère positive. Il dit aux autres : «Nous arriverons bien à terre», mais les hommes ne sont pas sûrs. Ils rament un bateau, picorent un oiseau et essaient de déterminer à quelle distance ils se trouvent pour atterrir ou secourir. Le capitaine remarque le phare, mais le cuisinier l’informe que le phare a été abandonné et est debout depuis de nombreuses années.
Un pétrolier et un journaliste rament un petit bateau, et le capitaine leur demande de ramer lentement pour économiser de l’énergie. Le sol apparaît et le cuisinier pense qu’ils sont près de la "maison de refuge", mais aucune aide ne vient. Le ton positif du capitaine devient sombre. Il dit : «Si nous n’arrivons pas tous à terre, je suppose que vous savez où envoyer le mot de ma fin? Cette question amène le narrateur à réfléchir sur la cruauté de la nature, le destin et les tourments d’un homme qui se noie.
Les vagues deviennent plus fortes, mais les hommes commencent à espérer que quelqu’un du rivage les verra. Ils remarquent l’omnibus et l’homme au manteau, puis ils remarquent plus de monde. Ces gens sont dans une station d’hiver; ils n’aident pas les hommes et maudissent leur comportement étrange et joyeux.
Alors que le jour se transforme en nuit, les vagues glacées continuent d’assiéger les gens. Maintenant, le correspondant et le pétrolier rament à tour de rôle. Lorsque le journaliste rame seul, il pense qu’il est "le seul homme à flotter dans tout l’océan" alors qu’il est dans le même bateau que trois autres hommes.
Alors que la "nuit sombre" se poursuit, le narrateur revient aux pensées de la cruauté du destin et de la noyade dans la mer. Le narrateur se demande pourquoi le destin a permis aux hommes de survivre au lieu de les tuer tous d’un coup. Un correspondant réfléchit à un poème sur un soldat français mourant à Alger. Des souvenirs vifs donnent l’impression que le soldat est dans le bateau avec le correspondant.
Le matin vient sans aucun signe d’évasion. Le capitaine veut que les gens essaient de rejoindre le rivage à travers les vagues; il pense que s’ils continuent à ramer, ils finiront par devenir trop faibles pour se sauver. Ce plan amène le correspondant à réfléchir sur la relation entre l’homme et la nature. La nature n’est ni mauvaise ni rationnelle, mais «indifférente, absolument indifférente».
Les hommes se préparent à rencontrer les vagues, sautent par-dessus bord et nagent vers le rivage. Un "courant d’eau vive et bouillonnant" engloutit le bateau. Après qu’une autre vague recouvre le petit bateau, les hommes sont jetés par-dessus bord. Le correspondant voit le pétrolier flotter lourdement, le dos du cuisinier qui dépasse de l’eau et le capitaine blessé qui s’accroche au bateau chaviré. Le capitaine ordonne au cuisinier de se retourner sur le dos et d’utiliser la rame. Pendant ce temps, le correspondant nage lentement vers le rivage. Il pense à la qualité surréaliste du sol devant lui.
Alors que le journaliste se dirige méthodiquement vers le rivage, il entend le capitaine appeler à son aide, accroché au bateau d’une main. Epuisé, le correspondant pense que ce serait bien de se noyer. Alors qu’il tente d’atteindre le capitaine, une vague inhabituelle jette le correspondant à terre.
En eau peu profonde, le correspondant tente de se relever, mais s’aperçoit qu’il n’y parvient pas plus d’une seconde. Un mystérieux homme nu avec un "nimbus" amène le cuisinier à terre et suit le capitaine, qui redirige généreusement l’homme vers le correspondant. Tout va bien pour le correspondant, mais il voit que le pétrolier est allongé sur le sable face contre terre, mort. Bientôt, l’île s’est remplie de monde et les trois hommes survivants ont tout ce dont ils ont besoin pour récupérer. Maintenant, ils pensent comprendre la mer.
- "L’insigne rouge du courage" de Stephen Crane
- «A Mystery Of Heroism» by Stephen Crane
- «A Man Said to the Universe» by Stephen Crane
- "The Origins of Totalitarianism" by Hannah Arendt, summary
- "The Outsider" by Stephen King, summary
- "Diary of Memory" by Nicholas Sparks, summary
- "Nekk" by Nathan Hill, summary
- "Nazi Hunters" by Neil Bascomb, summary
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