Histoire d’amour sans âge dans la pièce "Jeux du solitaire" Théâtre Vakhtangov Automatique traduire

MOSCOU. Sur la petite scène du théâtre Vakhtangov, a eu lieu la création de la pièce «Games of the Lonely», mise en scène par le réalisateur Mikhail Tsitrinyakov, inspirée de la pièce du célèbre auteur américain Neil Simon. La pièce originale de Simon s’appelle "Chapitre deux", mais selon le réalisateur, son texte s’apparentant davantage à un scénario, il a donc nécessité de nombreuses modifications - ils ont réduit quelque chose, ajouté quelque chose. Le résultat de ce travail était la version originale de l’auteur.

«Les jeux du solitaire» n’est pas la première œuvre de Mikhail Tsitrynyak avec la troupe du théâtre Vakhtangov, il a déjà dans son bagage créatif Médée dans laquelle joue principalement Julia Rutberg. La pièce de la nouvelle première a également été sélectionnée pour une actrice spécifique, Elena Sotnikova, qui est devenue la femme principale. Bien que le réalisateur connaisse bien les acteurs du théâtre, il n’a pas été facile de choisir le casting de la production. Le résultat a été l’apparition dans le jeu d’Olga Tumaykina, Andrei Ilyin et Andrei Zaretsky.

L’intrigue de la pièce est une histoire familière pour beaucoup sur la rencontre de deux personnes mûres et qui ont réussi, avec leurs propres habitudes, leurs propres expériences de vie. La complexité de ces relations est aggravée par le fait que les deux personnages principaux sont des professionnels de la création. Elle est une actrice, il est un écrivain, chacun a ses propres ambitions créatives.

En essayant d’oublier les tragédies qui se sont produites dans leur vie, deux semaines après leur rencontre, ils sont mariés, mais un mois plus tard, il s’avère que l’euphorie des sentiments à la réunion n’a pas aidé à trouver consciemment les compromis de la vie ensemble. Même les anges apparus dans la pièce grâce à l’imagination du réalisateur sont impuissants à vouloir sauver la relation des héros. Seuls les héros eux-mêmes peuvent sauver l’amour s’ils comprennent le besoin de tolérance les uns envers les autres.

Ludmila Trautmane