"Piano joueur" de Kurt Vonnegut Jr. Automatique traduire
Publié initialement en 1952, «Player Piano» est le premier roman de Kurt Vonnegut. Situé dans un futur dystopique où l’humanité a confié le contrôle de presque toutes ses décisions et tâches aux machines, «Player Piano» détaille les luttes et les ironies de la tentative de l’humanité de récupérer sa détermination.
Le docteur Paul Proteus est à la tête de l’usine Ilium, l’une des nombreuses usines de ce type qui ont vu le jour aux États-Unis après la Troisième Guerre mondiale. Tout dans le travail de ces usines est automatisé, à l’exception des personnes qui aident à concevoir et à réparer les machines. Les classes sociales sont fortement séparées et les inégalités de richesse sont élevées. Il y a la classe des ingénieurs, qui prospère dans ce nouveau monde, et tous les autres, qui sont relégués soit dans l’armée, soit dans le Reeks and Reclamation Corps. Paul, bien qu’élevé par son célèbre père manager pour être un leader puissant de l’industrie, a des réserves quant au bien réel de cette nouvelle révolution industrielle. Ed Finnerty, son vieil ami, ne fait qu’ajouter à cela. Finnerty, un libre penseur échevelé, allume une flamme chez Paul pour vivre de ses propres mains, sans machine. L’épouse de Paul, Anita, proteste contre ce nouveau changement chez Paul, l’encourageant à rester sur la voie qui lui permettra d’obtenir une promotion dans une usine à Pittsburgh. Paul continue sur le chemin qui l’éloigne de cette promotion en passant du temps à Homestead, le quartier des citoyens des classes inférieures. Il se retrouve à profiter de la vraie vie qu’il y trouve. Il achète même une vieille ferme délabrée pour y vivre avec Anita. Anita rechigne à l’idée et refuse. Paul dit à Anita qu’il envisage de quitter son emploi et qu’il veut son soutien. Anita refuse, lui disant qu’elle aime un autre homme. Pendant ce temps, un autre scénario, plus petit, se déroule. Le Shah de Bratpuhr est dirigé par le docteur Halyard, un ambassadeur et un traducteur. Le Shah est fasciné par les États-Unis, et particulièrement par le manque de spiritualité de ses citoyens. Il continue de traiter les citoyens d’esclaves dans sa propre langue maternelle et ne comprend pas pourquoi ils sont considérés autrement. Même si Halyard tente de le convaincre de l’efficacité du mode de vie et de la société américaine, le Shah reste impressionné mais sceptique quant à la vie là-bas. Ces intrigues fusionnent lorsqu’on demande à Paul d’infiltrer la Ghost Shirt Society, une organisation révolutionnaire dirigée par Lasher, un prédicateur, et Finnerty. Paul est licencié, bien qu’il ait quand même prévu d’arrêter, et se retrouve dans la Société. La Société prévoit de détruire les machines et de restaurer un sentiment de dignité chez l’humanité. Finalement, Paul est jugé pour défendre ses actions auprès de la Société, et une révolution éclate. Halyard et le Shah se retrouvent en pleine révolution. Les Chemises Fantômes réussissent à prendre Ilium, mais ailleurs dans le pays, tout le monde n’y parvient pas. Ils remarquent également que les gens ne peuvent s’empêcher d’essayer de réparer les machines parce que c’est ce pour quoi beaucoup d’entre eux sont doués. Les dirigeants, dont Paul, se rendent.
- «God Bless You, Mr. Rosewater» by Kurt Vonnegut Jr.
- «Slaughterhouse-Five» by Kurt Vonnegut Jr.
- «Harrison Bergeron» by Kurt Vonnegut Jr.
- «Galapagos» by Kurt Vonnegut Jr.
- «Mencius» by Mencius
- «How to Avoid a Climate Disaster: The Solutions We Have and the Breakthroughs We Need» by Bill Gates
- «Peter Nimble and His Fantastic Eyes» by Jonathan Auxier
- «On My Honor» by Marion Dane Bauer
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