Première de la pièce "Qui a peur de Virginia Woolf" du réalisateur Vladimir Pankov Automatique traduire

MOSCOU. Une agréable surprise pour le public a été présentée les 7 et 8 juillet par le réalisateur Vladimir Pankov, une nouvelle version de la célèbre pièce d’Edward Albee. Dans sa lecture, la production de «Qui a peur de Virginia Woolf» n’était pas une pièce de théâtre basée sur une pièce de théâtre mise en scène dans de nombreux théâtres du monde, mais s’est transformée en un acte musical saisissant dans lequel divers styles théâtraux et musicaux ont été mélangés.

Vladimir Pankov était capable de combiner à la perfection la comédie musicale classique et les zongs de Brecht, un théâtre psychologique avec un clown dur. Albie dans sa pièce a créé quatre personnages - deux couples mariés. Le réalisateur leur a ajouté des doublons sans fin, aidant les spectateurs à comprendre les émotions des personnages de la performance, parfois complètement contradictoires. En conséquence, dix-sept personnages sont apparus sur la scène.

Pankov a créé une musique multicouche qui était complètement différente des versions sur scène bien connues de la pièce, qui nécessitaient un jeu d’ensemble bien coordonné de la part de l’équipe d’acteurs. Chacun des participants à la représentation - des stars invitées Elena Yakovleva et Mikhail Trukhin, à de jeunes acteurs représentant SounDrama Studio - chante et danse non seulement, mais possède également une excellente maîtrise des instruments de musique.

L’accompagnement musical de la performance a été écrit par le compositeur Artyom Kim, chef de l’ensemble Omnibus de Tachkent, interprétant de la musique moderne. Grâce à son aide, les dialogues prosaïques ont pris un rythme complexe, se transformant en zongs, qui rappellent l’esthétique du théâtre de Brecht. Le créateur du décor était Maxim Obrezkov, qui travaille dans le théâtre. Vakhtangov artiste en chef.

La représentation est officiellement une entreprise et sa première a eu lieu au théâtre Taganka Actors. Les téléspectateurs estiment que la production mérite une longue vie.

Ludmila Trautmane © Gallerix.ru