"Écrit sur le corps" de Jeanette Winterson Automatique traduire
«Écrit sur le corps» est un court roman de l’auteure britannique Jeanette Winterson. Plusieurs publications internationales ont suivi la publication originale du livre en 1992. Le texte, qui est un récit à la première personne, s’adresse à un public de lecteurs adultes. Le récit, qui présente des récits de nombreuses histoires d’amour, rumine également sur la nature de l’amour, de la fidélité, de la spiritualité et de la mort. Winterson, qui a été élevé par des membres d’une Église pentecôtiste, a suivi une formation de missionnaire et a commencé à évangéliser et à écrire des sermons dès son plus jeune âge. Même si elle a quitté cette secte religieuse à l’adolescence, son parcours explique probablement les diverses allusions bibliques que l’on retrouve tout au long du texte.
Un narrateur anonyme, dont l’auteur n’identifie pas le sexe, raconte une histoire d’amour passionnée avec une belle femme rousse nommée Louise Rosenthal. Louise est mariée à un éminent médecin spécialiste de la recherche sur le cancer, Elgin Rosenthal, qui a déçu Louise lorsqu’il a abandonné son rêve d’aider les habitants des pays du tiers monde à poursuivre des études pharmaceutiques plus lucratives. La décision de carrière d’Elgin est un élément important de l’intrigue qui prend de l’importance lorsqu’on découvre que Louise souffre de leucémie, un cancer du sang. Louise a connu des troubles physiques et émotionnels ; elle a fait plusieurs fausses couches et elle est malheureuse dans son mariage. Ces problèmes la rendent susceptible à la découverte de l’amour et du bonheur avec le narrateur, vers qui Louise est attirée depuis plus de deux ans. Louise désire quitter son mari Elgin, mais le narrateur suggère que Louise prenne un certain temps pour prendre cette décision, suggérant une réticence déroutante à s’engager. Soucieux de mettre fin à cette liaison qui mènera inévitablement à un divorce qu’il ne souhaite pas pour des raisons professionnelles, Elgin informe le narrateur que Louise souffre de leucémie. Il explique au narrateur que les chances de survie de sa femme seront meilleures si elle suit un traitement de pointe dans l’établissement médical suisse qu’il dirige, et qui ne lui sera accessible que si elle reste avec lui. Cette double contrainte émotionnelle incite le narrateur à prendre une décision unilatérale qu’il regrettera pour le reste du roman. Sans consulter Louise, le narrateur met fin à leur relation en quittant Louise ; cette séparation garantit que Louise reviendra à Elgin et qu’elle aura l’opportunité de recevoir le meilleur traitement qu’il lui a promis pour sa maladie. Bien que le narrateur ait de bonnes intentions, le narrateur ne tient pas compte des sentiments de Louise à l’égard de la décision et abandonne Louise, qui doit maintenant faire face seule aux réalités de son mariage malheureux et de l’infidélité de son mari. Dans un effort pour atténuer les effets de cette décision déchirante, la narratrice quitte Londres et loue un cottage en désordre dans le nord de l’Angleterre, dans l’espoir de trouver l’anonymat, le soulagement et la distraction en travaillant dans un bar à vin local, où elle développe une quasi- amitié avec la gérante, Gail Right. Bien que Gail ait des sentiments romantiques envers le narrateur, Gail souligne que le narrateur a rendu un très mauvais service à Louise en décidant de l’avenir de Louise sans lui permettre de contribuer elle-même à la décision. Lorsque le narrateur retourne à Londres pour retrouver Louise, le narrateur est incapable de retrouver Louise. Le narrateur, dont le monde émotionnel est en bouleversement, entre dans une altercation physique avec Elgin, divorcé de Louise et engagé dans une nouvelle relation. Le narrateur, croyant que Louise voyage à l’étranger en raison de son divorce, se rend vers le nord et retourne à son cottage dans le Yorkshire, où Louise sort de la cuisine.Louise et le narrateur sont ravis de leurs retrouvailles et le roman se termine avec optimisme.
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